En solitaire

lors de “promenades” dans la nature (cf. Les rêveries du promeneur solitaire de Rousseau) et sont associées aux verbes de déplacement, de l’errance, à l’égarement, pour finir par la marche “à grands pas” où les sensations tactiles sont abolies pour laisser place à “l’enchantement” du coeur, comme si René savait enfin le but de “son voyage”. De là naissent les sentiments : d’abord “les passions dans le vide d’un coeur solitaire”, le “ravissement” du mois des tempêtes, les désirs contradictoires

REMY Warren T7 PHILOSOPHIEDans ce commentaire littéraire, nous allons étudier un extrait de « Les rêveries du promeneur solitaire » de Jean-Jacques Rousseau. C’est un texte posthume qui se définie à la fois de l’autobiographie et de la réflexion philosophique, il a donc été publié après sa mort. Rousseau fait partie du Siècle des Lumières, à l’époque où d’autres auteurs comme lui étudient le monde qui les entoure

présente les portes sont fermées. Il renonce alors à toute justification. A la mort du prince de Conti en 1776, Rousseau perd son seul appui. Se sentant seul mais délivré de toute inquiétude, il écrit sa dernière œuvre Les rêveries du promeneur solitaire. Des problèmes financiers le pousse à chercher l'hospitalité qu'il trouve chez le marquis René-Louis de Girardin à Ermenonville. Il y mène une vie tranquille l'espace de quelques semaines avant de s'éteindre, victime d'apoplexie le 2 juillet 1778

Nous allons étudier quatre texte dans ce corpus « Une rêverie délicieuse », Les rêveries du promeneur solitaire qui est un roman de Rousseau rédigé en 1782, « Le Vallon », Méditations poétiques qui est un poème de Lamartine écrit en 1820. « Deux années de délire », Mémoires d'Outre -tombe qui est un roman écrit par Chateaubriand en 1848 et enfin « Une mémoire spéciale », Dominique roman d'Eugène Fromantain de 1862. Ces œuvres appartiennent au XVIII ème et XIX ème siècle : période du romantisme.

chimériques, folles; amères rêveries. Chante encore, chante Pasiphaé, divin ivrogne, et fais-moi oublier mes sombres rêveries (A. France, Vie fleur, 1922, p. 500). − P. méton., LITT. [P. réf. à J.-J. Rousseau, Rêveries du promeneur solitaire] La Cinquième Rêverie du Promeneur solitaire est un événement capital de la sensibilité moderne (Du Bos, Journal, 1923, p. 338). Prononc. et Orth.: [ʀ εvʀi]. Ac. 1694, 1718: resverie; dep. 1740: rê-. Étymol. et Hist. 1. a) Déb. xiiies. resverie « délire, folie » (Chardry

puisqu’il évoque souvent son passé avec passion et nostalgie ainsi que le rappelle l’épisode de la pervenche qui lui rappelle Madame de Warens qu’il appelait Maman. Les rêveries du promeneur solitaire, œuvre qui peut être considérée comme une autobiographie puisque l’on sait que Rousseau était un promeneur solitaire, ne parle pas du tout de politique. C’est également un ouvrage préromantique illustre par l’épisode de la barque. Rousseau aimait se détendre dans une barque au milieu d’un étang et regarder

l'histoire d'amour romantique se termine rarement bien. Séparés par des malentendus, la loi, des interdits, les couples romantiques ne peuvent être unis que dans la mort. Le héros romantique se voit donc mis aussi au ban de l'amour, condamné à une vie solitaire. Ex : · Les archétypes Shakespearien ayant inspiré l'élaboration du héros romantique : Roméo et Juliette. · Ruy Blas que les interdits sociaux séparent de la reine · Quasimodo, qui ne peut vivre et partager son amour avec Esméralda que dans la mort

Rappel - Le Romantisme :   L'adjectif « romantique » était au dix-septième siècle synonyme de « romanesque ». Rousseau l'employa plus tard dans Les Rêveries du promeneur solitaire (1782) pour caractériser la sauvagerie pittoresque des rives du lac de Bienne. Mais c'est en Allemagne avec les écrivains du Sturm und Drang (Orage et Passion) qu'il prit son sens moderne pour désigner la poésie médiévale et chevaleresque. Le mouvement est en effet d'ampleur européenne et il n'est pas sûr que ce soit

bienfaits collectifs qui permettent d'avancer dans la recherche du bonheur. Pour lui la richesse et le luxe est sa conception du bonheur « J'aime le luxe. Tout sert au luxe, aux plaisirs de ce monde ». Alors que dans le texte, Les rêveries du promeneur solitaire, Jean Jacques Rousseau a une conception plus philosophique du bonheur, proche de la contemplation, une vie paisible, et surtout, une relation fusionnelle avec la nature, développée par la marche « Le sentiment de l’existence dépouillé de toute autre

conception du bonheur chez les 2 differents types d'hommes que celui classe d'homme sauvage et d'homme Police. L'un a un bonheur simple et spirituel, alors que l'autre en a un tottalement materiel et superficiel. Enfin, dans Les rêveries du promeneur solitaire écrit par Jean-Jacques Rousseau en 1782, celui ci fait part de ses réminiscences et évoque un séjour passé à l'île de Qaint-Pierre sur le lac Bienne et y fait part de des différents moments de bonheur qu'il a pu avoir lors de son séjour. Ces 4 différents