Enjeux Partage Valeur Ajoutée

Document 1 Trois grands effets possibles du partage de la VA entre les entreprises et les salariés sont possibles. Le partage de la valeur ajoutée agit sur le niveau de profit que peuvent réaliser les entreprises, donc leur capacité à autofinancer leur investissement (question 1). Une part des salaires dans la VA élevée pèse sur la compétitivité-prix des exportations, donc sur la possibilité des entreprises d'accroître leurs parts de marché à l'extérieur. Ces exportations constituent des motifs

travailler (ex. : revenu minimum d'activité) pour pouvoir toucher certaines aides de l'Etat ? Conclusion La question des inégalités de revenus entre les ménages et de l'intervention de l'État pose aussi le problème de la répartition de la valeur ajoutée. Dans quelle mesure l'Etat doit-il influencer cette répartition, peut-on accepter que cette répartition se fasse toujours davantage en faveur du facteur capital et au détriment du facteur travail ?

l’ébauchage, 50% pour le finissage, 10% pour la distribution et 20% pour l’administration générale et le financement. Nature et importance des unités d’œuvre et des assiettes de frais. Centres Unités d’œuvre ou assiettes de frais Nombres ou valeur Approvisionnement Ebauchage Finissage Distribution Administration générale et financement Kg de matière achetée Kg de matière utilisée Heure machine Coût de production* Coût de production 11 000 10 000 1 000 360 000 360 000 *calculé

Chapitre 6. La répartition des richesses. Les trois temps de l’activité économique Partie 1 : La répartition primaire des revenus. A) L’origine et l’évolution des revenus primaires 1) Le partage de la valeur ajoutée CA – CI = Valeur Ajoutée Profit des sociétés Revenu des entreprises individuelles Impôts sur la production Rémunération des salariés Revenu des administrations publiques Revenu de la propriété Revenu de l’activité

Le partage de la valeur ajoutée Depuis les années 1960, en France la part des salaires dans la valeur ajouté a connu des évolutions très contrastes. En effet la valeur ajoutée c’est la contribution réelle d’une entreprise a la création de richesse. Comment ne pas se demander pourquoi le partage de la valeur ajoutée est devenu plus avantageuse pour les entreprises à partir des années 1980 ? Et quelles limites ce partage a-t-il heurté ? Pour répondre à ces questions nous montrerons d’abord

travail et du capital. Pour mesurer cette production, nous utiliserons la valeur ajoutée. Cette valeur est égale à la différence entre la valeur de la production et la valeur des consommations intérmédiaires. Si nous ajoutons les valeurs ajoutées de toutes les productions marchandes et non marchandes du pays, nous obtenons le produit interieur brut (PIB). Le document 1 est un tableau regroupant les production et les valeur ajoutée en France d'après l'INSEE (Institut National de la Statistique et des

travail 2)Des facteurs de production substituables ou complémentaires (exercice bilan) B) L ‘évaluation de la production. 1) L'évaluation de la production marchande a) Définition de la valeur ajoutée b) Le calcul de la valeur ajoutée (doc 3 ) 2) L’évaluation de la production non marchande 3) De la valeur ajoutée au PIB . a)le calcul du PIB b)les limites du PIB C) D'autres instruments de mesure se mettent en place 1)L'IDH 2)D'autres indicateurs Synthèse : texte à trous §3 La répartition

appelle le revenu primaire. Ceux qui ont apporté le capital nécessaire à la production (machine…) vont toucher des profits (actionnaires) ou des intérêts, tandis que ceux qui ont fourni leur travail reçoivent un salaire ou un revenu mixte. La valeur ajoutée est partagée ne profits (mesurés par le taux de marge) et en salaires versés aux travailleurs c)Le mécanisme de la redistribution : Les revenus primaires des ménages sont composés des revenus salariaux, des revenus mixtes rémunérant à la fois

vue de générer des profits ». Les fonctions économiques de l’entreprise dépassent les définitions précédentes. Elles sont de créer de la richesse à travers la production de biens et de services, de répartir ces richesses au travers du partage de la valeur ajoutée et de participer à l’innovation. Plus que jamais, l’entreprise est globalisée, interconnectée et doit être appréhendée selon un point de vue holistique. Elle est le cœur d’un processus de création de richesse et fait intervenir un nombre

RICHESSE Thème 1 / La production et l’organisation du travail 30. Les facteurs de production 31. L’organisation de la production 32. L’organisation du travail Thème 2 / La création de richesse par l’entreprise 33. La valeur ajoutée 34. Le partage de la valeur ajoutée 35. La performance, la rentabilité et la croissance de l’entreprise Thème 3 / La croissance et le développement économiques 36. La croissance économique 37. Le développement durable PARTIE 5 / L’ORGANISATION DES ECHANGES