Électron

Prise de note chapitre 3 corentin paillet rappel : liaison covalente = mise en commun de 2 électrons de valence I) LIAISON POLAIRE quand un atome attire plus vers lui les electrons qu'on autre atome (comme le Cl avec H) on dit que l'atome en question est plus électronégatif que les autres atomes . électronégativité : capacité d'un élément a attirer vers lui les éléctrons de la liaison. Les gaz rares n'ont pas d'éléctronégativité dans une liaison, l'atome qui a le plus d'éléctronégativité

agencés les électrons à l'intérieur de l'atome. Exemple : une modélisation de l'oxygène, selon Kimball. Fiche 4 Les modèles atomiques B. Les principaux modèles atomiques : 1798 DALTON Sphère compacte. Tous les atomes d'un même élément sont identiques ; chaque élément possède sa propre sorte d'atome. 1897 THOMPSON Il découvre que l'atome contient des particules plus petites, chargées négativement. Ces particules ont été appelées électrons. Dans le modèle de Thompson, les électrons n'ont

que le Silicium, cette zone est donc dopée négativement (zone N). Lorsqu'un photon de la lumière arrive, son énergie crée une rupture entre un atome de silicium et un électron, modifiant les charges électriques. C'est ce qu'on appelle l'effet photovoltaïque. Les atomes, chargés positivement, vont alors dans la zone P et les électrons, chargés négativement, dans la zone N. Une différence de potentiel électrique, c'est-à-dire une tension électrique, est ainsi créée. Il existe 3 types de cellules

propriétés électroniques. En effet l'atome de silicium possède quatre électrons sur sa couche externe ce qui lui permet d'être lié à quatre autres atomes (configuration électronique du silicium: (K)² (L)8 (M)4 ). Une cellule est composé deux couches respectivement dopé N et P c'est à dire qu'elles sont dopé négativement ou positivement. En effet en rajoutant quelques atomes de phosphore dans les couches de silicium un électron ne participe pas aux liaisons et sera donc libre ce qui engendra un excès

conducteurs intrinsèque et extrinsèque. Voir cours 2. Un semi-conducteur intrinsèque de silicium possède, à température ambiante, une conductivité électrique de 4*10-4-1.m-1 ; la mobilité des électrons et des trous valent respectivement 0.14 et 0.048 m².V-1.s-1. Calculer les concentrations en électrons et en trous à température ambiante. =4*10-4-1.m-1 ; e=0.14 m².V-1.s-1 et t=0.48 m².V-1.s-1 Or avec ne et nt le nombre d’électrons et le nombre de trous par m3. Dans le cas d’un semi-conducteur

de l'octet : Les éléments de numéro atomique proche de l'hélium cherchent à acquérir 2 électrons sur leur couche externe (structure en K2). C'est la règle du duet. Les autres cherchent à en acquérir 8. C'est la règle de l'octet. 2) Quand les atomes se lient entre eux. Pour répondre à la règle du duet ou de l'octet, 2 atomes peuvent chacun mettre en commun un électron de leur couche externe. Ces 2 électrons communs forment un doublet liant. On dit aussi que les 2 atomes sont liés entre eux par

lorsqu'il passe entre deux plaques métalliques chargées : il ne s'agit pas d'une onde mais de particules chargées négativement. Il les appelle électrons. En1903, deux scientifiques anglais, Ernest Rutherford et Frédérick Soddy, comprennent que la radioactivité provient de la transformation d'un atome en un autre atome. L'uranium émettait non seulement des électrons mais aussi des particules plus grosses que l'on appelera plus tard des protons.  De 1906 à 1908, deux élèves de Rutherford bombardent avec

atome est constitué d'un noyau concentrant plus de 99,9 % de sa masse, autour duquel se distribuent des électrons pour former un nuage 40 000 fois plus étendu que le noyau lui-même. Ce dernier est constitué de protons, chargés positivement, et de neutrons, électriquement neutres ; l'hydrogène fait exception, car le noyau de son isotope 1H, appelé protium, ne contient aucun neutron. Les électrons occupent des orbitales atomiques en interaction avec le noyau via la force électromagnétique, tandis que

niveau électrique suffisant (plusieurs centaines de volts), les molécules d’argon et de xénon perdent des électrons qui sont libérés dans le compartiment et c’est à ce moment que le gaz prend la texture de plasma (état de la matière où les électrons et les noyaux d’atomes de déplacent indépendamment l’un de l’autre). Des rayons ultra-violets (UV) sont alors émis par le choc entre des électrons libres et des ions positifs qui sont respectivement attirés vers l’électrode positif au négatif. Les électrodes

interne L’énergie interne est une grandeur additive et extensive. Nous l’admettons mais nous allons analyser l’additivité. Prenons 7 électrons Ec=1/2 mV1 + ½ mV2 + … Divisons par la pensée les 7 électrons en 5+2 a= {1,2,3,4,5} b={6,7} est ce que Ec{1+2+3+4+5+6+7}=Ea+Eb Ec est additif Ep=(1/4pisigma0) (e²/r12 + e²/r13 + e²/r14 + ….) Reprenons le pb pr 5 électrons Ep{1+2+3+4+5}= (1/4pi epsi0) * (e²/r12+e²/r13+e²/r14+e²/r15+e²/r23+e²/r24+e²/r25+e²/r34+e²/r35+e²/r45) Epa= (1/4pi epsi0) (e²/r12+e²/r13+e²/r23)