Électron

découvre l’électron. (Raisin dans un pudding) XXs : Rutherford / Bohr, l’atome est constitué essentiellement de vide, il est neutre. Noyau : au centre de l’atome, charge positive, diamètre = 10 Cortège électronique : à la périphérie de l’atome, électrons identiques, charge électrique = -e. Atomes : charge électrique du noyau compense celle du cortège électronique, atomes neutre. Masse concentrée dans le noyau. Diamètre = 10. Matière vide, structure lacunaire. Un modèle : représentation d’un

principe d’incertitude, équation de Schrödinger, fonctions d’onde, orbitales atomiques, etc.). Il permettra notamment aux étudiants d’apprendre à déterminer toutes les structures électroniques des éléments en appliquant les règles de remplissage des électrons dans les différentes couches et sous-couches de l’atome. Dans le Chapitre IV, la résolution des exercices proposés vise à acquérir le moyen de déterminer la structure électronique d’un atome ainsi que son numéro atomique suivant son classement dans

photon par photon (doc. 3) ou électron par électron (doc. 4). Les figures du document 4 sont obtenues lors de trois expériences de durées plus ou moins grandes. 2 La détection des photons, à des endroits précis, semble montrer l’aspect particulaire. L’obtention de figures d’interférences fait penser à un aspect ondulatoire. 3 L’obtention de points d’impact met en évidence l’aspect particulaire. Cependant, les électrons donnent aussi des figures d’interférences. Les électrons ont également un aspect ondulatoire

liens de valence qui résultent de la mise en commun de deux électrons appartenant chacun à deux atomes voisins de la maille cristalline. Les atomes de semiconducteur sont tétravalents et le cristal peut être représenté par le réseau de la figure 1: Figure 1: semiconducteur intrinsèque Définitions 3 SEMICONDUCTEURS ET DIODES L'électron qui possède une énergie suffisante peut quitter la liaison de valence pour devenir un électron libre. Il laisse derrière lui un trou qui peut être assimilé

matière . . . . . . . . . . . . . 5.3.1 La longueur d’onde de de Broglie . . 5.3.2 L’atome de Bohr . . . . . . . . . . . 5.4 Les séries spectrales . . . . . . . . . . . . . 5.4.1 L’atome d’hydrogène . . . . . . . . . 5.4.2 Les atomes à plusieurs électrons . . 5.4.3 Les spectres de raies, les rayons X et 5.5 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . Annexes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Expérience de Davisson et Germer . . . . . Expérience de Fert et Faget . . . . . . . .

MnO2 / Mn, étape par étape. Précisez quel est l’oxydant du couple. /2 Mn : autant de chaque coté : ok O : manque 2 à droite : ajouter 2 molécules d’eau: MnO2 H : ajouter 4 protons MnO2 + 4 H+ Charges : ajouter 4 électrons MnO2 + 4 H+ + 4 eOxydant : MnO2 car capte les électrons pour se réduire en Mn < -- > Mn + 2 H2O < -- > Mn + 2 H2O < -- > Mn + 2 H2O 13. Sachant que E=(C*U2)/2 (E en Joules), calculer la variation d’énergie stockée (en Wh) dans un supercondensateur de 3000 F entre

à rayons X qu’on appelle aussi tubes de Coolidge ou tubes à cathode chaude. On émet des électrons grâce à une cathode qui sont accélérés par une différence potentielle élevée vers une cible constituée d’une anode en métal. Les rayons X sont soit créé par le freinage des électrons par les atomes de la cible qui crée un rayonnement continu dont une partie dans le domaine des rayons X, soit par des électrons qui ont une énergie suffisante pour exciter certains des atomes de la cible, ils émettent

habituellement : a) B 1s2 2s2 2p1 b) P 1s2 2s2 2p6 3s2 3p3 c) C 1s2 2s2 2p2 Exercice 2 Donner le nombre d’électrons présents sur la dernière couche électronique des éléments suivants : a) Rb [Kr] 5s1 : 1 électron d) Sb [Kr] 5s2 4d10 5p3 : 5 électrons e) Xe 1s2 2s2 2p6 3s2 3p6 4s2 3d10 4p6 5s2 4d10 5p6 : 8 électrons Exercice 3 Donner le nombre de liaisons attendues pour les éléments suivants: C’est le nombre d’électrons célibataires sur la couche de valence. a) Ge 4 b) Se 2 c) B 3 d) F 1 e) P 3 Exercice 6 Décrire

spontanée. la notion d'électrolyse (définition, réactions aux électrodes, anode, cathode, etc.). Il est recommandé d’avoir étudié l’activité (doc.C4). Présentation de la démarche Réaliser des transformations en imposant le sens de déplacement des électrons : électrolyse d'une solution d'iodure de zinc(II) et électrolyse de l'eau en milieu acide. Écrire les différentes réactions pouvant avoir lieu aux électrodes ; à l'aide des observations expérimentales, indiquer celles qui ont effectivement lieu

le nombre d’électrons qui tourbillonnent autour de leur noyau. Et ainsi pour produire un rayon laser, il faut « exciter » des atomes à l’aide d’un rayon lumineux, de chaleur ou d’un courant électrique. Ce qui a pour effet de modifier l’orbite des électrons, le faisant changer de couches (de « niveau ») par rapport au noyau. L’électron arraché à l’atome excité est accéléré, puis il revient vers l’atome. La collision qui s’en suit libère de l’énergie prenant la forme d’un photon lumineux. L’intensité