Epictete Liberte Bonheur

ivrognerie La tempérance est (avec la prudence, la force et la justice) l’une des quatre vertus cardinales, dans la philosophie réaliste comme chez le philosophe grec Aristote. Thomas d'Aquin reprendra cette classification en fondant toute sa morale du bonheur sur les vertus cardinales. Il y ajoutera les vertus théologales (qui sont la foi, l’espérance et la charité) et les dons de l’Esprit Saint qui forment toute la structure anthropologique de la personne « mise debout » dans sa nature et par la grâce

atteindre et repousser constamment, qui motive et nourrit la connaissance et la recherche, et ensuite en étant responsable de l’équilibre entre la connaissance et ce qui n’est pas connu, qui protège de la vérité inacceptable et permet d’accéder au bonheur menacé par la connaissance. Comment by Sylvia Giocanti: Attention : De ne pas éliminer la notion de crainte (« redouter ») et d’obligation (« faut-il ? ») De ne pas résumer la suite de votre copie à l’occasion de l’annonce du plan. Il

présent, et donc du bonheur. Il passe son temps à être nostalgique du passé et à espérer de l’avenir. Le rapport de l’homme au temps et ses répercussions sur le bonheur : Pascal (pensée n°47) Thèse : nous en savons pas vivre le moment présent, nous fuyons, le passé et l’avenir nous rendent incapable d’être heureux. Partie 1 : l. 1 à 5 Partie 2 : l. 5 à 8 : raisons pour lesquelles nous refusons de vivre l’instant présent. Partie 3 : l. 8 à fin : conséquence sur notre bonheur de l’orientation que

comme sa fin, le bien absolu, le repos dans le bonheur est une erreur. Le désir est notre nature, nous ne pouvons que désirer toujours. Ex du désir sexuel avec Lacan : il ne se réduit pas au désir de posséder l’autre, dc il n’est pas assigné à un objet, celui-ci est même contingent. Le séminaire, p.189 : « L’objet de la pulsion n’a aucune importance, il est complètement indifférent. » Ce qui compte c’est de désirer. Hobbes : « La félicité [le bonheur] est une continuelle marche en avt du désir

encore les lois gouvernant l’histoire. Du point de vue moral, le fatalisme est un déterminisme ou un prédéterminisme, selon lequel les causes du cours des événements sont indépendantes de la volonté humaine, ce qui revient à nier à première vue la liberté de choix de l’homme. Dans un sens affaibli, le fatalisme peut désigner une attitude ponctuelle, à savoir le défaitisme ou le pessimisme de celui qui, se sentant voué à l'échec, laisse le destin suivre son cours et abandonne le combat, ou quitte une

 Sa pensée est directement liée aux totalitarismes qu’elle a connus et dont elle a souffert. Elle  ne peut et ne doit pas être étiquetée dans l’échiquier politique sous les rubriques du socialisme, du  libéralisme ou du communisme etc., étant donné qu’elle a toujours prôné la  liberté de penser et de  modifier ses convictions, faculté de penser essentiellement individuelle dont l’absence est considérée  comme  une  des  causes  prépondérantes  des  « crimes  contre  l’humanité »  de  la  Seconde  Guerre  Mondiale.  Il suffit de penser à Eichmann à Jérusalem 

matérialisation du bonheur et de l’étalage à outrage de la richesse personnelle. Nous meublons nos vies de superflu pour oublier cet ignoble vide que H&M ou Ikea ne saurons jamais remplir … Un proverbe arabe résume très bien ce raisonnement simple : «  trop de quelque chose est un manque de quelque chose ». Le problème est que la décroissance doit avant tout être socialement acceptée pour fonctionner. Dans nos sociétés libérales et libertaires, la moindre entrave au laissez aller, aux libertés individuelles

ignorant le monde extérieur (autarcie). L'autonomie n'est ni l'autarchie ni l'autarcie. Avec Aristote le terme autonomie reçoit une connotation morale. Pour Aristote l'individu qui est en quête d'autonomie n'est en réalité qu'un individu en quête du Bonheur. La quête du Bien se suffit à elle-même et le Bien est à la fois moyen et finalité.  Par conséquence, « il (le Bien) est ce qui par soi seul rend la vie digne d'être vécue, et délivre de tout besoin (autonomie) ». La personne qui a atteint le Bien

rien. Cette phrase résume ce qu'on appelle l'ironie socratique. Celle-ci consiste à interroger en feignant l'ignorance. Elle est aussi révélatrice du refus du dogmatisme caractéristique de la philosophie socratique. Platon Il faudrait pour le bonheur des États que les philosophes fussent rois ou que les rois fussent philosophes (La République) Platon évoque ici la théorie des "philosophes-rois". Platon pense qu'il n'est rien de pire que d'être gouverné par des ignorants. Pensant la politique

sciences exactes (mathématiques, logique) et aux sciences empiriques (chimie, physique). Axée sur le concept de responsabilité, l’éthique s’inscrit dans l’histoire des idées. La philosophie grecque la conçut comme une réflexion sur la recherche du bonheur, alors que la pensée chrétienne fit de l’amour son fondement. L’époque contemporaine en a renouvelé l’approche en intégrant dans l’éthique les interrogations sur le développement des différentes branches du savoir. Cette évolution se justifie à cause