Epidictique

comme si le 2nd était digne de porter son nom il est notamment évoqué par son titre important « le second, qu’on appelait le prince de clèves … » (ligne 82) « on » (ligne 82)= pronom indéfini peut désigner la cours. Nous avons la un registre épidictique et aucune dissonance = le fils fait honneur à son père on a notamment 2 attributs mélioratifs = « digne […] brave » (ligne 83) Portrait mélioratif, assez idéalisé du prince de Clèves : Il est représenté par des qualités moral c’est à dire «

valeur programmatique  : il annonce la pièce à venir. I.Une captatio benevolentiae  : 1/- hommage au roi qui est valorisé ( registre épidictique ou démonstratif : éloge ou blâme (le registre encomiastique en fait partie) ) en tant que roi et chef de guerre: il est le prétexte de la pièce écrite pour le « délasser »). On annonce le retour du Roi de la guerre de Hollande, victorieux

laudatif et mélioratif « bienveillance (v.51), « vaillance » (v.53),  « vertu généreuse » (v.46). D’après ces mots le lecteur aboutit à la conclusion qu’il s’agit d’un éloge exacerbé des bienfaits que le roi dispense autour de lui. Le registre épidictique de mêle subtilement au registre épique qui transparaît grâce à l’emploi d’hyperboles et métaphores très valorisantes. Le nom d’ « Hercule » (v.29-30) exalte une certaine grandeur et des exploits de hauts faits. Le roi se trouve ainsi rangés aux

à avoir une épopée ? et une prosographie Présence de l’imparfait de description propre au conte. Candide est caractérisé par une extrême jeunesse dés la phrase liminaire. Il est également caractérisé dés cette phrase par sa douceur= registre epidictique mélioratif = éloge Il y a un champ lexical mélioratif avec bonté (il est représenté comme quelqu’un d’honnête), avec un esprit plus simple (mélioratif) mais désigne aussi un simple d’esprit, un crédule… On le nommait : cela montre qu’il n’a

autobiographique où l’auteur fait, à travers un point de vue omniscient, une rétrospection sur ses ballades près du lac de Bienne. Il y a un type descriptif car le texte est locatif, le lieu où le narrateur se trouve est fixé. C’est aussi un texte épidictique car il y fait l’éloge de ses ballades au bord du lac. A travers un point de vue subjectif, le narrateur arrive à nous communiquer le paysage qui s’offre à lui et à nous le faire imaginer, il y a donc une fonction émotive. Aussi, le texte, grâce

donnaient un éclat que l’on n’a jamais vu qu’à elle ». - Mais les figures d’amplification la rendent exceptionnelle « dans un lieu où l’on était si accoutumé à voir de belles personnes » car « c’était une beauté parfaite ». Le registre est donc épidictique et la louange en est la caractéristique, avec, dès le début du texte, la métonymie associée à une tournure impersonnelle qui font de l’entrée à la Cour de la future princesse, une apparition mystérieuse digne d’un conte de fée de Perrault : « Il

utilise les dates et citations du journal intime de Garron + « récit du chef de Bambio confirme » afin de montrer la véracité de cette histoire, de plus il écrit au gouverneur pour dénoncer cette maltraitance. Ce texte est un réquisitoire= registre épidictique  registre polémique= indignation de l’auteur renforcée par son objectif+ précision des faits froideur/ procès verbal des faits à partir de « ces agents » + «  c’est elle »/ raisonnement logique « certes » = affirmation+ « mais » = concession

Sganarelle ôte à Gusman tout espoir que son maître revienne vers Elvire : son départ est bien une trahison de l’engagement qu’il a contracté en se mariant. A cette occasion, il brosse, à sa manière, un portrait (très négatif : blâme et registre épidictique) du grand seigneur impie et débauché, un portrait donc d’un libertin. Ce texte appartient à la scène d’exposition de la pièce. Elle nous renseigne sur l’intrigue, le passé immédiat et les circonstances de l’action, mais nous permet aussi de

rassasiée) Enfin, par son goût des sentences sans appel, La Bruyère fait preuve d'une rosserie pénétrante. La parole est expressive, elle utilise tous les procédés ou modalités de l'expressivité. L'auteur éprouve un évident bonheur d'écriture (genre épidictique). Il démontre un don à rendre en quelques mots l'esprit de toute une époque. Ce portrait est une déclamation contre la sottise et surtout l'égoïsme humain. Même si l'auteur, reprenant Erasme, s'en défend : « admonere voluimus, non mordere » (j'ai

comme étant un animal avec de nombreuse qualité. Dans le poème > , le poète rajoute une qualité en plus au parasite au fil du poème . En premier lieu, le poète a écrit ce poème, en tant que démarche scientifique: une démonstration. Il fait un éloge épidictique '' c'est le meilleur des métiers '' , en le comparant aux autres métiers '' supérieurs à l'ensemble '' '' l'emporte sur chacun '' : c'est des hyperboles. La première qualité mise en valeur est : un apprentissage facile avec une anaphore : '' tous