Équation chimique

grandeurs et les actions subies : il s’agit bien d’une dynamique locale. Remarquons dès à présent que le problème comporte donc 5 inconnues scalaires et nécessite 5 équations pour sa résolution… ! Nous nous limiterons enfin dans ce chapitre à l’étude de fluides parfaits où n’intervient donc aucune force de viscosité. 1. EQUATION D’EULER - APPLICATIONS 1.1. Expression Appliquons la relation de la résultante cinétique à une particule de masse dm de fluide dont on suit le mouvement, on

POLY BTS DESIGN PRODUIT-ESPACE 1 SOMMAIRE 1. Calcul d’aires et volumes …………………………………………………...... 3 2. Fractions, puissances, racines carrées, équations …………………………....9 3. Droites dans le plan …………………………………………………...............23 4. Vecteurs dans le plan ………………………………………………........…...28 5. Relations dans le triangle – Pythagore – Thalès ………………………....….34 6. Fonctions polynômes et homographiques ……………….…………….....….42 7. Fonction logarithme et exponentielle …………………………………...……56 8

toujours comme réduction, N= F. Par ailleurs, toutes les sections droites sont identiques. Faisons une section droite et essayons de calculer 1 et 2. On a (équation d’équilibre) : 1 S1 + 2 S2 = F. (1) 1 équation, 2 inconnues : 1 et 2. La statique ne peut pas nous donner d’autres équations. Il faut donc faire appel à l’équation de déformation L=L/E Ici, le L est le même pour les deux pièces (1) et (2), d’où : L=1L/E1=2L/E2 D’où : 1/E1=2/E2

prémultipliant la première équation par y et la seconde par $y , on obtient en effectuant la différance : $ 2 y . K. y − $y . K. y% − ω $ y . M. y + ω $ y . M. y% = 0 $ Soit encore, les matrices M et K étant symétriques : (ω% − ω ). $y . M. y% = 0 Ce qui entraîne : Pour s=ν, y . M. y% = 0 pour s⧧ν $ y% . M. y% est une quantité positive que l’on conviendra de normaliser à 1. $ En rapportant ces relations dans une des équations (6), on obtiendra : y

Addition et soustraction de fractions Cours maths 4ème Addition et soustraction de fractions : Ce cours a pour objectif d’effectuer des additions et des soustractions avec les nombres en écriture fractionnaire. Il permet d’effectuer des calculs simples, ils sont progressifs dans la difficulté. Des situations concrètes sont proposées afin de permettre à l’élève de donner du sens aux calculs qu’il effectue. ► Sommaire cours maths 4ème A voir aussi : ► Sommaire par thèmes ► Sommaire

 de courbe représentative  Cf  . L'équation de la tangente à  Cf  au point d'abscisse  a  est : y = f ′(a)(x − a) + f (a) Démonstration D'après la propriété précédente, la tangente à  Cf  au point d'abscisse  a  est une droite de coefficient directeur  f ′(a) . Son équation est donc de la forme : y = f ′(a)x + b On sait que la tangente passe par le point  A  de coordonnées  (a;  f (a))  donc : f (a) = f ′(a)a + b b = − f ′(a)a + f (a) http://www.maths­cours.fr/premiere­es/fonction­derivee 2/6 26/1/2015 Dérivées en Première ES

Schéma cinématique du monocylindre Système bielle manivelle 2- Étude géométrique On fait une fermeture vectorielle On à alors : En projetant sur  : En projetant sur  : On recherche à éliminer En additionnant les deux équations on obtient : Puis 3- Étude graphique Connaissant la vitesse du point B, c'est-à-dire la vitesse du piston, on décide de déterminer graphiquement la vitesse angulaire de l’arbre moteur. On prend : L=24cm (Bielle) R=12cm (Vilebrequin)

f avec f(x) = Exercice 2 : (5points) x2 1 x 1 1) On donne les nombres complexes z = 1 – 2i et z’ = 3 + 4i. Ecrire sous forme algébrique chacun des nombres complexes suivants : z + z’,z.z’, z 2 , 1 z et z z ' 2) Résoudre dans C chacune des équations suivantes : a) z 2  3  0 b) z – 1 = i z +2i Exercice 3 :(6 points) Soit la fonction f définie sur IR par f(x) = - 1 3 x + 3x. 3 On désigne par (C) la courbe représentative de f dans un repère orthogonal ( o , i , j ) 1) Montrer que f est impaire

phénomène physique. Ces modèles utilisent très souvent des systèmes d'équations aux dérivées partielles (EDP) non-linéaires dont on ne connait pas de solutions analytiques en général. Il faut alors résoudre le problème numériquement en transformant les équations continues de la physique en un problème discret sur un certain domaine de calcul (le maillage). Dans certains cas il s'agit de la seule alternative (nucléaire, astrophysique, spatial...). Dans d'autres cas, les simulations numériques sont ménées

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41 41 42 45 49 50 52 53 53 CHAPITRE IV. Théorème de Runge, équations de Cauchy-Riemann et Théorème de Weierstrass IV.1. Théorème de Runge et enveloppes d’holomorphie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . IV.2. Résolution C ∞ des équations de Cauchy-Riemann . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . IV.3. Le Théorème de Weierstrass . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .