Epithete Homerique D Aphrodite

ADAPTÉ À LA GRAN DEU R DES FAITS ET DES PERSONNAGES Le langage de l’épopée est extrêmement soutenu, le lexique est précis et de qualité, les phrases – périodes – s’adaptent harmonieusement à la grandeur des actes et des héros. Les images – épithètes homériques, comparaisons, hyperboles, personnifications, répétitions – destinées à frapper le public et à retenir son attention, sont très fréquentes et empruntées à ce qu’il y a de plus beau et de plus grand dans la nature. L’épopée est une machine

L’Odyssée d’Homère. Chants V à XIII L’œuvre et son contexte I) Récit et temps homériques 1) Entre mythe et histoire 2) Temps homériques : le monde mycénien 3) Les siècles obscurs II) Le poème homérique : La parole de l’aède 1) Aèdes et rhapsodes 2) Homère : Qui était-il ? 3) Le texte : écriture et oralité III) Aux sources du genre épique Intro : Homère a crée une influence très importante grâce à cet Odyssée (Aventure remplie de péripéties). L’Odyssée

Aphrodite La Naissance La Naissance de Vénus (détail), par Sandro Botticelli (1485), galerie des Offices. Il existe deux légendes différentes sur sa naissance. Chez Homère, elle est la fille de Zeus1 et Dioné2, l'une des filles d'Océan. Dioné est une figure mal connue, mais son nom, version féminine des formes obliques du nom de Zeus, suggère qu'elle était initialement sa parèdre3. Aphrodite appelle Arès son « bon frère4 », alors que son mari Héphaïstos, après l'avoir surprise avec ce même Arès

couple.Eris et la pomme d’or (pomme de discorde) lors du mariage de Thétis et Pelée (parents d’Achille)Le jugement de Pâris (fils de Priam et Hécube) : Héra -> royaume d’Asie ; Athéna -> victoire dans les combats ; Aphrodite -> l’amour de la plus belle femme (Hélène). Aphrodite remportePâris viole les lois d’hospitalité à Sparte + adultèreMénélas alerte son frère Agamemnon roi de Mycènes / rappellent le serment aux anciens prétendants d’Hélène (Ulysse, Ajax, Achille et leurs troupes)Se rassemblent

nom, version féminine des formes obliques du nom de Zeus, suggère qu'elle était initialement sa parèdre3. Aphrodite appelle Arès son « bon frère4 », alors que son mari Héphaïstos, après l'avoir surprise avec ce même Arès, menace de réclamer à Zeus les cadeaux qu'il lui a offerts en échange de la main de sa fille5. Dans la Théogonie d'Hésiode et selon la tradition la plus populaire, Aphrodite naît de la mer fécondée par le sexe d'Ouranos, tranché par Cronos : « tout autour, une blanche écume [le sperme]

Séquence 3 : L’Odyssée d’Homère. Séance Bilan. Objectifs de la Séquence : Outils de la langue : - la subordonnée relative/ Les subordonnées. - Lʼépithète homérique. Objectifs de Lecture : - Apprendre la lecture cursive en classe (lʼOdyssée), seul (LʼEnéide). - Comparer deux héros. - Identifier le genre épique. Objectifs dʼécriture : - savoir structurer une étude de texte. - réécrire une aventure de lʼOdyssée. - Ecriture scénaristique Objectifs en vocabulaire/Lexique : - lexique de lʼépopée - vocabulaire

Les grecs n’aimaient pas beaucoup Arès contrairement aux romains qui honoraient Mars, son équivalent latin. Mais Ses mésaventures semblent divertir les grecs dès l’époque homérique. Arès est également haï des dieux en particuliers de ses propres parents Zeus et Héra qui sanctionnaient ses actes de cruauté. Seule Aphrodite (déesse de l’amour) lui témoigne de l’affection. Elle n’est pas uniquement sa sœur mais sera également sa maîtresse. Son nom désigne toute forme de mort violente et plus

leur donne la victoire ou assure leur retraite. Les évènements humains sont gouvernés par les dieux, qui parfois même, prenant une forme humaine, descendent en personne des hauteurs de l’Olympe dans la plaine de Troie pour prendre part à la mêlée. Aphrodite, un jour, est ainsi blessée par Diomède, et rentre en gémissant dans le palais des dieux. Ou Athéna ramassant la javeline d’Achille aux pieds prompts qu’il venait de lancer sur Hector, et la lui redonnant afin qu’il puisse continuer le combat : «

adopter les rites. Il y a une littérature qui nous permet d'envisager cette culture: les hymnes. On demande à des poètes de rédiger des chants qui associent parole et musique pour célébrer la divinité. Il y a un volume qui s'appelle les Hymnes homériques : entre 7th BC et 4th après JC, textes religieux qui sont une compilation sur la très longue durée, célèbre les grandes divinités du monde grec. Il y a d'autres données importantes pour illustrer cette vie religieuse : le témoignage de l'Illiade

l’octosyllabe en contraste expressif. L’alexandrin, vers noble est utilisé pour raconter, de manière un peu épique les diverses actions des coqs, quant à l’octosyllabe qui rompt le rythme et met en relief une expression inattendue, qui rappelle les épithètes homériques2 : « Plus d’une Hélène au beau plumage ». - Sonorités évocatrices qui rappellent le caquètement de la poule, répétition du son [ k ] : « coquet », « quel », « caquet ». Notons aussi la paronomase3 « coquet », « caquet » qui rappelle implicitement