Effet multiplicateur du crédit

recherche de flexibilité……………………………………………. Exercices d’application……..………………………………………………………………. CHAPITRE II : LA POLITIQUE BUDGETAIRE………………………………………………….. Portée de la politique budgétaire…………………………………………………………. I.1) Les multiplicateurs budgétaires et les stabilisateurs automatiques………………. a) Cas d’une économie fermée…………………………………………………. b) La spécification d’une fonction fiscale……………………………………… c) L’introduction des transferts…………………………………………………

licencier les travailleurs en surnombre. Le chômage appelle le chômage et la dépression risque de s’accentuer. L’intervention de l’Etat est donc nécessaire pour J.M Keynes. Comment doit-il intervenir ? Avec quels moyens ? Pour quels objectifs ? A – Les effets des fluctuations sur les grands équilibres macroéconomiques a) – Un instrument d’analyse de la conjoncture : le carré magique 1. La conjoncture correspond à un état de l’économie à un moment donné. Cet état est repéré par la situation des grands équilibres

établissements de crédit, les OPCVM11 de court terme b) A partir de ces agrégats monétaires, on calcule le taux de liquidité et la vitesse de circulation de la monnaie : Le taux de liquidité permet d’évaluer la propension des agents à conserver des actifs liquides : La vitesse de circulation de la monnaie12 est l’inverse du taux de liquidité : V = B) La création monétaire consiste à monétiser des actifs auprès d’agents non-financiers : 1- Lorsqu’une banque accorde un crédit, elle crée par-là

sur les fonds disponibles au crédit du compte du tireur. - Le virement : Opération par laquelle un banquier sur ordre de son client, prélève une somme au crédit du compte à vue de ce dernier ; pour le transférer au crédit du compte à cue du tiers dans la même banque ou dans une autre. - Les effets de commerce : Ils permettent de régler à échéance de dettes commerciales, ils ne peuvent êtres utilisés que par des professionnels. C’est à la fois un instrument de crédit et de paiement. On distingue

de la fin des années 1970, succèdent de nombreuses crises financières. La crise de subprimes et ses conséquences :2008-2011 : la crise économique de 2008-2011 est la crise mondiale la plus sévère observée depuis 1930. Elle commence par un excès de crédit aux Etats-Unis, dans l’immobilier (crise de subprimes) et se transmet au reste du monde par une innovation financière, la titrisation. Crise bancaire et crise boursière se conjuguent pour provoquer une chute brutale de la demande, de la production

4.1 Objectifs et gouvernance de la gestion des risques..................................................10 4.2 Structure et principes d’évaluation des risques.........................................................11 4.3 Risque de crédit ........................................................................................................12 4.4 Actifs sans contrepartie .............................................................................................43 4.5

monnaie en accordant des crédits. Cependant, les banques doivent respecter les limites fixées par les autorités monétaires. (Principalement les BC) 2.1 Les principes généraux de la création monétaire La monnaie est créée Ex nihilo (= à partir de rien). La principale contre partie de la création monétaire est constituée par les crédits que les banques accordent à l’Économie. La valeur de la monnaie repose sur la confiance accordée aux emprunteurs (ceux qui demandent les crédits) dans leur capacité à

Hypothèse n° 2 = Le niveau de la production (ou de l’offre) dépend de la dotation des facteurs de production, c’est-à-dire de la quantité de travail et de capital disponible dans le pays. Or, ces facteurs sont toujours en plein-emploi.  En effet, si le chômage se développe sur le marché du travail, l'offre de travail des salariés étant supérieure à la demande de travail des entreprises, le salaire réel (le prix du travail) va diminuer, ce qui baisse les coûts de production et accroît les profits

multiplication des revenus, de la demande et de la production qui permettre d'atteindre le plein emploi. L'importance du phénomène dépend du « multiplicateur » keynésien découvert par Kahn : K = 1/1 – c = 1/s o o o o o K = Multiplicateur c = Propension marginale à consommer s = Propension marginale à épargner Hausse de la production = Dépense initiale x Multiplicateur Ainsi, si l’Etat sait qu’il faut produire 100 milliards d’€ en plus pour créer suffisamment d’emplois pour mettre fin au chômage et que

micropaiement, de mandats postaux, etc. Multiplicateur (des dépenses publiques): rapport entre la variation du revenu national et celle des dépenses publiques. L'effet multiplicateur varie suivant le type de mesures (baisse des impôts, hausse des investissements publics…), le mode de financement du déficit, l'ouverture sur l'extérieur, les réactions des agents. Alors qu'un multiplicateur théorique simple peut être supérieur à 5, les estimations tenant compte de tous ces effets sont en général proches de 1.