École littéraire de Montréal

directeur de l'EBAD au moment où nous y travaillions, fut le premier à être informé de notre projet — qui doit tant à la pédagogie concrète exercée à l'EBAD, monsieur Richard Gardner, alors directeur de l'École de Bibliothéconomie de l'Université de Montréal, madame Lermyte, présidente de l'AIESI, qui ont su convaincre cette association de l'intérêt d'une telle publication et nous donner les moyens de la réaliser, l'UREF dont l'aide a stimulé un courage parfois défaillant, monsieur Bruno Delmas, directeur

en partenariat, nous avons approché l’Insead, où j’enseignais également à l’époque. Mais cela ne nous a pas menés très loin, c’est pourquoi j’ai appelé Jonathan Gosling, à l’université de Lancaster, pour voir si notre projet pouvait intéresser son école. Il fallait qu’il en parle à une ou deux © Éditions d’Organisation X Préface © Éditions d’Organisation personnes, m’a-t-il répondu, en particulier le doyen. Une heure plus tard, il me rappelait! J’ai dûment rédigé un memo destiné à

spirituelle. Entre 1919 et 1939 les Arméniens vivent en France une activité culturelle. A Paris sont édités les journaux, les revues et les ouvrages en arménien les plus célèbres d’Europe. En 1932 naît Charjoum (Le Mouvement), un périodique littéraire scientifique, en 1936 et 1937, le journal Agos (Le Sillon), le bimensuel humoristique Aklor (Le Coq), le périodique Norachèn (Ville Nouvelle), dédié aux sciences, aux métiers et aux différentes formes d’artisanat. En 1930, Hrand Samuelian (1891-1977)

chômeurs en fin de droits relève avant tout de l’assurancechômage et de la négociation entre les partenaires sociaux. Anne Rodier et Adrien de Tricornot aaa Lire la suite page 4 Vous êtes ingénieur étudiant(e) et diplômé(e) bac+5 d’une grande école ou d’une université ? Retrouvez-nous au dos de ce journal. Martin Wolf p.2 Les leçons à tirer du déclin de l’économie japonaise Recherche p.6 «Risque Pays» 2010 p. 7 Le Prix 2010 Cofaceprévoitunefaible «Finance et croissanceenEurope développement

vie spirituelle. Entre 1919 et 1939 les Arméniens vivent en France une activité culturelle. A Paris sont édités les journaux, les revues et les ouvrages en arménien les plus célèbres d’Europe. En 1932 naît Charjoum (Le Mouvement), un périodique littéraire scientifique, en 1936 et 1937, le journal Agos (Le Sillon), le bimensuel humoristique Aklor (Le Coq), le périodique Norachèn (Ville Nouvelle), dédié aux sciences, aux métiers et aux différentes formes d’artisanat. En 1930, Hrand Samuelian (1891-1977)

antique, considérée dès lors comme plus anodine, n’a jamais été aussi sévèrement contrôlée que l’iconographie chrétienne, même si elle a contribué aussi à nourrir le grand genre de la peinture d’histoire. Devenue essentiellement allégorique et littéraire, voire décorative, la mythologie offrait autrement plus de liberté aux artistes que les programmes inspirés par la Bible ou la Légende Dorée, l’érotisme pouvant s’y réfugier, tout comme s’en saisissaient d’autres genres profanes, tels le portrait

des indépendances africaines des années 60-70 : Les Écailles du ciel de Tierno Monénembo et Les Soleils des Indépendances d’Ahmadou Kourouma. Les Écailles du ciel est édité en 1986 aux éditions du Seuil et Les Soleils des Indépendances en 1968 à Montréal, puis en France en 1970 aux éditions du Seuil.1 Les œuvres se distinguent d’abord par le temps puisqu’elles ont été publiées à 18 ans d’écart. Le roman de Kourouma arrive 8 ans après l’indépendance de la Côte d’ivoire (1960) alors que celui de

prendre la parole devant le Conseil commercial Canada Chine, cette fois-ci à Beijing, où vous êtes si nombreux à réussir. » Ou encore, le général de Gaulle2 « C’est une immense émotion qui remplit mon cœur en voyant devant moi la ville française de Montréal. Au nom du vieux pays, au nom de la France, je vous salue de tout mon cœur. » On peut, avant de manifester son bonheur, rappeler le contexte : « Au terme de ce 256e colloque international d’études bourdieusiennes, je tiens à exprimer ma gratitude

dans chacune de ces composantes. Pas facile non plus 1 TRAITER ET RÉSOUDRE UN CAS PRATIQUE… dans ces conditions pour un recruteur de faire la part des choses entre le déclaratif et le réel quand il a affaire à un candidat à peine sorti de son école de commerce ou de management. Bien sûr, il y a le diplôme. Ce dernier garantit l’acquisition de qualités techniques, souvent éprouvées lors de stages ou de périodes d’alternance. Pourtant ce dont a besoin le recruteur, c’est d’éléments tangibles lui

de ces composantes. Pas facile non plus M 1 TRAITER ET RÉSOUDRE UN CAS PRATIQUE… dans ces conditions pour un recruteur de faire la part des choses entre le déclaratif et le réel quand il a affaire à un candidat à peine sorti de son école de commerce ou de management. Bien sûr, il y a le diplôme. Ce dernier garantit l’acquisition de qualités techniques, souvent éprouvées lors de stages ou de périodes d’alternance. Pourtant ce dont a besoin le recruteur, c’est d’éléments tangibles