Edit Caracalla

citoyenneté romaine a été accordée d’abords à tous les citoyens en -90 av. J-C, ensuite elle est accordée aux aristocrates dans les grandes villes de l’empire romain avec Claude. Puis, elle est accordée à tous les hommes libres de l’empire avec Caracalla. Conclusion : le cas de la démocratie athénienne termine bien avant la domination de l’empire romain. La citoyenneté est une conception très différente de la citoyenneté appliqué dans l’empire romain : la citoyenneté athénienne est limitée et restreinte

(jusqu’en 235). 212 : Edit de Caracalla 235 : Anarchie militaire (jusqu’en 284). Les goths franchissent le Danube. Invasion des Francs et des Alamans en Gaule (253). Persécution contre les chrétiens. EMPIRE TARDIF (284-565) 284 : Dioclétien. Début du dominat .Réforme fiscale (Capitation).Réorganisation des provinces et de l’Italie. Code Grégorien et Hermogénien. 313 : Victoire de Constantin sur le pont Milvius ; Edit de Milan. 325 : Concile de Nicée. Sentences de Paul. 380 : Edit de Thessalonique

octroie donc la citoyenneté à tous les hommes libres italiens. -Comme les provinciaux citoyens demeurent rares, Claude accorde le droit de cités aux provinciaux, et en particulier aux magistrats gaulois. -Ce n'est qu'en 212, grâce à l'édit de Caracalla, qu'une vrai révolution intervient. L'empereur accorde la citoyenneté à tous les hommes libres de l'Empire. c) La Romanisation, qu'est que c'est ? Rome, en conquérant la Gaule, réussit à intégrer la culture romaine à tous les habitants libres

milieu du IIe siècle av. J.-C. Sources principales : Coutumes et Loi des XII Tables Droit Classique : du dernier siècle de la République (Ier siècle av. J.-C.) au dernier siècle du Haut Empire (IIe siècle ap. J.-C.) Source principale : Edit du prêteur Droit du Bas-Empire : de l’avènement de l’Empereur Dioclétien (284) à la mort de Justinien, empereur d’Orient (565) Sources principales : Constitutions impériales, Compilation Justinienne Repères historiques - 753, fondation

- La démocratie vue et discutée par les Athéniens Citoyenneté et empire à Rome (Ier-IIIème siècle ap JC) - L’extension de la citoyenneté à la Gaule romaine : les tables claudiennes - L’extension de la citoyenneté à l’ensemble de l’empire : édit de Caracalla Karine Ramondy, Paris IV-IUFM, groupe académique lycée Problématiques à envisager - Confronter les deux approches très différentes de la citoyenneté au niveau conceptuel et territorial - Importance de la pérennité de l’empire liée à l’octroi

provinciaux B / L’extension de la citoyenneté dans l’Empire L’Edit de CARACALLA ; Les motifs religieux sont invoqués par Caracalla pr étendre la citoyenneté à tt les hommes libres de l’Empireles Pérégrins. Intégrer des peuples nvx aux groupes des citoyens romains s’est leur imposer de pratiquer la religion romaine dont le culte impérial. L’hostilité des Elites romaine face à cet Edit. Ca tient de la personnalité tyranique de Caracalla,à la pression fiscale qu’il impose aux citoyens romains mais aussi

étranger peut devenir citoyen. La citoyenneté est ouverte, elle porte vers l’universalité et contrairement à celle d’Athènes n’est pas attachée à un territoire étroit qui est celui de la cité. A Rome, l’extension de la citoyenneté par l’édit de Caracalla (212) à tous les hommes libres de l’empire porte sans doute à 1 million le nombre de citoyens, dont 300 000 à Rome (soit un petit tiers de la population). Cette citoyenneté est d’abord juridique, et vise à offrir les mêmes droits à tous les hommes

la citoyenneté romaine :  Quels sont les 4 critères nécessaires pour obtenir cette citoyenneté ? Deux empereurs vont faire évoluer le droit romain : Claude, en 48 après J.-C. accorde la citoyenneté à toutes personnes exerçant une magistrature et Caracalla en 212 après J.-C. fait de tout homme libre de l’Empire un citoyen romain.  Discours sur l’entrée des Gaulois au sénat romain « C’était vraiment une coutume nouvelle lorsque le Divin Auguste (1), mon grand oncle maternel et mon oncle maternel Tibère(2)

affranchissement. Mais au début de l’empire, selon le statut des villes, on ne peut en détenir qu’une partie → les citoyens de droit latin possèdent le droit de vote, non celui d’éligibilité. Le droit de cité est progressivement étendu jusqu’à l’édit de Caracalla en 212 qui le reconnait à tous les individus libres de l’Empire. Les conditions d’accès sont moins contraignantes à Rome, ce qui explique le nombre croissant de citoyens du 1er au III siècle. La période étudiée couvre le Haut Empire (14-235)

solution juridique déjà prévue. Cela montre qu'il y a deux phases successives, il y a la phase devant le préteur et la phase devant le juge. Cette manière de créer du droit est à l'origine du droit prétorien. 2/ Les caractères du préteur Cet édit présente un certain nombre de caractère car on dit souvent que l'édit du préteur a un caractère concret, souple et honoraire. C’est concret car il n'y a pas de théorie juridique mais des hypothèses très concrètes, de la souplesse car chaque année