Éphore

gouvernement, comme faisaient à Rome les tribuns du peuple ; quelquefois à soutenir le gouvernement contre le peuple, comme fait maintenant à Venise le conseil des Dix ; et quelquefois à maintenir l’équilibre de part et d’autre, comme faisaient les éphores à Sparte. Le tribunat n’est point une partie constitutive de la cité, et ne doit avoir aucune portion de la puissance législative ni de l’exécutive : mais c’est en cela même que la sienne est plus grande : car, ne pouvant rien faire, il peut tout

gouvernement, comme faisaient à Rome les tribuns du peuple; quelquefois à soutenir le gouvernement contre le peuple, comme fait maintenant à Venise le conseil des Dix; et quelquefois à maintenir l'équilibre de part et d'autre, comme faisaient les éphores à Sparte. Le tribunat n'est point une partie constitutive de la cité, et ne doit avoir aucune portion de la puissance législative ni de l'exécutive: mais c'est en cela même que la sienne est plus grande: car, ne pouvant rien faire, il peut tout

réunis avec les éphores et ils peuvent même juger les rois. Les éphores quant à eux sont au nombre de 5 ils sont élus parmi l’assemblée des Spartiates. Ce sont des surveillants de la royauté qui représentent l’élément populaire. Leur tâche est de veiller et de surveiller l’action militaire des rois qu’ils peuvent juger avec la gérosie. L’ecclésia ou assemblée est l’élément démocratique de la société spartiate. Son pouvoir est en réalité très faible, elle élit les gérontes et les éphores par acclamation

gouvernement, comme faisaient à Rome les tribuns du peuple ; quelquefois à soutenir le gouvernement contre le peuple, comme fait maintenant à Venise le conseil des Dix ; et quelquefois à maintenir l'équilibre de part et d'autre, comme faisaient les éphores à Sparte. Le tribunat n'est point une partie constitutive de la cité, et ne doit avoir aucune portion de la puissance législative ni de l'exécutive : mais c'est en cela même que la sienne est plus grande : car, ne pouvant rien faire, il peut tout

les Romains considéraient les Celtes comme étant également des Gaulois. Avant les découvertes de Hallstatt et de La Tène, il était généralement admis que la France du sud était le centre celtique (Encyclopédie Britannica éd. 1813). L'historien grec Éphore de Cymé, écrivant au quatrième siècle av. J.-C, croyait que les Celtes étaient venus des îles de la bouche du Rhin et auraient été "repoussés de leurs maisons par la fréquence des guerres et des violentes crues de la mer". Hécatée de Milet qui fut

les semblables. Ils sont égaux car ils ont des droits politiques et économiquement, car ils reçoivent un lopin de terre de valeur égale ou dont le revenu sera égal. Mais à côté de cela toute une population n’a pas cette qualité. Et il reste les éphores, 5 surveillants qui vont surveiller, les rois, la population… ces membres sont élus. On parle d’oligarchie car il y avait peu d’habitants qui avaient la, qualité de citoyen, qui s’oppose au modèle athénien. Le modèle Athénien, c’est le «démos»

résultats de l’armée athénienne et alliée étaient médiocre, on pouvait encore craindre d’elle. Il fut accueilli à Sparte par Endios, dont la famille avait des relations d’amitiés avec la sienne que même les conflits ne pouvaient empêcher d’exister. Ephore, Endios fit tout son possible pour soutenir au mieux Alcibiade. La situation à Sparte à ce moment était plutôt en faveur d’une non-intervention, et Sparte envisageait seulement d’envoyer des émissaires au Syracusains pour les dissuader de s’entendre

l’autorité de l’ensemble ». Ainsi, à cette époque et en dehors du cas particulier d'Athènes, le pouvoir avait droit sur tout et donc sur les mœurs de la société. L’auteur prend l’exemple de Terpandre qui, du temps de Sparte, a été condamné par les Éphores pour avoir ajouté une corde à sa lyre sans les prévenir; ou encore du principe de l’ostracisme à Athènes montrant que l’État réglemente tout. La liberté est donc contradictoire dans la Grèce antique, car la souveraineté dans les affaires publiques

gouvernement, comme faisaient à Rome les tribuns du peuple ; quelquefois à soutenir le gouvernement contre le peuple, comme fait maintenant à Venise le conseil des Dix ; et quelquefois à maintenir l'équilibre de part et d'autre, comme faisaient les éphores à Sparte. Le tribunat n'est point une partie constitutive de la cité, et ne doit avoir aucune portion de la puissance législative ni de l'exécutive : mais c'est en cela même que la sienne est plus grande : car, ne pouvant rien faire, il peut tout

Roman historiography, literature and politics, monography, objectivity in history, political propaganda, praetexta, historical truth Index géographique : Sardaigne Auteurs anciens :  Asinius Pollion, César, Cicéron, Cornelius Balbus, Dion Cassius, Éphore, Isocrate, Lucceius (Lucius), Naevius, Plaute, Polybe, Suétone, Théopompe, Varron, Xénophon Auteurs modernes cités :  Bardon  (H.), Broughton  (T. R. S.), Casevitz  (M.), Constans  (L.‑A.), Deniaux  (É), Hall  (J.), Hartog  (F.), Hinard  (F.), Jenkinson