En plein cœur

se résumer à quatre éléments: léthargie (lenteur, manque d’énergie et fatigue), lourdeur d’esprit, avidité et baisse de la dilation des artères. Léthargie, car le corps a besoin de certaines protéines que la malbouffe ne contient pas, pour faire le plein d’énergie. Ce type d’alimentation provoque aussi de l’avidité, parce qu’en mangeant des produits alimentaires de mauvaise qualité, et qui ne possèdent donc pas tous les nutriments nécessaires, l’organisme est en manque de ces nutriments. L’individu

Quelle odeur sens-je en cette chambre ?  Quel doux parfum de musc et d’ambre  Me vient le cerveau réjouir  Et tout le cœur épanouir ?  Ha ! bon Dieu ! j’en tombe en extase :  Ces belles fleurs qui dans ce vase  Parent le haut de ce buffet  Feraient-elles bien cet effet ?  A-t-on brûler de la pastille ?  N’est-ce point ce vin qui pétille  Dans le cristal, que l’art humain  A fait pour couronner la main,  Et d’où sort, quand on en veut boire,  Un air de framboise à la gloire  Du bon terroir

l'athlétisme, elle est la base de toute les courses à pied comme le 1500 mètres, 3 fois 500 mètres, 150 mètres haie, etc ... L'endurance est la capacité à maintenir et supporter un effort physique prolongé, et ça se travaille !  Pendant l'effort, le cœur et les poumons sont notre moteur, ils vont distribuer l'oxygène, le carburant des muscles. La fréquence cardiaque augmente, la respiration se modifie et nous sollicitons des fibres musculaires particulières. Nous en avons deux types, celles de type

strophes diffèrent les unes des autres: aucune n'a le même nombre de vers et les rimes sont aléatoires.( aabb,aaabbb,abab et aabbcc ) Le troisième poème qui porte le titre «Adieu » est plein de charme et de fraîcheur ; c'est un poème lyrique (sentiments personnels) mais qui se refuse au pathétique, il est pourtant plein d'émotions qui sont contenues par la forme générale et par le jeu du nom « Lou » qui constitue la première lettre de chaque vers. Pour Apollinaire, « Lou » est par définition synonyme

le plomb, la mort, la tombe, le néant ! Nul ne vit près de vous dressé sur son séant ; Et vous pétrifiez d'une haleine sordide Le jeune homme naïf, étincelant, splendide ; Et vous vous approchez de l'aurore, endormeurs ! A Pindare serein plein d'épiques rumeurs, A Sophocle,à Térence, à Plaute, à l'ambroisie, O traîtres, vous mêlez l'antique hypocrisie, Vos ténèbres, vos moeurs, vos jougs, vos exeats, Et l'assoupissement des noirs couvents béats ; Vos coups d'ongle rayant tous les

glaives ont percé le prisme des couleurs Le jour est plus poignant qui point entre les pleurs L'iris troué de noir plus bleu d'être endeuillé Tes yeux dans le malheur ouvrent la double brèche Par où se reproduit le miracle des Rois Lorsque le coeur battant ils virent tous les trois Le manteau de Marie accroché dans la crèche Une bouche suffit au mois de Mai des mots Pour toutes les chansons et pour tous les hélas Trop peu d'un firmament pour des millions d'astres Il leur fallait tes yeux

Jean Sève. À Bacharach il y avait une sorcière blonde Qui laissait mourir d'amour tous les hommes à la ronde Devant son tribunal l'évêque la fit citer D'avance il l'absolvit à cause de sa beauté Ô belle Loreley aux yeux pleins de pierreries De quel magicien tiens-tu ta sorcellerie Je suis lasse de vivre et mes yeux sont maudits Ceux qui m'ont regardée évêque en ont péri Mes yeux ce sont des flammes et non des pierreries Jetez jetez aux flammes

empêcher un bébé de pleurer mais on ne pourra jamais empêcher mon cœur de t'aimer.. ***Tu peux dire au soleil de cesser de briller, tu peux dire au vent de cesser de souffler, tu peut dire aux enfants de cesser de crier mais tu ne pourras jamais dire a mon cœur de cesser de t'aimer ***Ma main te l'écrit mon cœur te le dit...Je t'aime pour la vie ***Ne crois pas qu’un jour mon cœur puisse t’oublier, il peut cesser de battre mais pas de t’aimer.

ardeur,Languissante elle meurt feuille à feuille déclose :Ainsi en ta première et jeune nouveauté,Quand la terre et le ciel honoraient ta beauté,La Parque t’a tuée, et cendre tu reposes.Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs,Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs,Afin que vif, et mort, ton corps ne soit que roses. Pierre de Ronsard (1524-1585) ; Second livre des Amours (1578) ; « Comme on voit sur la branche … » Je vis, je meurs : je me brûle et me noie,J’ai chaud extrême en

obtenus en commentant les graphiques et en les comparant. Pendant les 3 premières minutes, la fréquence respiratoire et le rythme cardiaque sont normaux et stables. Il n'y a pas d'effort donc le cœur n'a pas besoin d'accélérer la diffusion et fonctionne à un rythme normal. A partir de la quatrième minute le cœur bat déjà plus vite, les muscles ont rapidement besoin d'oxygène. Oxygène que les poumons doivent fournir, c'est pourquoi le nombre de R.p.m. augmentent aussi. Les trois dernières minutes sont