Emmanuel-Joseph Sieyès

économiques les difficultés militaires et menacé par un retour prématuré des royalistes -Qui ? : Le Directeur Sieyès ---> Pour l'anecdote : Le Directeur Sieyès dit à qui veut l'entendre qu'il «cherche un sabre» capable de sauver ce qui reste de la Révolution. Le jeune général Napoléon Bonaparte Roger Ducos -Comment ? : Retour d'Égypte du jeune général Napoléon Bonaparte. Sieyès voit en ce jeune général couvert de gloire le dictateur de salut public dont la République française a besoin

Commentaire du discours de Siéyès à l'Assemblée Nationale constituante le 7 septembre 1789. Emmanuel-Joseph Siéyès ou l'abbé Siéyès , né le 3 mai 1748 à Fréjus et mort le 20 juin 1836 à Paris, est un homme d'Église, homme politique et essayiste français. Dans ce discours il oppose la notion de gouvernement représentatif (qu'il promeut) et la notion de démocratie directe (qu'il rejette). Dans son discours du 7 septembre 1789, à l'Assemblée Nationale Constituante il argumente le fait d'avoir

Séance n° IX, constitution de 1791 : Commentaire sur le document 1, de E. SIEYES. « Le Roi ne peut mal faire ». Cette maxime d’essence monarchique traduit de façon évidente l’irresponsabilité du Roi au détriment des ministres. La responsabilité ministérielle a donné naissance au régime parlementaire. Cette règle de l’irresponsabilité royale a été transposée en France dès 1791 : « La personne du Roi est inviolable et sacrée » (article 2 de la Constitution de 1791). A partir de 1789, la France

Directoire est désemparé par les difficultés économiques et militaires, et menacé par un retour prématuré des royalistes. Le Directeur Sieyès dit à qui veut l'entendre qu'il «cherche un sabre» capable de sauver ce qui reste de la Révolution... et en particulier les fortunes des profiteurs. Le retour d'Égypte du général Napoléon Bonaparte lui offre l'occasion qu'il cherchait. Sieyès voit en ce jeune général couvert de gloire le dictateur de salut public dont la République française a besoin pour éviter le

L’apparition de la bourgeoisie s’est fait grâce au renouveau économique et commercial du XIème siècle qui avait permis à nouveau la circulation de la monnaie. Cette bourgeoisie fut intégrée au Tiers état. En 1789, le député du Tiers état, l’abbé Emmanuel-Joseph Sieyès (1748 à 1836) dans sa brochure intitulée Qu'est-ce que le Tiers-État ? (1789), expliquait que le Tiers état représentait quatre-vingt-seize pourcent de la population. Et que curieusement, le Tiers état ne représentait rien politiquement. Eu

CHAUDERON Hugo Introduction : Dans un passage de son discours du 7 septembre 1789, Emmanuel-Joseph Sieyès affirmait : « Les citoyens qui se nomment des représentants renoncent et doivent renoncer à faire eux-mêmes la loi ; ils n’ont pas de volonté particulière à imposer. S’ils dictaient des volontés, la France ne serait plus cet État représentatif ; ce serait un État démocratique. Le peuple, je le répète, dans un pays qui n’est pas une démocratie (et la France ne saurait l’être), le peuple

Ce texte est un extrait du discours de l'abbé Sieyès sur la question du véto royal, fait le 7 septembre 1789 devant l'Assemblé Nationale constituante. Il est tiré de l'ouvrage Ecrits Politiques, Paris, 1985, Editions des Archives Contemporaines. L'abbé Sieyès (Emmanuel-Joseph Sieyès), homme d'Etat et homme d'Eglise, est né le 3 mai 1748 et décédé le 20 juin 1836 à Paris. Il devient Chanoine de Tréguier en 1775 puis vicaire-général de Chartres (nomination en 1787) lorsque Louis XVI décréta la convocation

contributions directes dépasse un seuil, appelé cens, sont électeurs. Parfois, le cens pour être éligible est fixé à un seuil plus élevé.Seuls les individus ayant des capacités(intelligence)d'exercer le votte pouvaient l'exercer selon Emmanuel-Joseph Sieyès . Sieyès distingue les « citoyens actifs », ceux qui paient suffisamment d’impôts directs et qui sont capables de voter, des citoyens passifs, dont la richesse ne justifie pas de voter. Le suffrage censitaire a été adopté en 1791

par 141 voix contre 47, ils rejettent le principe du vote par tête. Le 12 mai les électeurs du Tiers de Paris commencent les élections du dernier degré. À Paris, les élections du Tiers ne sont terminées que le 19 mai ; elles voient l'élection de Sieyès. Les Communes peuvent alors nommer les députés pour les représenter aux conférences de conciliation. Le 23, le 25 et le 30 mai se succèdent en vain des conférences de conciliation entre les trois ordres. Le 27 mai est marquée par une grande

fonction de la valeur de leur patrimoine. En dépassant un seuil de contributions directes (le cens), ces citoyens deviennent donc des électeurs, voir de potentiels candidats. Le suffrage censitaire est théorisé à la fin du XVIIIème siècle par Emmanuel-Joseph Sieyès, qui distingue deux sortes de citoyens : des « citoyens passifs », disposant de droits naturels et civils mais ne pouvant pas voter car n’étant pas suffisamment imposés ; et des « citoyens actifs » jouissant en plus de droits politiques car