Déterminisme Hasard Finalité

d’une table somptueuse, mais ne souffrira pas de son absence car il a compris que ce n’était pas l’objet qui crée le plaisir mais la cessation du désir, du manque. Ce souci d’autarcie d’une vie simple qui nous rende le plus indépendant possible du hasard, des coups du sort c’est une philosophie du plaisir apparament austère. C’est celle qui prone le plaisir mais guidé par la raison vigilante. On voit par là que la loi est alors en quelques sorte l’instrument du désir Elle ne s’oppose pas à lui

sont, eux, toujours rivés à un code : l’instinct pour les animaux, le programme pour les végétaux. […] Ils sont rivés à leur nature. Les animaux, eux, n’ont pas d’histoire. Seul l’homme en a une, parce qu’il est le seul capable de se dégager des déterminismes biologiques pour conquérir sa liberté. Le droit est antinaturel, le savoir scientifique est antinaturel. L’homme est un être d’anti-nature. C’est la base de l’humanisme. C’est parce qu’il est libre, contrairement aux autres animaux, que « l’Homme

en procédant d’une manière explicative qui serait, du même coup, « démoralisante », au sens propre ? Cette perspective se trouve aussi bien dans le finalisme providentialiste (Saint Augustin ou Bossuet, e.g.), que dans le déterminisme métaphysique (Hegel) ou le déterminisme matérialiste (Marx et Engels). • Le problème est le suivant : si l’histoire a un sens défini, tout ce qui est arrivé doit être considéré comme un moyen nécessaire à l’accomplissement de la fin historique ; mais alors, n’est-on

La nature est-elle bien faite La nature est-elle bien faite ?Beaucoup de copies très naïves et complètement anthropocentrées. Le sujet n’est pas la nature est-elle bien faite pour l’homme, mais bien faite, dans l’absolu… Il est naïf (mais drôle) de dire que la nature est bien faite car elle a d’abord viré les dinosaures avant de nous faire apparaître ! Revoyez la méthode, beaucoup d’intros sont indigentes, ne citent pas le sujet ou pas le bon et ne problématisent pas. Intro : La nature

on est en présence d'un être-vivant. Déterminisme : pas de hasard. Mais en mm tps, parfois phnmns singuliers. Médecine de labo ne se substituera jms à la médecine de l'observation d'un malade. Le savoir doit être raporté à tel individu : 'Je ne soigne pas l'homme en général mais des individus en particulier.' Déterminisme relativisé en médecine par une part de la singularité individuelle, par l'épreuve réelle. Médecine : rencontre du sujet or sujet = finalité de la médecine. 'Le pb en définitive

se manifeste de temps en temps en nous. En tant qu’homme de science, Freud estime que la vie psychique, comme la nature, obéit à un déterminisme (telle cause provoque tel effet). Dès lors, les malades psychiatriques (qui ne présentent aucune lésion organique décelable) doivent avoir eux aussi une cause à leur mal. Les symptômes observés ne peuvent être dus au hasard. Freud considère qu’il y a un sens en l’insensé ; il veut trouver la clé de la folie. Il formule l’hypothèse selon laquelle la maladie

vie en société possible ? L’existence d’une société dépend de certains facteurs, des facteurs sociaux. On suppose qu’il existe des déterminismes sociaux. Cette idée veut dire que l’on admet que dans la réalité observée tout n’est pas du aux aléas , au hasard. Il y a un ensemble de causes que l’on peut repérer pour expliquer. La sociologie vise à cerner les déterminismes sociaux, les causes sociales, qui permettent d’expliquer comment une société est possible. DURKHEIM «  Expliquer le social par le

l'immortalité de l'âme ; plusieurs embrassent la doctrine chrétienne que leur présentent leurs visiteurs. Fondée sur la volonté de vivre selon la nature, la morale publique d'Utopie est rigoureuse, condamnant la dissimulation, la chasse, les jeux de hasard, la polygamie et l'adultère ; le divorce par consentement mutuel est possible. INTRODUCTION Le texte « chacun est libre » se situe dans la seconde partie de l’ouvrage « L’Utopie ». La deuxième partie de l’ouvrage est consacrée à la description

Pendant tout le XIX° siècle, de sérieux doutes sur les 3 principes déterministes commencent à apparaître. La science traditionnelle de la matière, comme celle de Galilée, de Newton ou encore de Huygens, est caractérisée par 3 concepts : le déterminisme, la réversibilité et la prévisibilité des phénomènes. Ce monde immuable était considéré comme une vaste mécanique horlogère, dont l’homme en décomposait les rouages un à un pour les analyser, comme le recommandait Descartes. Les scientifiques procédaient

cosmopolitique, souhaitable et prévisible, donne sens et unité aux différentes étapes qui marquent la civilisation. Il s’agit d’arracher l’histoire humaine au chaos des faits et gestes en quoi elle semble consister pour y discerner une régularité et une finalité. - L’affirmation centrale de ce texte de Kant est que la nature poursuit dans l’espèce humaine une fin propre : la culture des hommes. Cette fin dernière, la nature la poursuit en vue d’un but transcendant, celui de la moralité de l’homme. L’espèce