Déterminisme Psychique

Liberté contre déterminisme et fatalisme La question de la liberté, donc, peut être considérée comme une question métaphysique par excellence si nous considérons l'être humain dans sa possibilité de causer complètement ses actions, c'est-à-dire causa sui, ce qui dans l'antiquité était le point de vue d'Aristote, d'Épicure, de Ciceron; donc il s'agit d'un statut de l'être humain au sein de la nature. Mais, car l'homme existe dans un contexte déterminé, physique et social, une liberté inconditionnée

il y existe plusieurs conceptions du destin. Dans les sciences naturelles, l'univers physique est considéré comme soumis à des lois qu'il est possible d'expliciter afin de prévoir le devenir des phénomènes; Cette doctrine, qui est appelée le déterminisme, peut faire deux hypothèses générales: soit celle pessimiste d'un mouvement général de dégradation de l'information (entropie) aboutissant progressivement au chaos, soit au contraire l'hypothèse optimiste d'un long processus d'organisation du chaos

liberté : est-elle absolue ou admet-elle des degrés (l’homme serait-il plus ou moins libre selon les circonstances ?) Peut-être que le sens de l’existence doit être compris comme la perspective d’une libération progressive par rapport à certains déterminismes qui pèsent à l’origine sur l’individu : les conditions sociales, l’éducation, les désirs et passions, l’inconscient… Face à la question de l’existence de la liberté deux thèses philosophiques s’affrontent : - la conception du libre arbitre (Descartes):

constituent un moyen de distinction sociale. Selon Bourdieu, plusieurs types d’habitus suivant l’appartenance à telle ou telle classe. Ainsi classe populaire = notion de nécessité par le manque. On notera la possibilité d’exceptions, d’où pas de déterminisme, mais plutôt de grandes tendances que Bourdieu s’attache de mettre au jour. Contradiction à cette enquête par intermédiaire d’une autre, menée par un sociologue lyonnais, Bernard Lahire, publiée en 2004, et s’intitulant « La culture des individus

liberté – – La liberté est une absence d’entrave. L’action renvoie au conflit des passions vives (la haine) et des passions calmes (l’intérêt bien compris). Définition compatible avec le causalisme. Une action en tant qu’effet de motivations psychiques est toujours déterminée. – Les libertés La question du libre arbitre ● L’approche transcendantale kantienne – Il est toujours possible de choisir entre ses devoirs et ses penchants. L’action peut toujours être médiatisée par la réflexion

crime. Ainsi, pendant longtemps en France, criminels et fous étaient internés ensemble. En outre, au XVIIIe siècle, les déviations sexuelles étaient considérées comme signe d'anomalie mentale. (9) D'autre part, l'étude et le traitement des maladies psychiques se développent, au XIXe siècle, à partir d'événements judiciaires. Les tribunaux devaient décider si le crime commis résultait d'une instabilité mentale, du degré de responsabilité du suspect et, surtout, du danger que ce dernier constituait à l'égard

crime. Ainsi, pendant longtemps en France, criminels et fous étaient internés ensemble. En outre, au XVIIIe siècle, les déviations sexuelles étaient considérées comme signe d'anomalie mentale. (9) D'autre part, l'étude et le traitement des maladies psychiques se développent, au XIXe siècle, à partir d'événements judiciaires. Les tribunaux devaient décider si le crime commis résultait d'une instabilité mentale, du degré de responsabilité du suspect et, surtout, du danger que ce dernier constituait à l'égard

surtout observer ce qui se passe dans la société. Le début du 20ème siècle est important parce qu’on sent les prémisses. 1 – L’école française Elle a pour objectif de suivre et de dépasser Durkheim. Les Durkheimiens avec leur approche déterminisme, forme le premier paradigme. Paradigme : modèle de raisonnement qui va servir de repère pour analyser des situations variées. C’est un ensemble de concepts, de méthodes, de théories et de résultats admis à un moment donné par les scientifiques

endogènes et exogènes qui conduiraient au passage à l’acte. La liberté de l’ind et son déterministe conduit à relativiser ces explica°. En effet à la diff de l’animal commandé par ses instincts l’H a des tendances qu’il doit pvr rationaliser. A coté du déterminisme l’H conserve son libre arbitre et son personnalisme. L’infrac° est un acte perturbateur de l’ordre pbq; ttes les stés pr fonctionné a besoin d’un certains nbres de signe qui indique les valeurs sociales auquel elle croit. Le Cpén apparaît

essence provient du passé; et le changement : la durée n'est jamais identique à elle-même. Si elle n'est jamais identique à elle-même c'est donc qu'elle est imprévisible. C'est en elle que Bergson fait résider la liberté et s'opposant ainsi au déterminisme. Ainsi tout ne peut être déterminé à l'avance par des liens de causes à effets, puisque l'on ne peut trouver dans le passé la cause d'un événement accompli. Cependant si elle n'est pas déterminée d'où la liberté provient-elle? Puisqu'aucun fait