En Quoi L Espagne Est Un Regime Parlementaire

est placé à la tête de l’état. Mais selon Hobbes et Locke, le pouvoir du monarque est différent : - Pour Hobbes, le monarque a le pouvoir absolu - Pour Locke, il n’a pas le pouvoir absolu. Il doit respecter la liberté de ses sujets, sans quoi, ils ont le droit de lui désobéir. Pour Rousseau, qui s’inspire des travaux de ses prédécesseurs : - Il y a un état de nature - Passation d’un contrat pour établir un état - Mais on s’engage à obéir à la « volonté générale », pas

la constit antique la notion de constit remonte à l’antiquité mais au sens qu’elle à auj elle est moderne ( désigne une forme d’organisation du pouv) par la constit on désigne un E ses instit son régime pol ,fonction descriptive Politeia d’Aristote ; désigne le système pol les instit et le régime pol. On retrouve ca chez Platon (la rep) Deux type des gouv ss antiquité ceux qui ont en vu l’int général et les gouv qui ont en vu l’int particuliers. Pour A le bon gouv est celui qui à en vu l’int

(expression très française) ou encore de « Représentants de l’Etat » pour qualifier les préfets dans les régions. Ils incarnent une abstraction. Cette représentation de l’abstraction est assez récente puisque dans les monarchies absolues ou dans des régimes où le pouvoir est très personnalisé, il y a une assimilation entre le détenteur du pouvoir et l’Etat «  L’Etat c’est moi » de Louis XIV. Chapitre 1 : Les éléments constitutifs de l’Etat : En droit international ou constitutionnel, l’Etat est

question. La Constitution affirme que la France est une république laïque, mais la Constitution ne se commente pas elle-même. Par conséquent, nous sommes renvoyés soit au commentaire extérieur, soit aux explications qui ont précédé le vote des parlementaires. Là-dessus, nous tombons sur un paradoxe assez original. En 1946, il y avait trois partis formant la majorité: des communistes, des socialistes et des démocrates-chrétiens. Ils ont été d'accord de déclarer que la France était une république laïque

La démocratie serait un facteur de paix. Il y aurait en effet, non une absence de conflits, mais une substitution de conflits. La société démocratique repose sur le pluralisme des opinions et donc sur leur opposition sous réserve de l’accord sur le régime lui même, sur le principe de l’alternance et sur un socle de valeurs et volontés communes. Ces deux accords manquent parfois dans un certain nombre d’Etats importateurs dans lesquels l’application de la règle démocratique se heurte à des écueils

d'Espagne et de l'accession au pouvoir du Général Franco de 1936 à 1939, et de Staline en URSS tout au long des années 1930, quatre des plus importants chefs de régimes totalitaires du XXe siècle. Tout comme il aura été témoin de la prise de pouvoir du Maréchal Pétain après la déroute française de Juin 1940, suivie de la création du régime répressif et autoritaire de Vichy, et nous pourrions citer d'autres exemples à travers le monde. Il aura également vu l'ascension du Général de Gaulle, de 'grand

ensemble, conception qui date de la période révolutionnaire (la nation est une communauté ouverte). Elle a été conceptualisée plus tard par Ernest RENAN qui a prononcé une conférence en 1882 («Qu’est ce que la nation?»). Dans ce texte RENAN explique de quoi est faite la nation. Pour lui de 2 éléments: l’un est dans le passé et l’autre dans le présent. Le 1ER est «la possession en commun d’un riche lègue de souvenir», le 2nd est le «consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer

La séparation des pouvoirs dans les Constitutions françaises. On va exclure les C qui ont organisé une confusion des pouvoirs ; C 1793 inspirée par Rousseau, profondément ancrée dans la souveraineté populaire, qui n’a pas été appliquée ; les régimes Napoléonien : Consulat l’an VIII et du 1er Empire et du Second Empire 1848-1852. C 1791 : Monarchie constitutionnelle. On a une assemblée : le corps législatif qui s’occupe de la loi. Ensuite, le roi et ses ministres détiennent le pouvoir exécutif

souveraineté est confiée à la nation qui est un être collectif et indivisible distinct des individus qui la compose et de ceux qui l'a représente au pouvoir. La conséquence institutionnel du principe de souveraineté nationale consiste dans l'existence d'un régime caractérisé de représentatif. Celui ci repose sur l'idée selon laquelle le peuple ne peut exercer directement la souveraineté et que par conséquent il doit en confier temporairement l'exercice à des représentants élus qui représentent la nation toute

Démocratie Le terme démocratie (du grec ancien δημοκρατία / dēmokratía, aujourd'hui souvent interprété comme « souveraineté du peuple », combinaison de δῆμος / dêmos, « peuple » et κράτος / krátos, « pouvoir », ou encore kratein, « commander »), est le régime politique dans lequel le peuple a le pouvoir. (Avec la distinction à faire entre la notion de «peuple» et celle plus restrictive de « citoyens » : en effet la citoyenneté n'est pas forcément accordée à l'ensemble de la population). La première démocratie