Eloge De La Faiblesse

introduit une certaine forme de lyrisme. - Pour moi, la beauté me ravit partout où je la trouve, et je cède facilement [...] dont elle nous entraîne » : « douce violence » à Oxymore : Atténuation de l’argumentation qui vise à accepter l’idée de la faiblesse. - « la beauté me ravit partout où je la trouve » : paradoxe à C’est DJ qui cherche les femmes, mais c’est elles qui sont coupable d’être trouvées. - « J’ai beau être engagé [...] où la nature nous oblige » : « engagé », « n’engage point », «

d’Ogul mais il réussit grâce à une ruse à la libérer, ce qui lui vaut l’inimitié du médecin. L’apologue, apparemment léger et comique est aussi un éloge de la raison et une satire du pouvoir. Après avoir explicité l’apologue, on s’intéressera aux effets comiques et à la dimension argumentative du texte qui dénonce le mauvais gouvernement et propose un éloge de la raison. I Un apologue On reconnaît la forme narrative (3e personne, passé simple, verbes d’action) et le présent de vérité générale de la

prière et la formation d'une demande(ex l.3: « d'oser te demander »; « fais que+ subj = souhait » l,6,7) ds tte prière on trouve l'éloge à dieu ex L1 ,2: « Dieu de ts les ...tps » Ceci est une gradation hyperbolik qui montre la puissanc de dieu. Cet éloge est renforcé par l'opposition avc la petitesse de l'homme. V fait une antithèse pr souligné la disproportion entre l'homme et dieu. Ce texte à l'apparence d'une vraie priere; ds sa forme et ds la façon d'agrémenté ms c une prière paradoxale car

les plaint. « jeunes » ; adjectif employé ici péjorativement : il insiste sur leur naïveté « sans virilité » (virilité : ensemble des attributs physiques et sexuels de l’homme) : il insiste sur leur faiblesse et leur lâcheté. « Pauvres hommes ; reprise de la plainte sur le mode de la faiblesse et de la lâcheté, mais il enlève le mot « jeunes » : Il ne s’adresse pas seulement aux jeunes mais à tous les autres hommes faibles et lâches. « vous » = pronom personnel (2ème personne du pluriel) ;

l’hémistiche antithétique qui marque bien l’opposition. Pour finir, le chêne éprouve de la compassion envers le roseau. Cette compassion paraît hypocrite, moqueuse. Au vers 14, il propose ses services au roseau, mais ne peut rien faire. Il fait son propre éloge. Le dialogue du chêne montre donc en lui un désir de domination, d’écrasement, avec tout de même de la compassion pour le roseau. II.La parole du roseau A partir du vers 18 jusqu’au vers 24, c’est au tour du roseau de parler, de répondre

est accusée qui est ensuite comparé avec le roseau au vers 10 « Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr. » L'opposition est mise en valeur et renforcée par la coupure à l'hémistiche au vers 10. L'opposition est très nette. Il fait son propre éloge. Nous avons l'impression qu'il éprouve une certaine compassion pour le roseau même si cette compassion paraît hypocrite ou moqueuse. Nous voyons le roseau prendre ensuite la parole à partir du vers 18. Le roseau Le roseau se manifeste au vers 18

services au roseau, mais ne peut rien faire. Il fait son propre éloge. -Le dialogue du chêne montre donc en lui un désir de domination, d’écrasement, avec tout de même de la compassion pour le roseau, qui lui répond alors. b) Détermination et provocation du roseau -Le roseau n’est pas égocentrique comme le chêne, et n’utilise pas de formes hyperboliques poussées. Nous pourrons alors parler de la faiblesse du roseau, mais faiblesse uniquement apparente, car sa force vient de la souplesse. -Diérèse

antithétique qui marque bien l’opposition. Pour finir, le chêne éprouve de la compassion envers le roseau. Cette compassion paraît hypocrite, moqueuse. Au vers 14, il propose ses services au roseau, mais ne peut rien faire. Il fait son propre éloge. Le dialogue du chêne montre donc en lui un désir de domination, d’écrasement, avec tout de même de la compassion pour le roseau, qui lui répond alors. II. La parole du roseau A partir du vers 18 jusqu’au vers 24, c’est au tour du roseau

services au roseau, mais ne peut rien faire. Il fait son propre éloge. En ce qui concerne le Roseau, il repond aux provocationes du Chene, a partir du vers 18 : on remarque que son intervention est bien moins longue et structurée que celle de son interlocuteur, mais toute aussi importante. Le roseau n’est pas égocentrique comme le chêne, et n’utilise pas de formes hyperboliques. On peut alors parler de la faiblesse du roseau, mais faiblesse uniquement apparente, car sa force vient de la souplesse, ce

Agathon (jeune auteur de tragédie) a gagné un concours de tragédie, il organise un banquet mais il fini en beuverie --> il ne peut donc faire de discours. Le lendemain il refait une soirée plus intime, chaque convié doit faire un éloge de l'amour. Longue nuit, éloge, discussion, multiple incident.Platon a choisi un narrateur, Apollodor, pour rapporter les éloges de la soirée, il retranscrit avec sont pt de vue en donnant du sens : adaptation libre subjective de la soirée mais également reconstruite