Éphore

gouvernement, comme faisaient à Rome les tribuns du peuple, quelquefois à soutenir le gouvernement contre le peuple, comme fait maintenant à Venise le conseil des Dix, et quelquefois à maintenir l'équilibre de part et d'autre, comme faisaient les éphores à Sparte. Le tribunat n'est point une partie constitutive de la cité, et ne doit avoir aucune portion de la puissance législative ni de l'exécutive, mais c'est en cela même que la sienne est plus grande: car ne pouvant rien faire il peut tout http://un2sg4

Lacédémoniens les lois que Lycurgue leur avait données ; il lui semblait que Sparte, en s'en écartant, n'avait que trop perdu de ses antiques vertus, et par conséquent de sa force et de sa puissance. Dès les premières tentatives, il fut massacré par les éphores, comme aspirant à la tyrannie. Cléomène, son successeur, se montra anime du même désir. Mais éclairé par les instructions d'Agis et les écrits dans lesquels ce prince avait développé ses idées et l'esprit qui le dirigeait, il vit clairement qu'il

pendant de très longues années un collège de deux rois d'une part- qui n'est pas sans faire penser au collège des deux consuls à Rome- puis, d' autre part un équilibre dans l'exécutif entre le pouvoir royal et celui des magistrats (éphores), puis enfin entre les éphores eux-mêmes et le eonseü des anciens ou « gérontes » ( gerousia ). Même dans le sein de la cité de type démocratique- que représente Athènes par excellence entre 450 et 340 avant notre ère - on note que l'assemblée toute puissante, dépositaire

« Du fait de ces exercices, les corps recevaient les contours grands et virils que les maîtres grecs ont donné à leurs statues, sans bouffissure et sans empâtement superflu. Les jeunes Spartiates devaient tous les 10 jours comparaître nus devant les éphores et ceux-ci imposaient une diète plus sévère à ceux qui commençaient à s’engraisser. Bien plus, les lois de Pythagore imposaient à veiller à tout empâtement superflu du corps ». Pure, venant tout juste d’éclore dans le monde, la beauté physique des

qu’il rentre dans un moule.   Les droits politiques   APELLA è L’Ecclésia de Spartes. Assemblée désigne parmi cette communauté d’égaux sans conditions de revenus ou de naissances, 5 citoyens qui deviendront magistrats qu’on appelle EPHORE. 5 ephores sont nommés pour 1 an. GÉROUSIA elle regroupait le conseil des anciens, c’est l’équivalent spartiate du Sénat. Une grande partie des citoyens ont été exclus à la citoyenneté. On a exclu de la citoyenneté une grande partie de la populations :

soumises, elle a un rôle consultatif. On a enfin cinq magistrats supérieurs qui sont les censeurs de la cité, ils surveillent les bonnes moeurs et les rois. Ce sont les véritables instigateurs de la politique à Sparte: ce sont les Éphores. Ils ont un pouvoir politique, administratif et judiciaire. §2. Athènes, l'avènement de la démocratie Le siècle qui illustre l'épanouissement du régime démocratique est le 5e s. avant notre ère, appelé le siècle de Périclès. On a

l’assemblée du peuple = « l’apella ». Donc exercice du pouvoir direct par les citoyens. Cette assemblée élit 2 catégories de personnes : * Le conseil des anciens = « la gerousua », 28 membres, doivent avoir + de 60 ans obligatoirement. * Des « éphores ». 5 grands personnages : des magistrats (celui qui a une vertu supplémentaire pour sanctionner les autres) qui sanctionnent la désobéissance des citoyens. Les « périèques » et « hilotes » vivent en marge donc ne sont pas concernés. 3/Athènes :

un crime et un sacrilège. Dans | |les choses qui nous semblent les plus utiles, l'autorité du corps social s'interpose et gêne la | |volonté des individus; Terpandre ne peut chez les Spartiates ajouter une corde à sa lyre sans que | |les éphores ne s'offensent. Dans les relations les plus domestiques, l'autorité intervient encore. | |Le jeune Lacédémonien ne peut visiter librement sa nouvelle épouse. A Rome, les censeurs portent un | |oeil scrutateur dans l'intérieur des familles. Les

passage de la royauté à des magistratures aristocratiques. Pour ce qui est de Sparte, une royauté viagère et dynastique a subsisté, mais partagée car il y a deux rois, pris dans deux familles rivales et étroitement contrôlée par des magistrats (les éphores). Les institutions voient la naissance de l’Aréopage. Ce nouveau nom désigne le successeur du conseil des compagnons du roi. Avant le VIe siècle, on connaît mal les règles qui le régissent. On y retrouve l’élite de la noblesse et de la richesse

. Ils étaient choisit dans les citoyens de plus de 60ans. Leur objectif : réside les textes, surveillent les citoyens : leur fonction sociale. Ils avaient des pouvoirs judiciaires. Ces 30 hommes formait une grande cour de justice. Les éphores  : 5 hommes élu qu’une seule fois, élu pour 1 an, pas renouvelable pour pas qu’ils prennent le pouvoir. Ils sont très importants car ils permettent de mettre en œuvre les mesures votées par l’assemblé, ainsi que