Edit 1679

Stabilité ministérielle extraordinaire sous Louis XIV, le roi accepte la survivance (succession de l'enfant à son père), on peut alors parler de dynastie ministérielle. Louis XIV a déjà chassé des ministres, comme Arnaud de Pomponne, disgracié en 1679, car il ne représentait pas le roi avec assez de gloire sur la scène internationale. Toute les familles ministérielles sont issue de la robe, car noblesse d'épée bannie. Prendre des gens à son service qui lui doivent tout c'est s'assurer de leur fidélité

d’honneurs, et de ce fait totalement soumis au pouvoir royal. La première partie du règne de Louis XIV est marqué par de grandes réformes administratives, édits, ordonnances, le Code Louis en 1667, sorte de code civil, Code Criminel en 1670, Code Forestier, Edit sur les classes de la marine en 1669, ordonnance de commerce en 1673 et le Code Noir, en 1685 sur l’esclavage. Puis, trop occupé par la guerre, Louis XIV laisse à Colbert les rênes de l’économie nationale. Colbert essaie de remettre les finances en

romain est à étudier mais qu’il n’est pas obligé par ce droit, en fait l’enseignement du droit romain est autorisé dans le royaume de France : 1235 Orléans, … De façon officieuse cet enseignement se développe. A Paris il ne sera autorisé qu’à partir de 1679 sous Louis XIV qui créera une chaire du droit français. Ce droit romain se diffuse en Europe aussi. Cette réflexion doctrinale que suscite le droit romain permet de retrouver la réflexion juridique qui permet elle-même de redécouvrir le concept

nature du régime, domina. Progressivement, le régime devient donc de plus en plus monarchique. - Dynastie des Sévères (193 à 235), l’absolutisme l’emporte et définitivement. C’est au cours de cette dynastie que Caracalla en 212 a promulgué un édit (Edit de Caracalla) qui a eut un retentissement important. Il a octroyé la citoyenneté romaine à tous les habitants de l’Empire quels qui soient. Il a offert aux habitants de l’Empire soit de conserver leur ancien statut soit de devenir citoyens romains

taches subalternes sont confiés a des commis qui sont recrutés, rémunérés et qui sont placés sous la responsabilité des officiers. Au 17e, on a une multiplication de ce personnel et notamment le corps des professeurs royaux, de droit Français crée en 1679. Ils ont une obligation de service et de discipline. Ingénieurs des fortifications (ponts et chaussés). Ces personnels ont un point en commun: recruté en concours, soumis à un statut qui va déterminer à certains nombres d’obligation et d’avantages

plus bienvenue qu’on craint alors que le renouveau des études de droit romain ne fournisse des arguments à l’empereur pour s’immiscer dans les affaires françaises : l’enseignement du droit romain sera même interdit à l’Université de Paris de 1219 à 1679 (supra, bulle Super speculam). - À l’égard du pape : les rois de France considèrent qu’ils ne tiennent leur royaume que du Ciel, devenant par l’onction du sacre lieutenants de Dieu. Sur le plan temporel, ils ne reconnaissent aucune supériorité,

droit romain. Les Romains conquièrent les territoires mais ne changent pas les coutumes . Les coutumes locales sont préservé, néanmoins il faut quel soit conforment aux valeur romaines. → édit de Caracalla (212), apparition du « droit vulgaire ». *offre le droit romain à l’ensemble des population dominés par Rome. Cette acculturation rend d’avantage possible l’assimilation du droit romain à la place de celui en place

calqué presque entièrement sur une autre codification : l'Édit du préteur. Le préteur, comme il convient de le rappeler ici, était un magistrat chargé de l'organisation de la Justice. Il se faisait élire pour un an sur un programme électoral, un édit, que le candidat s'engageait à appliquer durant sa magistrature. Mais au IIe siècle de notre ère, les édits étant beaucoup trop nombreux, l'Empereur Hadrien chargea Julien, Salvius Julianus, de les figer dans une codification ; ce qu'il effectua, entre

Les successeurs de Philippe Auguste vont constater que certains juristes vont étudier le droit romain ailleurs. D’autres rois vont devoir prendre des décisions supplémentaires sur ce terrain. Philippe III (dit Le Hardi, son fils), en 1275 prend un édit (légifère) pour interdire aux avocats d’alléguer des arguments de droit romain dans les procès, et ce surtout pour protéger la coutume. Ces coutumes, notamment dans le midi de la France, sont inspirées de l’ancien droit romain. Finalement, dans le

entretenu des jardins d'herbes médicinales pour produire des remèdes à base de plantes et ceux-ci constituent encore une partie de la médecine populaire, tout en étant utilisés par certains médecins. Des livres sur les remèdes à base de plantes ont été édités, un des plus célèbres d’entre eux étant un livre gallois, le Livre Rouge de Hergest (Red Book of Hergest), datant des années 14003. Pratique de la "saignée" et hygiène médiévale [modifier] Les saignées médicinales apparurent en 1130 ; pratiquées