Enjambement

agonisant. « Le râle » (v.12) est opposé à « vigoureux » (v.5). La « voix affaiblie » (v.11) représente quelqu’un de blessé, de diminué, quelqu’un qu’on a fait souffrir. « Affaiblie » est opposé à « vigoureux » et « bien portante ». Il y a un enjambement qui renforce l’idée de souffrance, du vers 11 à 12 et du vers 12 à 13. Le poème fait en sorte que la voix du lecteur soit elle aussi affaiblie, opposé à la strophe deux ou il avait une exclamation. Il y a deux autres voies, celles des soldats.

soit d'étirement, soit de rupture, soit de mise en valeur. On constate par exemple des enjambements : - V. 3-4 : "la belle / prisonnière" - V. 17-18 : "qu'elle / Vive", qui permettent la mise en valeur du mot en position de rejet - V. 45-46 : "celle / Qu'aucun des deux…" Mise en valeur des mots en contre-rejet : - V. 33-34 : "Lequel / A le plus triste…" - V. 51-52 : "se mêle / la terre…" Enjambement qui illustre bien la continuité entre la vie et la mort. On observera que c'est souvent

1er personnage. > innocence > jeunesse > ce n'est pas un prédateur (> herbivore/faible) Début de la narration > imparfait Situation initiale. Désaltérait > paisible, plaisir. Ce n'est pas un besoin. Vers 4. Lieu/cadre > paradisiaque enjambement > fluidité Vers 5. Loup, 2ème personnage > effet de surprise = survient. Mis en évidence et à qui l'on donne de l'importance dans un alexandrin > élément perturbateur. à jeun > il a faim > menace x 2. Il vient exprès pour manger > cherchait

lyrique (v34 à 40) de RB traduisant sa compassion et son horreur devant l'indignité des Grands : ponctuation affective (nombreux « ! »), anaphore mettant le peuple en valeur par sa reprise en début de vers (« Le peuple [...] Le peuple misérable »), enjambement et gradation du v37 conférant un rythme ascendant au discours, antithèse charge/plaisir (« vos plaisirs, vos filles de joie »), allitérations [p]/[R] (exemple du vers 38) suggérant la souffrance et mimant la révolte (les paroles sont littéralement

schéma rythmique), le rythme est mélodieux. Ce tableau est un tableau quotidien, récurrent, ritualisé, on assiste à un rituel qui est peut-être de l'ordre du mythe (régularité + imparfait à valeur répétitive). 4/6 -> amplification rythmique + enjambement -> insuffle un dynamisme, la fuite de la nuit qui essaie de rassembler au plus vite ses troupeaux avant l'arrivée du jour ; comme si le rythme était mimétique et mimait la cavale des chevaux. - Rimes embrassées. -> Tableau en mouvement, dont

pouvoir du roi est aussi manifesté par la rapidité des préparatifs et de l’exécution des ordres du roi voir les procédés qui donnent une impression de rapidité = accélération du rythme du récit· verbes d’action (v. 3 et 5, puis 14) · fréquences des enjambements : v. 3-4, 5-6, 7-8, 8-9,· recours à l’octosyllabe (v. 3-12)(c) Cette scène d’exposition s’achève par le rappel de la puissance du roi (v. 12-14) :· Lexique mélioratif à la rime : « magnificence » / « puissance » la richesse et la force du roi·

restriction aux règles de versification ? Démontrer sa virtuosité Donner un côté esthétique musical au poème Les limites strictes fertilisent la créativité • Rythme  Mètre (alexandrin, octosyllabes, dodécasyllabes), césure, enjambements, diérèses/synérèses • Sons  Assonances = allitérations Rimes ; internes/externes, croisées 5) Tableau ; le choix des mots et leur place • Le choix des mots : le sens des champs lexicaux (couleurs, endroit), les catégories

6//6 et les octosyllabes eux ne sont pas césurés et ont un rythme libre qui varie selon les vers 4//4, 3//5 (se sont les deux formes utilisé dans la fable) ou encore 5//3,… Pour rythmer son poème Jean de La Fontaine fait beaucoup d’enjambement (18 enjambements). Jean de La fontaine fait parler au discours direct le héron, il fait une accumulation de questions rhétoriques qui nous montre qu’il se sent supérieur aux autres, « Moi tes Tanches ? Dit-il, moi Héron que je fasse / Une si pauvre chère ? Et

le confort (« les murs », « le réchaud »), allègent les tâches ménagères (« la machine à laver ») ou débarrassent des ordures (« la poubelle »). Les objets s’imposent dans le poème comme dans la vie.Leur invasion dans le poème se traduit par les enjambements (v. 2-3, v. 13-14) : leur présence « déborde » le vers dans lequel ils sont à l’étroit. 2. Le poète, simple meublePour mieux mettre en valeur ces objets, Bosquet mêle le monde animé et le monde inanimé : les êtres humains (le « poète » et les

« océan », « jeter l’ancre », on voit l’impossibilité d’arrêter le temps, il file avec la rapidité d’un cours d’eau insaisissable. On croit pouvoir le recueillir au creux de la main un instant mais il s’échappe le moment d’après. En utilisant un enjambement, Lamartine donne un effet de rapidité, de mouvement continuel à ses phrases. Un autre thème de cette métaphore est le voyage sur cette eau toujours mouvante « toujours poussés vers de nouveaux rivages », on peut voir un parallèle avec le vers « Un