Ebolowa

On note une trentaine de compagnies de transport régulier. Ces compagnies opèrent sur les lignes qui relient les principales villes du pays, en particulier Douala, Yaoundé, Bafoussam, Bamenda, Bertoua, Ngaoundéré, Bafia, Ambam, Kribi, Kyé-Ossi, Ebolowa, Mbalmeyo, etc. Les conditions de voyage sont globalement inconfortables à cause des surcharges quasi-systématiques et des arrêts intempestifs qui sont le lot des transports normaux. Certaines compagnies lire cet environnement qui est autant d’opportunités

Yaounde 223 02 59 Cel www.multimania.com/hoteljouvence Détails >> ________________________________________ Hotel La Failaise B P 143 Bafang (237) 33 48 63 11 Aucun Détails >> ________________________________________ Hotel La Mvila B. P - Ebolowa (237) 22 28 43 34 Aucun Détails >> ________________________________________ Hotel La Residence Face Polytheque Melen B.p 12340 Yaounde 223 98 15/223 07 45 Aucun Détails >> ________________________________________ Hotel Le Continental

Les allogènes bamiléké sont originaires de l’ouest du pays, tandis que le lieu qui abrite le centre administratif et politique du pays reste le fief des autochtones béti. Récemment, une partie du pays a également brillé par la violence. En effet, à Ebolowa, dans la région du sud, après la découverte d’un crime crapuleux attribué à des délinquants17 d’origine ‘’bamoun’’, des affrontements sanglants ont éclaté entre les ressortissants de cette communauté et les autochtones Bulu18. Le deuxième volet de

populations locales, dans un régime de quasi-apartheid. Manga Bell a été destitué, accusé de haute trahison puis pendu le 8 août 1914 tout comme son secrétaire particulier, Adolph Ngosso Din. Ce même 8 août 1914, les Allemands ont fait fusiller à Ebolowa (sud) Martin Paul Samba, un ancien officier de leur armée qui voulait les chasser du Cameroun. Plusieurs autres figures de l’opposition à la pénétration germanique sont restées dans les mémoires des Camerounais, comme Manimben y Tombi, surnommé le

| |Centre – Sud – Est |9 |Yaoundé centre, Biyem-Assi, Yaoundé Le Parc, Yaoundé la vallée, Omnisport, | | | |Sangmélima, Mbalmayo, Bertoua, Ebolowa | |Nord |4 |Garoua, Kousseri, Maroua, Ngaoundéré | |Ouest |5 |Nkongsamba

sensibilisation au Cameroun ? Amély-James Koh-Bela : Une énorme enquête sur ce thème a été réalisée au cours du premier semestre 2005 par le Cipcre. Elle a été menée dans huit villes, mais pour ma part, je n’ai pu en faire que cinq : Bafoussam, Bamenda, Ebolowa, Douala et Yaoundé. Selon le rapport, 40% des jeunes filles camerounaises sont victimes de trafic à des fins d’exploitation sexuelle. Leur âge oscille entre 9 et 18 ans et 80 % d’entre elles s’adonnent à la drogue et à l’alcool pour espérer supporter

08 juillet 2008 payable à EBOLOWA 4) 500.000 FCFA 30 juillet 2008 payable à EDEA 5) 500.000 FCFA le 27 Août 2008 payable à Douala Les conditions d’escompte sont les suivantes : Taux d’escompte 8% ; commissions d’endossement 0,8% ; commissions fixes par effets 3000 FCFA hors taxe, commissions de service par effets 3500 FCFA hors taxe ; minimum de jour 15 jour ; minimum d’escompte 2000 FCFA, jour de Banque : 1jour sur Yaoundé, 2 sur DOULA, 5 sur Edéa et EBOLOWA ; TVA 19,25% TAF : trouver les

notamment la socucam à Mbandjock, l’huilerie socapalm d’Eséka… des industries du bois qui s’occupent du déroulage des contreplaqués D. Les transports La région est desservie par de nombreuses routes nationales exemple Yaoundé – Sangmélima, Yaoundé – Ebolowa – Kribi, Yaoundé – Douala, Yaoundé – Bafia – Bafoussam, Yaoundé – Akonolinga – Abong Mbang, Yaoundé – Nanga-Eboko – Bertoua…Cependant, la plupart des routes de la région ne sont pas encore bitumées. Le chemin de fer de fer dessert la région sur plus

bancaire positif de 03 milliards FCFA. Le patrimoine mobilier de la banque a été rénové, les investissements en matière informatique sont consacrés et une politique de gestion rigoureuse des crédits est adoptée. Plusieurs agences sont crées (kousseri, Ebolowa). L’état camerounais signe finalement avec le groupe Banque Populaire une convention de concession. Filiale du groupe Banque populaire, la BICEC bénéficie de l’expertise et de la solidité financière de ce grand groupe international, tout en conservant

d’Energie Electrique (CCDEE) qui assurait la distribution de l’eau et de l’électricité dans les centres de Yaoundé, Maroua, Nkongsamba et Mbalmayo. --- La Société d’Energie Electrique du Cameroun (ENELCAM) qui avait en charge les centres de Dschang, Ebolowa, Edéa, Foumban et Kribi. --- Les collectivités locales (régies municipales autonomes) qui géraient les centres de Bafang, Bafia, Garoua, Mbanga et Sangmélima en électricité et en eau. Plus tard, ces compagnies vont fusionner à l’initiative de l’Etat