Eloge De La Fable

guerriseur par usage de plante. les 1ers siecle : sorcières comme adepte du demon, à l’origine de toutes sortes de malfaisances au 14ème : chasse au sorcière (inquisition)et bucher, sorcellerie =oeuvre du diable Les diableries Merveilleux(Légende, fable, émane de dieu) ou fantastique (etrange, bizarre, voulu par le diable) Au paléolithique, le diable émerge lorsque les hommes invoquèrent les esprits. Des traces de ses croyances ont été mis a jour : amulette, peinture, dessinant les principes du

au courrier des lecteurs, lettre ouverte, lettre fictive d’un des personnages présents dans un des textes du corpus, etc.) ; - monologue délibératif ; dialogue (y compris théâtral) ; discours devant une assemblée ; - récit à visée argumentative (fable, apologue...). Mais, lorsqu’elle concerne le genre narratif, elle peut s’appuyer sur des consignes impliquant les transformations suivantes : - des transpositions : changements de genre, de registre, ou de point de vue ; - ou des amplifications

évolutions et résoudre des conflits. L'écrivain se fixe pour objectif de transmettre un message. Mais les auteurs doivent faire preuve de ruse pour soulager les opprimés. Leur mission, c'est de défendre des causes justes mais également des valeurs. Dans sa fable « Les obsèques de la lionne », La Fontaine se livre à une critique de la société : les morales de ses fables sont autant de discours visant une satire sociale et politique de la société. Il faut mettre à nu le visage noir du pouvoir en s'adressant

de la société. L'écrivain se fixe pour objectif de transmettre un message. Mais les auteurs doivent faire preuve de ruse pour soulager les opprimés. Leur mission , c'est de défendre des causes justes. Des valeurs, aussi. Dans sa fable « Les obsèques de la lionne », La Fontaine se livre à une critique de la société : les morales de ses fables sont autant de discours visant une satire sociale et politique de la société. Il faut mettre à nu le visage noir du pouvoir en s'adressant

« vision » de Mme de Sévigné, ie la manière dont sa vision du monde se traduit dans un style, dans une lecture qui n’a plus rien de naïf. B/ Or, alors qu’on aurait pu s’attendre à ce que ce rejet d’une certaine lecture naïve s’accompagne d’un éloge de la lecture savante, Nabokov prend aussi ses distances avec ce qu’il appelle la lecture « académique ». - pourquoi ? Parce que la lecture académique, au fond, assigne comme la lecture infantile (centrée sur les émotions du lecteur) et la lecture

Registre laudatif: | Vocabulaire : ce registre couvre tous les champs de la louange. Destiné à vanter les mérites d'un personnage (éloge funèbre), d'une valeur abstraite (hymne) voire d'un produit (publicité) ou d'une idéologie (propagande), il emploie naturellement un lexique mélioratif et des images valorisantes de nature à parer les objets concernés de toutes les qualités. | | Formes : le registre laudatif appartient au genre épidictique de la rhétorique classique. On y retrouve ainsi les

Présentation de la séquence Un chapitre de découverte et trois grandes parties vous présenteront successivement : les différents genres de l’éloquence ; la critique sociale au temps du classicisme, qui s’exprime entre autres par le récit (ici une fable) et au théâtre ; la satire du pouvoir et de la religion au temps des Lumières ; et le recours aux textes polémiques et oratoires comme arme contre l’obscurantisme. Les textes vous permettront de saisir les différences entre divers registres employés

. . . . . . 19 Après-texte POUR COMPRENDRE Étapes 1 à 10 (questions) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 208 GROUPEMENTS DE TEXTES I) Grandeur de l’homme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 229 II) Sens du récit : parabole, fable, apologue . . . . . . . . . . 233 INFORMATION / DOCUMENTATION Bibliographie, Internet, filmographie, visites . . . . . . . . . 241 SommaireRÉSUMÉ DE POURQUOI J’AI MANGÉ MON PÈRE (Chapitre 1) Discussion animée entre Édouard, le père du narra- teur,

Présentation de la séquence Un chapitre de découverte et trois grandes parties vous présenteront successivement  : les différents genres de l’éloquence  ; la critique sociale au temps du classicisme, qui s’exprime entre autres par le récit (ici une fable) et au théâtre ; la satire du pouvoir et de la religion au temps des Lumières ; et le recours aux textes polémiques et oratoires comme arme contre l’obscurantisme. Les textes vous permettront de saisir les différences entre divers registres employés

Présentation de la séquence Un chapitre de découverte et trois grandes parties vous présenteront successivement : les différents genres de l’éloquence ; la critique sociale au temps du classicisme, qui s’exprime entre autres par le récit (ici une fable) et au théâtre ; la satire du pouvoir et de la religion au temps des Lumières ; et le recours aux textes polémiques et oratoires comme arme contre l’obscurantisme. Les textes vous permettront de saisir les différences entre divers registres employés