Efficacité De La Justice Pénale

public ayant le droit d'instrumenter tant en considération du lieu que de la nature de l'acte et avec les formalités requises (art. 1317 du Code Civil). Les différents officiers pouvant faire usage de ces actes sont les notaires, les huissiers de justice, les officiers d'état civil ainsi que les consuls à l’étranger. Mais pour que cet acte soit authentique, il doit remplir certaines conditions : avoir été dressé par un officier public compétent et l’acte doit être rédigé sous des formalités qui augmentent

doit respecter la ou les règles qui lui sont supérieures, sont concernés le contrôle d'internationalité ou de conventionnalité, le contrôle de la légalité et le contrôle de constitutionnalité. Alors, il s'agit, de savoir dans quelles mesures le juge pénal peut exercer lui même ces contrôles sur le fondement d'un texte dont le prévenu conteste la conformité par rapport à la norme qui lui est supérieure. Aujourd'hui, les solutions sont marquées par une très nette percée du principe de plénitude de juridiction

part et besoin de justice d autre part. Besoin de sécurité car la présence d une règle de droit permet aux citoyens de savoir ce qu il peut faire et ce qu il doit tolérer de la part de ses concitoyens. Besoin de justice  car si l homme tolère que ses désires soit limité par une règle de droit encore importe t-il que cette règle soit juste. Ce besoin de justice peut il être satisfait par la règle de droit ce qui revient à rechercher si le droit peut il être fondé sur la justice ? → 2théses :

statuent ensemble. Juge unique et collégialité constituent depuis longtemps le sujet d'une dispute académique entre efficacité immédiate et raison. Les impératifs d'une rapide administration de la justice étant évidemment les alliés du juge unique. Néanmoins c'est la collégialité qui est admise comme principe traditionnel pour apprécier les éléments constitutifs d'une bonne justice. Les juristes ne semblent en effet pas oublier ce que Corneille fait dire à Don Fernand, dans le Cid: " l'affaire est

nature une contrainte puisqu’il limite les faits et gestes de citoyens. Ainsi, dans une société ayant trop de droit, l’homme se sent complétement serré et étouffé. C’est ce qu’a voulu démontrer Jean Carbonnier en prouvant que trop de droit nuit à son efficacité et à son application. Dès l’Antiquité, le problème de l’inflation de droit a été remarqué et il est encore aujd constaté sous la Vème République. De la même manière que l’inflation monétaire a pu être étudiée par de grands économistes, Carbonnier

perspective longue, à l’opposé des « coups » médiatiques et des opérations coups de poing. Elle présente plusieurs volets et plusieurs objectifs : - La prévention des violences juvéniles - La prévention des incivilités qui ne sont pas de nature pénale - La prévention doit également être de nature dissuasive pour se concentrer sur les situations de risque de passage à l’acte - La prévention des violences urbaines : la nécessaire répression des violences urbaines doit être accompagnée d’une politique

contentieux, les décisions du Conseil d'Etat n'étaient rendues définitives que par la signature du chef de l'Etat, qui devait approuver les projets lui étant soumis. On se trouve alors dans un système de « Justice retenue ». C'est par la loi du 24 mai 1872 que l'on passe à un système de « Justice déléguée ». Celle-ci reconnaît au Conseil d'Etat le pouvoir de juger lui-même définitivement, sans que ses arrêts aient à être soumis à l'approbation du chef de l'Etat. D'autre part, le Conseil d'Etat met

tribunaux de France, droit public, privé) Le code pénal est harmonisé avec le code de commerce. Si pour un particulier le droit commercial ne peut être appliqué, alors on a recours au droit par code civil. Organisation judiciaire en France Présentation des tribunaux qui existent en France. Dans l’organisation judiciaire : indépendance des juges. Une juridiction : n’importe où se rend la justice. Une instance qui rend la justice. On rend la justice soit en tranchant les litiges entre particuliers

événements nous amène a nous questionner sur la capacité des états et de la communauté internationale à prévenir et lutter contre le terrorisme. Les Etats tentent unilatéralement de mettre en place des instruments et stratégies à cet égard, sans réelle efficacité, comme nous le prouve la réalité des faits. Dans le même temps, ces derniers ratifient de nombreux traités et conventions dans le but de lutter contre les actes terroristes et l’assemblé générale des nations unies, ainsi que le conseil de sécurité

droits subjectifs, parce qu’ils sont définis par référence à leur titulaire. Distinction fondamentale, mais cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de relation entre les deux. Bien au contraire, les droits subjectifs puisent leurs origines et leurs efficacités dans le Droit objectif. C’est parce qu’il existe des règles générales que les particuliers peuvent prétendre avoir des prérogatives individuelle, et peuvent aller devant un tribunal. Le droit à un double obj : concilier l’existence de la liberté