Eloge De La Fable

OBJET D’ETUDE 1 : La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation (Œuvre intégrale : La Fontaine, Fables) Commentaire Les animaux malades de la peste Introduction : Cette fable est l’amorce du deuxième recueil. La Fontaine s’est inspiré d’Esope et de Pilpay (fabuliste oriental). Thème de la fable : mal fréquent, sujet grave, évocation du monde de la Cour à travers les animaux. I. Un récit à caractère théâtral, à multiples rebondissements 1. Une exposition longue *

parents : Cette fable a été rédigée par le fabuliste Jean de La Fontaine en 1693 et appartient au classicisme. En effet, « L’Ecrevisse et sa fille » est la dixième fable parmi de nombreuses appartenant au livre XII, dernier recueil, des Fables de La Fontaine. C’est à travers les thèmes des plans militaires et politiques français que l’auteur fait indirectement un éloge de Louis XIV et de son art de la guerre. Ainsi, nous tenterons de comprendre cette fable dans sa globalité, nous en

Annonce du plan Un récit comique Une moralité sérieuse Une fable amusante Le discours de Guillot (v1 à 11) a. La déploration (v1 à 5) Effets de style : - répétition de « toujours », points d'exclamation (discours sentimentale) - futur profétique ( vision noir de l'avenir) mille → exagération b. éloge du disparu (v6 à 11) Robin → personnification par le nom → droit à une éloge funèbre → « suivrait jusqu'au bout du monde » → relation très affectueuse

Fiche n° 4 – Même introduction que pour « Les animaux malades de la peste ». I. Un récit plein de vivacité Cette fable atypique à tous égards contient un récit extrêmement bref qui ne dépasse pas 23 vers sur 44. Les quatre premiers vers, quatre octosyllabes bien distincts, constituent une entrée en matière qui prépare la leçon politique en annonçant le parallèle entre le fonctionnement du corps et celui de l’État. Le récit lui-même ne commence qu’au vers 6 avec l’annonce de la révolte des

français du XVIIIe siècle. La fable est un récit inventé pour illustrer une morale. JDF oriente ses choix pour ce genre d’apologue, remontant aux sources de la littérature. Il publie des fables entre 1664 et 1693, organisées en 12 livres et réparties en 3 recueils. « Le pouvoir des fables » est la quatrième fable du livre huit et se situe donc dans le second recueil, publié en 1678 qui traite de sujets plus sérieux, destinés à un public plus averti. Le titre de cette fable n’admet pas d’opposition,

« Le Pouvoir des Fables » de La Fontaine Introduction : Cette fable est la quatrième du livre huit et se situe donc dans le second recueil qui traite de sujets plus sérieux, destinés à un public plus averti. Elle illustre parfaitement ce vers inscrit dans la dédicace à Madame de Montespan qui ouvre le second recueil : « vous savez quel crédit ce mensonge a sur nous ». Le titre de cette fable nous invite à une réflexion sur la portée, le pouvoir des fables et l’influence qu’elles peuvent exercer

(rimes embrassées plates, enjambement embrassée) qui constitue la morale ouverte sur l'apologue qui suit (sans animaux) emprunté à la littérature. Simonide est un poète ayant existé (réel) mais des dieux apparaissent dans le récit (fictif). I : Un éloge de l'éloge par ses conséquences : Premier vers : « On » pronom indéfini qui renvoie à tous les hommes, aux poètes. Les deux premiers vers sont une maxime citation de Malherbe, ainsi que le précise lepremier hémistiche du vers 3. Le deuxième implique

La mort & le mourant La fable est un réct inventé pour illustrer une morale . INTRO -La Fontaine publie le livre 8 en 1678, sous le règne de Louis IV , c'est la première fable du livre 8 , il s'agit là d'une rélexion poussée sur la mort ; TROIS parties , une méditation v1-19 , puis l'illustration avec le dialogue v19-50 et v50-60 morale . Quelle est la philosophie de cette fable ? Pourquoi est-elle placée en n°1 ? D'abord je vais étudier la méditation de La Fontaine sur la mort puis je

Lecture Analytique Le Chêne et le Roseau Fable de la Fontaine qui laisse de côté bestiaire courant pour s’intéresser à deux végétaux dans leur cadre naturel, le Chêne et le Roseau. D’emblée le titre suscite une attente d’une confrontation entre David et Goliath, que la lecture du texte satisfait dès lors que le rideau de la fable s’ouvre. C’est en effet grâce à un véritable travail de mise en scène qui s’opère dès lors, ne rendant que plus frappante la leçon à tirer de la scène ; voyons

dans un contexte politique et diplomatique. Problématique : En quoi la fable est-elle une véritable leçon de diplomatie ? Les fables parlent des fables. On parle de métalangage quand les mots définissent les mots (exemple : dictionnaire, livre de grammaire). C’est une forme de mise en abîme, puisqu’une fable est présente dans le récit cadre. Le récit encadré est miroir de la fable cadre. Etude de la structure de la fable On observe trois étapes. Du vers 1 au vers 33, l’auteur fait une dédicace