Déterminisme Hasard Finalité

le stoïcisme sur uneéthique du fatalisme puisque par la connaissance le sage stoïcien peut coopérer à ce qui par ailleurs échappe à son pouvoir, Epicure considère que le nécessitarisme stoïcien est faux et nocif. Il est faux car s’il y a du déterminisme, il y a aussi de la contingence. Il est nocif car il alimente des pratiques superstitieuses, telles que les pratiques divinatoires, alors en vogue à l’époque. Or s’il y a de la contingence, il est vain de chercher à connaître par divers moyens

parcouru par l'ensemble de l'humanité (réalité historique ) 2) la connaissance de ce passé -Plusieurs sens du mot sens :1. signification : être intelligible ; ne pas être absurde ;2. avoir une direction, être orienté vers quelque chose ;3. fin finale, finalité-Problématique :On doit donc se demander si l'histoire au sens de réalité historique (sens 1) a un sens , i.e., à la fois si on peut la comprendre, si elle est cohérente, et si elle est orientée vers une direction et une fin précise. De même à propos

entre l’action politique et la morale chez Machiavel, il faut comprendre 2 concepts essentiels de l’auteur : la « fortune » et la  « vertu ». La fortune est pour Machiavel ce qu’on pourrait appeler le « hasard » dû à l’imprévisibilité des événements. C’est tout ce qui échappe à un possible déterminisme historique, ce qui ôte aux hommes l’occasion d’agir. →la fortune prouve qu’il n’y a pas de déroulement nécessaire de l’histoire La vertu au sens machiavélien c’est la force de celui qui est capable

nature, et sa nature aussi, parce qu'il peut en saisir la complexité et le mécanisme : la pensée lui permet de saisir les lois selon lesquelles Dieu a organisé la nature. La science rend possible la compréhension du monde, que ne gouvernent nulle finalité et nulle intention. Elle devient un moyen de louer le Seigneur en accomplissant sa nature d'homme, en pensant donc, pour mieux mettre en valeur la création divine. La science n'est donc pas incompatible avec la foi. De fait, Descartes dissocie

prétendent certains philosophes de l’histoire (cf. Hegel), une finalité de cette histoire ? Thèse : Cournot, ici, réfute la théorie finaliste en arguant du fait que, parmi les causes des événements historiques, le hasard lui-même intervient, étant à même de changer le cours de l’histoire au dernier moment ou en un instant. Toutefois, il précise que, pour lui, la contingence n’est pas la cause primordiale et majeure des choses : le hasard s’introduit dans l’histoire, mais à la marge, et relève surtout

: S'adapter aux situations existantes, se conformer et s'adapter à l'environnement. Analyse de sa propre situation et de celle de l'ennemi. Clauswitch (1889) : général prussien qui a écrit « De la guerre ». gagner ou perdre est issu du hasard. Impossible d'utiliser des anciens modèles. Remise à plat du passé et circonstances : diagnostic. Principes : Répartition des moyens, rapidité de décision, personnel motivé et disponible. Principes repris par les experts en gestion. B. Multiples

d'une vague idée, avant de réaliser son œuvre. Il serait inconcevable que l'artiste travaille sans savoir où il va. Il doit avoir une intention qui guide son activité créatrice. Comment créerait-il à partir de rien? Une œuvre qui semble le fruit du hasard choque le public. Mais si le projet impliquait une parfaite connaissance de ce que sera l'œuvre une fois achevée, si l'idée préalable était un modèle mental qu'il suffirait de reproduire dans la matière, le travail artistique proprement dit n'aurait

à de nouveaux travailleurs, qui sont alors sous l'égide d’un noble : Cela crée par la suite des inégalités sociale. Pour Marx, le travail ainsi que les techniques transforme l’homme et le prive alors de ses valeurs humaines. Ils n’ont d'autres finalités qu'une production de marchandises vénales, destinées à être commercialisé dans seulement quelques pays à haut pouvoir d’achats. Pourtant les avancées techniques et l’amélioration des moyens de production ne sont possibles que par un effort de plus

assimiler ? Ces efforts devraient alors être consacrés à le distinguer de la machine. Les questions liées de la possibilité et de la légitimité de l’assimilation du vivant à la machine impliquent nécessairement, pour leur résolution, la question de la finalité de cette assimilation. Historiquement cette assimilation a pour fin la connaissance du vivant et elle est récurrente dans l’histoire des sciences et de la philosophie. Cette dernière, en tant qu’entreprise de réflexion critique sur la réalité et

Elle consiste moins dans la multiplication des plaisirs que dans la faculté à savoir en jouir dans un plaisir parfait. A la fin du paragraphe, EPICURE rappelle que le bonheur est « le souverain bien », il est ce que recherchent tous les hommes, la finalité ultime. Le bonheur est une béatitude parfaire, une harmonie de la personne avec elle-même et avec les conditions générales de l’existence, c’est-à-dire l’ordre cosmique. Cette quête est difficile, elle exige un apprentissage, une pratique, un exercice