En Attendant Godot Registre

une assemblée ; – récit à visée argumentative (fable, apologue, etc.) Mais, lorsqu’elle concerne le genre narratif, elle peut s’appuyer sur des consignes impliquant les transformations suivantes : – des transpositions : changements de genre, de registre, ou de point de vue ; – ou des amplifications : insertion d’une description ou d’un dialogue dans un récit, poursuite d’un texte, développement d’une ellipse narrative,etc. L’écriture d’invention est d’abord, donc, un exercice de lecture. Cet

des textes de T. Bernhard se caractérisent par un goût manifeste pour le dénigrement et la noirceur. L’obsession de la mort ne l’abandonne jamais, ni celle du suicide : elles l’accompagnent tout au long de ses œuvres, selon des modulations et des registres variés. Mais, au cœur des ténèbres, le rire parfois éclate : dans le désastre même, l'auteur trouve encore matière à jubilation. Thomas Bernhard est mort le 12 février 1989 dans sa maison de Gmunden, quelques heures après le quarantième anniversaire

Jour 1 les différents registres Jours 2 Les vers , rythmes, sonorités, les poèmes à fores fixes Jours 3 Les stratégies d’argumentation Jours 4 Discours rapportés autobiographie Jours 5 Humanisme classicisme JOurs 6 le siècle des lumières Jours 7 Le langage théâtrale comédie tragédie Jours 8 Intertextualité, mythe - Les différents registres Le registre désigne la tonalité générale d’un texte, liée à des genres ou des procédés d’écriture. Admiration, pitié, joie, angoisse, amusement,

: s’étudier lui-même. L’auteur se propose alors de mettre par écrit les « méditations » qui naitront de ses promenades journalières. Seconde promenade Dans cette seconde promenade, Rousseau détaille son projet d’écriture. Il souhaite « tenir un registre fidèle de (ses) promenades solitaires et des rêveries qui les remplissent » (p. 45) car, y trouvant réconfort et « extases » (p. 46), c’est un moyen pour lui de les revivre en se les remémorant. Ainsi, l’auteur revient sur son accident survenu

récurrence obsessionnelle du « ça » dans les répliques montre cette difficulté des personnages à exprimer clairement leur propos et suggère la sénilité des personnages. Également, le dramaturge souligne cette misère linguistique par l’utilisation du registre de la grossièreté («je m’en fous») et de la familiarité avec le mot « truc » : Hamm (avec colère). — Je m’en fous de l’univers ! (Un temps.) Trouve quelque chose. Clov. — Comment ? Hamm. — Un truc, trouve un truc. Aussi, des interjections

est une marque de bienséance, qui peut même faire oublier les hiérarchies sociales. C'est ce que se hasarde Arlequin, sans succès, avec Dorante:«Si vous voulez, je vous tiendrai compagnie, de peur que l'ennui ne vous prenne; nous discourerons en attendant.» Le désir de dialoguer l'emporte sur le bon usage de la parole, comme le prouve le barbarisme «discourerons» au lieu de discourrons. Il importe de souligner que dans une société strictement hiérarchisée, comme l'est celle où évoluent les personnages

|Molière, Le Misanthrope, 1666 | |- Ruy Blas : une interrogation sur l’identité  |rêvez ! [...] Il vient un froid par là » |Beckett, En attendant Godot, 1948 (ou) Ionesco, Le Roi se meurt, 1962 | | | |

Lords », 1869, Œuvres intégrales : Corneille, Le Cid,1637 (ou) Cinna,1639 (ou) Horace,1640 Racine, une tragédie Molière, Le Misanthrope, 1666 Beckett, En attendant Godot, 1948 (ou) Ionesco, Le Roi se meurt, 1962 Représentations : (facultatif) Heiner Müller Macbeth, mise en scène d’ Angela Konrad Racine, Phèdre, mise en scène de Renaud Marie Leblanc Marivaux, Les Fausses Confidences, mise

pourraient être réparties en plusieurs catégories: difficultés de compréhension et de traduction des termes évoquant des réalités spécifiques d’une certaine communauté linguistique; difficultés provenant de la non correspondance des niveaux et des registres de langue; difficultés provenant de l’emploi figuré de certaines expressions qui portent la marque des conditions locales spécifiques; difficultés provenant de la non transparence des allusions historiques, littéraires, anecdotes, allusions prestigieuses

réseau lexical 3.2.2 − La dénotation et la connotation 3.3 − Les figures de style 3.3.1 − Les figures d'analogie 3.3.2 − Les figures d'opposition 3.3.3 − Les figures de substitution 3.3.4 − Les figures d'insistance 3.4 − Les sonorités 3.5 − Les registres de langue 3.6 − Le ton d'un texte 3.6.1 − Le ton comique 3.6.2 − Le ton tragique 3.6.3 − Le ton pathétique 3.6.4 − Le ton lyrique 3.6.5 − Le ton épique 4.− LES TYPES DE TEXTE 4.1 − Le texte narratif 4.2 − Le texte descriptif 4.3 − Le texte explicatif