École de Chicago

L’INTÉRACTIONNISME SYMBOLIQUE D’HIER À AUJOURD’HUI 1) INTRODUCTION L’Interactionnisme symbolique prendra racine au sein de l’École de Chicago au début du siècle dernier. La ville est en pleine mutation au niveau de sa population en passant de 299 000 habitants à 1,7 millions entre 1870 et 1900. De ce fait, la ville de Chicago deviendra un terrain propice aux réflexions et aux études sociologiques. Wilhelm Dithley a développé une réflexion sur l’herméneutique, entre l’explication et la

comme les frères Charles, Gustave et Auguste Perret en France ou Louis Sullivan à Chicago. Ce dernier construisit une série mémorable de gratte-ciel à ossature métallique, qui trouve son apogée avec les magasins Carson, Pirie & Scott en 1899-1904. Peu de temps après, un élève de Sullivan, Frank Lloyd Wright, innova d'une façon différente avec ses « maisons de la prairie » (« Prairie Houses ») dans la banlieue de Chicago. Bien qu'inspirées du mouvement Arts and Crafts, les formes basses et horizontales

travail il sera matière à développer, dans un premier temps, le gang en tant que formation à but revendicateur démontrant son appartenance à un groupe selon des caractéristiques particulières. Ensuite, nous attireront notre attention sur l’école de Chicago qui a centré ses études sur la criminalité en établissant un lien entre les vagues d’immigrations, les milieux ruraux et la délinquance selon le fait que les zones les plus touchées par la criminalité sont celles ayant subi des modifications par l’arrivée

purent s’affirmer qu’après les années 1870 quand l’impressionnisme commença à s’essouffler. Ces divers mouvements peuvent être regroupés sous la dénomination : « Postimpressionnisme ». Le post-impressionnisme, terme proposé par Roger Fry, est donc une école picturale française apparue à la fin du XIXème siècle. Elle est à la fois une extension de l'impressionnisme et le rejet de ses limites. Comme les impressionnistes, les peintres post-impressionnistes utilisent des couleurs vives, l'application épaisse

commet cet transgression soit étiquetée comme déviant qui peut se faire que pdt une interaction , il n’y a pas de transgression sans personne pour la remarquer ni stigmatisation. C’est en particulier les auteurs de la 2emes écoles de Chicago Goffman et Becker qui ont introduit cet notion d’étiquetage ils ont insisté sur le fait que ce processus de stigmatisation pouvait se faire de façon formelle ou informelle , comportement avec les déviants étudiées dans les « rites d’interactions »

montre que le taux de suicide baisse tout au long de la semaine, tout au long de la semaine, du lundi au dimanche qui décroit >>> chez les hommes Pour les femmes idem mais il y a un pic de "non" suicide le jeudi >> époque où les enfants n'avaient pas école à l'époque >>> on constate qu'aujourd'hui le taux de suicide chute le mercredi (pareil là où les enfants sont à l'école) >> thèse solide de Durkheim là dessus La façon dont Durkheim explique le suicide par interprétation, il essaye de comprendre. Les

dans les théories économiques mais aussi dans les sciences de gestion notamment par Michael Porter (1980)-5 forces de porter. En France s'est dev dans les ans 40 tout un courant de pensées à Nice ..par plusieurs auteurs. La particularité de cette école est qu'elle lie l'économie de marché à l'économie de la p°: l'école de la dynamique industrielle. L'objectif est aussi d'analyser le bien-être optimal et l'efficience productive.Au service de la société ainsi que des gouvernements. Comment est elle

à Mannville, Alberta (Canada), le 11 juin 1922 et décédé à Philadelphie, en Pennsylvanie, le 19 novembre 1982. Il est un des principaux représentants de la deuxième École de Chicago. Goffman entreprend des études de sociologie à l'université de Toronto (1944) où il est l'élève de Ray Birdwhistell, puis à l'université de Chicago (1945) où il est l'élève de Herbert Blumer et Everett Hughes. En 1952, il part pour les îles Shetland, au nord de l'Écosse, observer la vie locale pendant douze mois

l’ultralibéralisme. Après son doctorat, il enseigne à l’université de Chicago de 1946 à 1977. Chef de file d’une véritable contre-révolution keynésienne dès les années 50, il a vu ses idées triompher dans les années 70, et reçu le prix Nobel en 1976. Il a été le conseiller de nombreux candidats à la présidence des Etats-Unis, résolument ancrés à droite (Richard Nixon et Ronald Reagan notamment). Alors qu’il est professeur à l’université de Chicago, il a également été consulté par le général chilien Augusto

d’emploi dans le Journal de Montréal qui lui avait permis d’attirer plus de 300 candidats. Dans cette offre d’emploi, il spécifiait que les personnes intéressées devaient se présenter pour la sélection, déguisées en star de cinéma, dans un gym¬nase d’une école secondaire, un samedi à 9 h. Ce matin-là, les 300 candidats étaient invités à attendre le moment de leur entrevue dans le gymnase de l’école; une musique pop assourdissante y était diffusée et les candidats étaient invités à danser, à chanter et