Epargne Chez Les Classiques Et Chez Keynes

(2)PMC = c + (C0/Y) -> diminue quand le revenu augmente. (3) PMC > PmC -> loi psychologique fondamentale. Chez Keynes la consommation prime sur l’épargne (on détermine d’abord les dépenses de consommation et ce qu’il reste, c’est l’épargne.) Au contraire, Smith (les classiques) par exemple considère que la consommation est le résidu non épargné. Pour les revenus les plus bas, on aurait tendance à d’abord considérer la consommation et vis versa pour les classes supérieures

L'économie classique par Jean Boncoeur. (CEDEM, Université de Bretagne occidentale, Brest) Les cahiers français, n° 280 (03/1997) - page 08 Une école introuvable Il n'est pas facile de dire ce qu'est l'économie classique : objet de définitions surabondantes, elle ne laisse pas apparaître clairement ce qui la distingue d'une économie qui serait " non classique ". Des définitions multiples Pour de nombreux économistes, le vocable " classique " désigne une époque de l'histoire

démarche relativiste et critique. * Développer des capacités d’analyses. * Assouvir la curiosité intellectuelle. Chapitre 1 : Deux grands apports de l’analyse classique. Section 1 : La métaphore de la main invisible A) Quelques mots sur le contexte historique : * Qu’est-ce que l’école classique ? Elle est constituée d’une série d’intellectuels (anglais, écossais). SMITH (1723-1790) : - La Théorie des sentiments moraux (1759)

Chômage Sommes-nous condamnés à choisir entre inflation et chômage? Préambule Nous avons déjà expliqué en quoi la théorie classique du chômage est inséparable de la théorie de l'équilibre. Sémantiquement parlant: la flexibilité des prix assure l'équilibre de chaque marché, par définition des mots prix, équilibre et marché. Nous ne reviendrons pas sur ce point. Pour les classiques, toute rigidité est défavorable à l'équilibre. Elle provoque soit l'inflation soit le chômage. Sans remettre en cause les

avons besoin de l'éducation et des biens d'équipement. Chez les classiques, il ne peut pas y avoir de déficit budgétaire, l'État ne peut dépenser que ce qu'il a gagné. Les néoclassiques apportent des concepts nouveaux à l'individualisme. Les effets externes : lorsque l'action d'un agent à des efforts positifs ou négatifs chez les autres agents. • les effets externes : lorsque l'action d'un agent à des effets positifs ou négatifs chez les autres agents. • biens collectifs individualistes

THEORIE ECONOMIQUE THEORIES LIBERAUX + NEO CLASSIQUES : demande rencontre offre de façon équilibrée => concurrence pure et parfaite ECONOMIE DE MARCHE : repose sur marché biens et services + marché du travail + marché financier THEORIE LIBERALE CLASSIQUE : chaque individu effectue choix rationnels et cherche son intérêt personnel. La loi des marchés harmonise intérêts particuliers et intérêt général THEORIE KEYNESIENNE : Marché n’est pas toujours équilibré. La Demande détermine la Production

principaux courants de pensée économiques (classique, keynésien, néoclassique, et marxiste), sachant qu’une stylisation et même une simplification est nécessaire. Section I – La théorie classique (18è siècle à 1936) Pour les classiques, la monnaie est un voile, en ce sens que les forces monétaires n’affectent pas les mouvements des variables, c’est –à- dire, la production et l’emploi dans une économie. Elle n’agit que sur le niveau du prix. La théorie classique se fond sur deux piliers : - la loi

siècle et une partie du 19ème siècle qui étaient encore dominés par la sphère agricole. La dernière crise a eu lieu 1846-48 en Irlande. Ce sont des crises de sous-production dont les conséquences sont économiques, sociales voire politique. Le schéma classique est le suivant : il y a des problèmes climatiques (sécheresse, gel .. ) qui entrainent de mauvaises récoltes, donc une hausse des prix des céréales, une chute du pouvoir d'achat des paysans, chute de la demande de produits artisanaux et industriels

matière de consommation et d’investissement. Ce concept fonde les plans de production d’une entreprise. Pour Keynes, tout repose sur les chefs d’entreprise : son objectif est de faire coïncider la demande et la production. On prévoit la demande. Selon Keynes, l’état doit augmenter les revenus des ménages, afin d’augmenter la demande et de relancer l’activité économique. Pour Keynes : demande globale = consommation + investissement. Principe de l’accélérateur de la demande sur l’investissement

Chapitre 1.2. Histoire de la pensée économique Modifié le : 21/10/07 Section 1 Le courant fondateur des classiques Section 2 Les grands courants de la pensée économique contemporaine (néoclassique, keynésien, marxiste) Section3 Repérage des orientations théoriques récentes Section 4 Analyse des divergences et des convergences Prolégomènes : quelques définitions de base I. L’économie Économie signifie en grec les règles (nomos) de la maison (oikos). Elle s’intéresse aux