Eloge De La Faiblesse

moyens de divertissement, mais elles sont aussi des moyens d’éducation morale, vu que sur scène, les pièces représentés se réfèrent souvent aux personnages mythiques et légendaires des tragédies et ceux des comédies qui donnent en spectacle nos faiblesses et nos ridicules. Le théâtre nous instruit aussi moralement, tantôt par le biais des malheurs qui arrivent aux personnages désespérés et passionnés des tragédies de Sophocle, d’Euripide ainsi que de Racine et de Corneille tantôt par le miroir satirique

façon plus humaine ses faits historiques.· Structure intéressante : Récit enchâssé : une partie du roman se déroule dans les 90 ‘s puis récit dans le récit, il va raconter ce qu’il s’est passé dans sa jeunesse. 5. Eloge de la faiblesse , Alexandre Jollien Intérêts  : · Œuvre contemporaine, Jollien philosophe adepte de la spiritualité boudiste, problème à la naissance qui lui ont laissé des séquelles motrices et langagière

vision de la société parisienne. C'est un tableau dédié à Eugène Delacroix. Comment Balzac nous donne-t-il sa vision symbolique et métaphorique de Paris? I. Une description critique des parisiens 1) La laideur physique Ce texte n'est pas un éloge à Paris mais un blâme -Description subjective. -Utilisation de superlatifs, d'hyperboles, tout est péjoratif, ressemble à une caricature où les défauts sont accentués. * "peuple horrible à voir, hâve, jaune, tanné" et "le plus d'épouvantement"

originalité et le fait qu'il ait choqué plus d'une personne à l'époque de sa parution. J'ai aussi choisit le poème de Gautier car il y fait une description très particulière d'une femme et la tentation qu'elle est à ces yeux. Verlaine fait lui, un éloge de la femme en expliquant qu'elle est irremplaçable, le poème de Toulet montre la tentation que la femme représente comme si l'on parlait d'Adam et Ève. Eluard montre la beauté d'une femme à travers son regard, ses yeux ce qui est assez unique et Lerutan

lassitude de l’existence de Baudelaire  « Une Charogne » situé dans la partie « Spleen et Idéal » Le poème:  Un apologue (courte histoire de laquelle nous pouvons sortir une morale, un enseignement)  Morale : -Informer les lecteurs de la faiblesse humaine universelle : la mortalité + faire une leçon sur les vanités « Memento moris » (Latin pour « souviens-toi que tu mourras ») -Une leçon sur les Vanités et montrer que toute vie sur Terre est vaine et sans  L’histoire : -Une promenade

symbolique du futur mariage . Il montre au Comte sans en avoir l'air que Suzanne lui appartient... L'ironie n'est pas absente de ce passage,avec la Comtesse mais aussi de manière moins explicite avec Suzanne et Figaro. L'emploi de l'hyperbole « un éloge que vous méritez bien »( L.17)donne à la servante une supériorité évidente car elle peut révéler la vérité quand elle le désirera. Figaro, lui plus acerbe encore, jubile en insistant sur les charmes de Suzanne (1.19,20) et sur le sacrifice énorme consenti

/ comparaison avec Alexandre (l. 29) : un orgueil puissant / hyperboles du plaisir extrême : autosatisfaction]           …  2 … mais il exprime aussi (malgré lui ?) une absence de contrôle de soi et une forme de soumission à ses passions : une faiblesse sous la cuirasse de la force apparente et revendiquée ? [analyse des pronoms « je » sujets ou objets dans les lignes 10 à 15 : une passion subie sous les apparences d’une réalité agie / verbes de contrainte ou de soumission : « nous cède », « nous

marque bien l'opposition. Pour finir, le chêne a de la compassion envers le roseau. Cette compassion peut-être jugée d'hypocrite ou de moqueuse. Au vers 14, il propose ses services au roseau, mais ne peut rien faire. Il fait un peu son propre éloge. Le dialogue du chêne montre donc en lui un désir de domination, d'écrasement, avec tout de même de la compassion pour le roseau, qui lui répondra alors. Axe 2 : La parole du roseau : A partir du vers 18 jusqu'au vers 24, c'est au tour

ce superlatif confinant à l’hyperbole. Mais le réalisme de Zola est perceptible car l’éloge admet une concession : « sans le malheur de sa jambe ». D’ailleurs, il y a une progression dans la description, car le portrait s’attarde ensuite sur les faiblesses de Gervaise. Les expressions mélioratives s’allient à des mots péjoratifs : « ses traits fins (+) s’empâtaient (-)» « une lenteur (-) heureuse (+) ». Ces alliances de mots nuancent le tableau trop idéal. La description se fait ensuite indirectement

femmes est exprimé aussi dans le poème « A celle qui est trop gaie » il montre des rapports très complexes, notamment avec les formes d'oppositions comme « je te hais autant que je t'aime », « châtier ta chair joyeuse ». Il arrive aussi à faire un éloge de ces femmes qu'il admire tout en provoquant avec des termes directs et crus. On retrouve cela avec « A travers ces lèvres nouvelles plus éclatantes et plus belle » qui est une expression permettant de faire monter le désir du poète et du lecteur