En plein cœur

.....380 Le plus laid des hommes .............................................. 386 Le mendiant volontaire ................................................ 394 L’ombre ....................................................................... 400 En plein midi................................................................406 7 La salutation ................................................................ 410 La cène ......................................................................... 418 De

l’instrument authentique. C’est bien fait. Il est temps de fixer tes désirs. Ainsi que ses chagrins l’hymen a ses plaisirs. Quelle joie en effet, quelle douceur extrême ! De se voir caressé d’une épouse qu’on aime : De s’entendre appeller petit cœur, ou mon bon ; De voir autour de soi croître dans sa maison, Sous les paisibles lois d’une agréable mère, De petits citoyens dont on croit être père ! Quel charme ! Au moindre mal qui nous vient menacer, De la voir aussitôt accourir, s’empresser

place change drastiquement en fonction des sales dans lesquelles on se trouve. On passe de la sérénité du début de XX ième siècle, au massacre de vie humaine qu'est la première guerre mondiale avec des effets sonore et lumineux qui nous plonge au plein cœur des tranchées. Le Lundi 27 Octobre, je me suis rendu à Liège avec un ami pour assister aux cours ouvert d'ingénieur civil. J'en ai donc profité pour aller visiter l'exposition sur la guerre 14-18 qui se déroulait à la gare de Liège-Guillemins. Sur

peinture chinoise à travers une œuvre de Da-Qian ZHANG, intitulée «Eau de l’automne, nuage du printemps ». Pour étayer les points de vue de l’analyse, j’aborderai quelques concepts esthétiques chinois se référant au livre de François Cheng, Vide et Plein. Le contenu du travail est constitué de trois parties : dans un premier temps, nous présenterons l’auteur en question, puis à partir de la cosmologie chinoise nous tenterons d’illustrer quelques concepts élémentaires de l’art pictural chinois pour

Une journée au Restos du coeur Je vais vous montrer comment se passe une journée dans les restos du coeur. Tout d'abord avant l'ouverture des restos du coeur, on doit préparé et trié la nourriture qu'on a reçu la veille ou dans la matinée. A l'ouverture c'est-à-dire à 9 heures, les bénéficiaires entraient et ils devaient présenter un carton jaune pour montrer qu'ils étaient membres des restos du coeur. Ils avaient aussi une feuille où était indiqué un certain nombre de points. Ce nombre de points

mort.   Vingt-cinq années sont dans ces deux volumes. Grande mortalis ævi spatium. L’auteur a laissé, pour ainsi dire, ce livre se faire en lui. La vie, en filtrant goutte à goutte à travers les événements et les souffrances, l’a déposé dans son cœur. Ceux qui s’y pencheront retrouveront leur propre image dans cette eau profonde et triste, qui s’est lentement amassée là, au fond d’une âme.   Qu’est-ce que les Contemplations ? C’est ce qu’on pourrait appeler, si le mot n’avait quelque prétention

d’un mort. Vingt-cinq années sont dans ces deux volumes. Grande mortalis ævi spatium. L’auteur a laissé, pour ainsi dire, ce livre se faire en lui. La vie, en filtrant goutte à goutte à travers les événements et les souffrances, l’a déposé dans son cœur. Ceux qui s’y pencheront retrouveront leur propre image dans cette eau profonde et triste, qui s’est lentement amassée là, au fond d’une âme. Qu’est-ce que les Contemplations ? C’est ce qu’on pourrait appeler, si le mot n’avait quelque prétention,

Le XIXe siècle a porté son lot d’écrivains de tous horizons qui ont pris la plume pour explorer les tourments humains, les sentiments véritables et autres sujets du cœur négligés durant les époques précédentes. C’est durant cette période que les angoisses fondamentales de l’Homme ont été explorées. Baudelaire est l’un de ces artistes qui, tentant de mettre en mot des émotions inexprimables, révolutionna la poésie. Dans son recueil Les fleurs du mal, le prolifique auteur y montre son envie de chercher

noires nuits vainement atendues, O jours luisans vainement retournez : O tristes pleins, ô desirs obstinez, O tems perdu, ô peines despendues, O mile morts en mile rets tendues, O pires maus contre moy destinez. O ris, ô front, cheveus, bras, mains et doits : O lut pleintif, viole, archet et vois : Tant de flambeaus pour ardre une femmelle ! De toy me plein, que tant de feus portant, En tant d'endrois d'iceus mon coeur tatant, N'en est sur toy volé quelque estincelle.   | 2Ô beaux yeux bruns,

les Francs tumultueux, nos pères, Est-ce que le Trouvère héroïque n'eut pas Comme le Preux sa part auguste des combats? Est-ce que, Théroldus ayant dit Charlemagne, Et son neveu Roland resté dans la montagne Et le bon Olivier et Turpin au grand coeur, En beaux couplets et sur un rythme âpre et vainqueur, Est-ce que, cinquante ans après, dans les batailles, Les durs Leudes perdant leur sang par vingt entailles, Ne chantaient pas le chant de geste sans rivaux, De Roland et de ceux qui virent