Encens

chanteurs d’Opéra chantent : «Vauri et Landeck, de l’Opéra». Le fait que les voix des chanteurs résonnent en plus des orgues montre qu’il faut une touche humaine et mécanique dans les différents aspects de la vie, c’est mieux. Aussi, qu’il y ait un encens laissant «une odeur fine» témoigne du calme du moment où ils sont devant l’autel. Quand les époux sont dans la sacristie, Georges est tellement ébahi que l’ambiance se doit d’être largement meilleure qu’à quoi il s’attendait : «affolé de joie ; balbutiait

vaste aridité peut être considéré comme une immense oasis favorable aux rencontres les plus diverses. Plus exactement, c’est un lieu de passage sillonné en tous sens par les caravanes, qui, des bords de l’Océan Indien acheminent les denrées rares, encens et épices, vers l’Egypte, la Syrie et la Mésopotamie. C’est ce qui donne à la ville natale du Prophète son importance. Nous l’avons situé plus haut au point de tangence de deux circuits qui décrivent assez bien son ouverture au reste du monde. Il

morne regard, l’Hérodias qui rêve à ses haines enfin abouties, le Tétrarque, qui, penché un peu en avant, les mains sur les genoux, halète encore, affolé par cette nudité de femme imprégnée de senteurs fauves, roulée dans les baumes, fumée dans les encens et dans les myrrhes. Tel que le vieux roi, des Esseintes demeurait écrasé, anéanti, pris de vertige, devant cette danseuse, moins majestueuse, moins hautaine, mais plus troublante que la Salomé du tableau à l’huile. (…) JK. Huysmans À rebours

blâme le matérialisme futile du christianisme au XVIII ème et énonce sa religion le déisme (Le déisme, du latin deus (dieu) est une croyance ou une doctrine qui affirme l'existence d'un Dieu et son influence dans l'univers):''il ne prodigua plus son encens aux créatures, et adora l'Être éternel qui les a faites'' *L'obscurantisme religieux: Pratique irraisonnée . *Inde: La satî est le nom du sacrifice des veuves qui, en Inde, se jettent dans le bûcher crématoire de leur époux. Pratique courante jusqu'au

d’une robe avec deux petites manchettes, créant une habilite ambigüité entre le nu et l’habillé. Car Cléopâtre porte encore la couronne sur la tête, ses bijoux aux doigts. Autour d’elle, ambiance à l’orientale : peau de bête, peintures égyptiennes, encens qui fument… Et pourtant, rien de trop exubérant quand on a vu les débauches de luxe dans lesquelles on aime à représenter la souveraine. Angle de vue | Il s’agit d’un angle plat. | Lumière | On dirait que la lumière vient du plafond

si l’autre a bien compris le message. Vérifier si la communication est efficace v. Le canal C’est la voix par lequel passe les messages Modes de perception du réel : a. V  Visuel b. A  Auditif c. S  Sensoriel, kinesthésique d. O  Olfactive (encens) e. G  Gustative (gouter les produits) vi. Le bruit Toute entrave à la réception du message, toute influence perturbatrice cette influence peut être aussi extérieure à l’organisation du groupe. vii. Le contexte C’est la situation dans laquelle

d'Auguste qui peut se permettre de les convoquer tous ensembles. Auguste en faisant sculpter la procession sur l'Ara Pacis veut fixer sur la pierre son désir de fonder son pouvoir sur la piétas (la foi). Sur la face nord nous pouvons voir la boîte à encens qui représente un taureau victimaire. Aussi, un sacrifice s'apprête. Sont aussi représentés les augures et les personnages les plus importants de la cité. II. Explication de la progression et du système des préteurs : La procession est un cortège

Rimbaud oppose l'or des églises v.10 : luxe de l'église : "Nappe canassée", "grande", "calice d'or" qui s'oppose à la pauvreté du peuple "vieux bonnets…". Notre sens de l’odorat sont ici mis à contribution avec l’opposition de l'odeur : de l'église -> "encens" et de la guerre -> "un tas fumant". Rimbaud est révolté. Il donne une vision négative de dieu qui pour lui est indifférent à tous cette violence comparé à la générosité des mères. On remarque alors que l'église complice de la guerre, pleine de richesse

mélancolie. La nature semble insulter à la nostalgie du poète qui comptait trouver en elle une confidente et une amie compatissant à sa souffrance. Aux vers 2-3 et 5-6, les enjambements et le changement de mètre ont un effet dramatique. Le terme «encens» désigne les parfums de la nature et est choisi à dessein pour annoncer le cantique d’action de grâces des vers 10 à 12, pour faire jouer à la nature, dans toute la première partie du poème (vers 10-13, vers 29-30, vers 41-42) un rôle par rapport

vengeresse, implacable (les prières de P ne marcheront pas, cf. B et C) pour une faute qui n’est pas celle de P mais de son ancêtre. B) Une fuite éperdue et inutile Des prières assidues  « temple » v.12, « vœux assidus » v.11, « autels » et « encens » v.16, « Dieu » v.20, « Déesse » v .17…  lexique du divin/de la prière qui renforce le recours de P à la religion pour contrer son amour  P essaye tout d’abord d’implorer la pitié, la bienveillance de Vénus, de lui demander d’arrêter sa malédiction