Epicure La Peur De La Mort

fait on peut arriver au vrai être seulement en explorant à partir de ce qu’il parait. Ou alors si on s’en prend à ce que dit Epicure, la mort nous fait peur seulement parce qu’elle semblerait être douloureuse, alors que réellement elle n’est rien puisque une fois mort nous n’existons plus donc nous ne pouvons guère sentir de douleur ou de remords d’être mort. Ainsi la mort n’existe, n’est que parce qu’elle parait être quelque chose alors qu’on vérité, ce terme ne se pose même pas. En dernier point

respecter les règles même si il les critique. Il se considère athénien, il préfère mourir athénien qu'être exilé. Il n'a pas peur de la mort il s'y est préparé, il l'a apprivoisé « Philosopher s'est apprendre à mourir ». Le Phédon (mort), est le livre qui raconte sa mort. Phédon était un disciple de Socrate. Le dialogue s'engage sur l'approche de la mort. Pourquoi il n'en a pas peur? Il mourra par injection de « ciguë ». La dernière chose dont il s'est rappelé s'est de régler ses dettes. 3- Les

d’affliction).( presentation du plan)On verra dans un premier temps comment le désir peut nous fait que souffrir puis pourquoi il nous permet de nous accomplir et enfin qu’est-ce que nous pouvons minimiser cette souffrance et profiter des plaisirs. Epicure a classé les désirs en (dans) trois catégories ; ceux qui sont naturels et nécessaires comme boire et manger, ceux qui sont naturels mais non nécessaires comme boire ou manger des produits raffinés et ceux qui sont ni naturels et ni nécessaires comme

stoïcienne Pour le stoïcisme, il s'agit d'accorder notre vouloir à notre pouvoir ( > La maxime cartésienne : « changer ses désirs plutôt que l’ordre du monde » + Analyse du Texte d’Épictète ). Position de l’épicurisme ( ÉPICURE : 341 - 270 avant Jésus-Christ ) Pour Épicure, il s'agit d'opérer la distinction entre désirs naturels et nécessaires et désirs artificiels et non nécessaires. Thèse : « Donner satisfaction aux désirs nécessaires » et « Refouler vigoureusement ceux qui sont funestes »

comme nostalgie, en son essence insatisfait; impossible espoir de retrouver ce qui appartient à un passé révolu. Le désir, en définitive, se nourrit du fantasme de ressusciter le bonheur enfui : il est une impuissante révolte contre l'irréversible. Epicure établit différentes sortes de désirs, il énonce que parmi les désirs « certains sont naturels d’autres sont vains. Parmi les désirs naturels, certains sont nécessaires d’autres sont simplement naturels. Parmi les désirs nécessaires, les uns le sont

épicurienne/stoïcienne). Mais il y en a une 4eme l’éthique cynique (vient de Diogène). Éthique épicurienne: Pas de providence car les dieux n’ont pas d’influences sur les atomes. Pas d’enfer. D’autres part, après la mort on est plus rien. Cf. Extrait de la Lettre à Ménecée, Epicure, il y présente sa philosophie de vie: « le plaisir est le début et la fin de la vie ». Conception presque ascétique du choix du plaisir, qui conduit à la santé du cœur et à l’absence de trouble de l’âme. Dans ce cas

ce point, mais en ceci que, dès qu’un désir est satisfait, il n’y a plus de manque, donc plus de désir. » Combien d’objets ont été dans nos désirs et qui une fois obtenus, sont aujourd’hui dans nos placards. Combien d’amants se seraient donnés la mort plutôt que ne pas obtenir l’Amour de leurs rêves et qui aujourd’hui ne sont plus avec cette personne ? Ce texte a été pour moi un révélateur de beaucoup de choses dont je développerai par la suite. Enfin, il est évident que notre désir de l’un

sur ce que nous sommes, il s’agit d’un savoir particulier, un savoir-vivre. On ne peut pas être sage de la sagesse des autres, on peut s’en inspirer mais leur sagesse ne nous rendra pas plus sage. Par exemple, ce n’est pas parce que vous lisez Epicure que vous allez devenir heureux, c’est un travail à faire sur nous même. (Théorème) L’intelligence et la culture ne suffisent à être sage, car la sagesse est la pour nous rendre plus heureux et non à développer notre savoir. La philosophie ne

Jeudi 10 Décembre 2009 Commentaire sur un extrait de Dom Juan (Acte 1 – Scène 1) Dom Juan est une pièce de théâtre écrite en 1665 par Molière. Ce dernier est né en 1622 et mort en 1673. Dans ce passage, Sganarelle, le valet de Dom Juan, a une conversation avec Gusman, le valet de Don Elvire qui est aussi la femme de Don Juan. Pendant cette tirade, Sganarelle dresse un portrait négatif de son maitre et par-dessus ce portrait

le peuple, la majorité n'en est pas capable à cause de sa faiblesse. Il y a des gens qui n'en ont pas la capacité physique, morale , le courage. Il ne le faut pas, par lâcheté, il faut assumer sa différence, sa singularité. La plupart des gens ont peur de l'originalité. La masse est incapable d'assumer ses passions et elle admire ceux qui y arrivent. Elle va donc condamner ces derniers. Elle prône donc la tempérance. Callicles dénonce la faiblesse de la masse qui la rend vertueuse. C'est par impuissance