Effet multiplicateur du crédit

administrations de sécurité sociale sont également excédentaires III – LE MUMTIPLICATEUR BUDGETAIRE ET LES POLITIQUES DE RELANCE PAR LA DEMANDE L’efficacité des politiques budgétaires repose sur un argument théorique : le multiplicateur. 1. Le principe du multiplicateur Keynésiens Les dépenses de l’Etat i. Achats de B&S aux entreprises : Dépenses Publiques ii. Dépense de transfert (aide + services aux entreprises, transferts sociaux et ménages) iii. Dépenses de fonctionnement iv. Dépenses

modification de structure profonde qui affecte l’ensemble de la société. La croissance économique se mesure par le pourcentage du PIB, la production effective des différentes branches résidente au cours d’une année civile. La mesure en pourcentage a un effet sur la croissance économique. Plus un pays produit, plus son taux de croissance sera faible. Production effective : tenir compte de l’évolution des prix. Un produit = une branche. On va considérer l’activité économique réalisé au cours de l’année sur

l’offre de monnaie semble-t-elle rendre compte de manière pertinente de la réalité ? La crise financière survenue cet été a été le point de départ d’une prise de conscience sur les dangers d’une création monétaire sans limite à travers l’accord de crédits à des clients peu solvables dont les créances sont introduites sur le marché financier. Dans ce cas, le phénomène de création monétaire est qualifié d’endogène c'est-à-dire dépendant de la demande par opposition à l’exogénéité de l’offre de monnaie

à des déficits mais ces déficits seront inférieur à la hausse de la production. Politique budgétaire : Effet multiplicateur. - Monnaie active, instrument de réserve de valeur = elle peut être demandée pour elle-même => thésaurisation : mettre de l’argent de côté (fuite de monnaie). Elle n’est plus neutre. - On doit injecter de la monnaie = baisser les taux d’intérêts pour augmenter les crédits = création monétaire. - Keynes va étudier une partie de l’économie d’incertitude. - Euthanasie des rentiers

COURS I. LE BUDGET DE L’ETAT A. La Loi organique des lois de finance (LOLF) B. Le solde budgétaire C. Le budget 2010 – 2011 D. La réaction au budget 2010-2011 II. LA POLITIQUE BUDGETAIRE A. Déficit public et dette publique B. La notion de multiplicateur C. Les conséquences d’un déficit 2 I. LE BUDGET DE L’ETAT Le budget de l’Etat représente le principal instrument de l’Etat pour agir sur l’économie. En France, c’est la Loi de Finance, puis la Loi Organique sur les Lois de Finance (LOFL)

l’économiste britannique Nicholas Kaldor (1908-1986) : plein emploi, stabilité des prix, équilibre de la balance extérieure, croissance. Ces quatre objectifs paraissent difficiles à atteindre simultanément, d’où l’expression de « carré magique ». En effet, une forte croissance permet le retour au plein emploi mais s’accompagne généralement d’une hausse des prix (inflation) et d’une hausse des importations, qui creusent le déficit de la balance commerciale (exemple des États-Unis en 2006). À long terme

défaut) et de leur portefeuille de crédit (modélisation des dépendances des défauts). Suite au développement des méthodes de gestion du risque de crédit comme la méthode de rating des agences de notation professionnelles ou la méthode de Z-score pour déterminer le risque de défaillance des entreprises, le Comité de Bâle II propose le système de notation interne comme un nouveau moyen de gestion de risque de crédit qui servent à l’évaluation des risques de crédit, à l’attribution des notations internes

parle de la plus value : part de la richesse créée par le prolétariat et accaparée par la bourgeoisie (signe de l’exploitation) * 50-70 : AMIN et EMMANUEL = le « centre » (N) exploite la « périphérie » (S). L’école des Tiers Mondistes perd en crédit avec les chocs pétroliers : OPEP (Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole) = pays dominés dictent aux pays dominants. * École de la régulation fondée par AGLIETTA : école française, qui explique les cycles du capitalisme. Un capitalisme

qui ont des incidents sur elle. Les chocs sont positifs ou négatifs sur les fluctuations, elles peuvent provoquer soit des phases ascendantes, soit la crise. A. Les causes naturelles Elles ont un double effet. • Effet négatif Ce sont les chocs climatiques. Ils ont un effet négatif sur l'économie. C'est l'origine des crises d'ancien régime, qu'on appelle les crises de subsistance, crises frumentaires ou crises à antécédence agricole. Ces crises ont rythmé tout le 18ème siècle et une

seul marché. 3.2 La conjoncture économique Si les consommateurs ou les investisseurs sont pessimistes ou contraints sur leur demande de crédit auprès des banques ( et diminuent), alors le revenu diminue. La crise actuelle est d’abord une crise bancaire qui s’est traduit par moins de crédits distribués aux ménages et aux entreprises: rationnement du crédit. L’idée même d’une crise économique est porteuse de phénomènes de défiance dans l’avenir qui baisse la consommation et l’investissement. Les