Équations de Friedmann

Io Para 2: Les équations de IS Y = C + I (consommation + investissement) Y = C + S Alors I = S Para 3: La détermination de la relation IS On peut déterminer l’équation de IS à partir de l’égalité de la demande et l’offre globale excentée. Y = C + I Y = cY + Co – br + Io Y – cY = -br + Co + Io Y (1-c) = -br + Co + Io Y = 1/1-c x (-br + Co + Io) Y = k x (-br + Co + Io) Y = -kbr + k(Co + Io) avec Co + Io: demande autonome Y = -kbr + k (Co + Io) : équation de IS.

est retenue et on voit, en 1844, la naissance de l'Act of Peel qui a pour objectif de restreindre l'émission de monnaie fiduciaire de la part des banques, ce qui aura pour conséquence, la création par ses dernières de la monnaie scripturale. 1.2 Equation quantitative de la monnaie : Fisher (1912). On est dans une économie à m biens r = 1, 2, 3,..., m, r est l'indice pour les biens, xr = 4 veut dire 4 unité de biens r, x1, x2,...,xr, xm sont échangés, p1, p2,..., pr, pm sont les prix d'équilibre

l’ambition est de créer la simulation d’une économie réelle. Ces modèles développés dès les années 30 par l’économiste néerlandais : Tinbergen. Sont aujourd’hui très évoluées ainsi le modèle de Tinbergen comprenais 29 variables 5 exogènes et 24 équations. Alors que les modèles d’aujourd’hui contiennent des milliers d’équation et de variables. Il s’agit de permettre la prévision et l’analyse des effet des politiques économiques. CHAPITRE 2 : REPRÉSENTATION DES MESURES DE L’ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE

bien compris au moment où le modèle a été proposé, au milieu du XXe siècle. Le concept général du Big Bang, à savoir que l’univers est en expansion et a été plus dense et plus chaud par le passé, doit sans doute être attribué au russe Alexandre Friedmann et au prêtre catholique belge Georges Lemaître qui respectivement en 1922 et 1927 décrivirent dans les grandes lignes l’expansion de l’univers, avant que celle-ci ne soit mise en évidence par Edwin Hubble en 1929. Son assise définitive ne fut cependant

révolution keynésienne » aura été de montrer que toute l’épargne n’est pas nécessairement placée sous une forme rémunérée et de faire émerger l’importance de la demande de monnaie. Les analyses postérieures qu’elle soit monétariste avec Milton Friedman ou keynésienne avec Tobin mettent l’accent sur l’intégration de la monnaie comme demande d’encaisse, au comportement de diversification de la demande d’actifs financiers , composante d’une diversification du patrimoine. 1. Détention de monnaie

et gestion de patrimoine 1. Équation des échanges 2. Équation de Cambridge 3. Effet d’encaisses réelles ™ Équation des échanges (I. Fisher) Synthèse : n - Nombre de transactions => - Prix / transaction => - Volume des transactions : P x Q = 50 x 3 = 150 dh - Monnaie / Départ => o T1 T2 T1 q Q=3 P = 50dh PQ=150dh M = 50dh (?) Avec 50 dh on peut acheter 150 dh p Monnaie x Circulation = Volume de transaction 50 x V = 50 x 3 => V = 3 M x V = P x Q <= équation de Fisher P = M (V/Q) avec

thésaurisation, pas de report de consommation dans le futur et pas de détention de monnaie à des fins spéculatives) 1. L’équation des échanges A travers son équation, I. Fisher montre que la monnaie intervient dans les échanges, puisqu’elle exprime la valeur des marchandises. Dans ce sens la monnaie a un seul rôle, celui d’intermédiaire des échanges. Equation : M V = P Q Cette relation se transforme en théorie quantitative de monnaie lorsqu’elle privilégie ses composantes monétaires en stipulant que les prix

thésaurisation, pas de report de consommation dans le futur et pas de détention de monnaie à des fins spéculatives) 1. L’équation des échanges A travers son équation, I. Fisher montre que la monnaie intervient dans les échanges, puisqu’elle exprime la valeur des marchandises. Dans ce sens la monnaie a un seul rôle, celui d’intermédiaire des échanges. Equation : M V = P Q Cette relation se transforme en théorie quantitative de monnaie lorsqu’elle privilégie ses composantes monétaires en stipulant que les prix

monnaie. L’équilibredépendantnon pas des prix absolus mais des prix relatif. Or la TQM donne une seconde équation de l’équilibre sur le marché de la monnaie, dans laquelle la demande de monnaie ne dépend que de la quantité de monnaie. Il y a donc deux équations d’équilibre qui sont complètement différentes l'une de l'autre.Pour sortir de cette contradiction et se ramener à une seule et même équation, Patinkin invente l’effet d’encaisse réelle. La demande d’encaisse réelle des agents est fonction, non

tout en conservant deux principes hérités des classiques : _les agents économiques sont rationnels. _les marchés s’équilibrent toujours, par ajustement permanent des prix à l’offre et à la demande. La NEC trouve ses origines dans les travaux de Friedman (a remis en cause la validité de la courbe de Phillips), Phelps (problèmes d’imperfection de l’information notion du chômage de recherche) et Muth (concept d’anticipations rationnelles) I) Rappels sur la courbe de Phillips et typologie des anticipations