Équations de Friedmann

apparaître 3 courants théoriques : La plus ancienne approche, qui est la théorie quantitative de la monnaie (TQM) La théorie Keynésienne, qui montre que le taux d’intérêt est une variable monétaire L’approche des monétaristes (Fondateur : Milton Friedman) 4.1 La théorie quantitative de la monnaie La neutralité de la monnaie La tradition classique se caractérise par sa vision dichotomique, c.-à-d. – d que la théorique économique se divise en 2 branches distinctes, à partir de 2 mondes distincts :

entrait en conflit avec cet objectif, notamment lorsque les économies subissaient des perturbations réelles ou étrangères. La flexibilité du taux de change était de plus en plus avancée comme étant plus appropriée aux pays industrialisés. Milton Friedman (1953) et Harry Gordon Johnson (1969) font partie des principaux défenseurs des systèmes de change flexibles. Leurs travaux et ceux d'autres auteurs tels que Mundell (1963) montrèrent qu'avec une mobilité de plus en plus forte des 13 capitaux

presentations at the Institute, Princeton, Harvard, Columbia, Brown, the Center of Planning and Research in Athens, and the National Bureau of Economic Research; and for discussions of these topics with Rudiger Dornbusch, Stanley Fischer, Benjamin Friedman, Michael Horgan, Leonard Nakamura, John Seater, Dennis Snower, Robert Solow, Joseph Stiglitz and Lawrence Summers. Finally, it was a remark made at a seminar some years ago by Robert Mundell which first got me scratching my head about the concept

directement. L'économiste est contraint de simplifier cette réalité pour en retirer que quelques éléments qui lui paraissent essentiel par rapport à l'objectif qu'il s'est fixé. Une représentation simplifiée de la réalité économique sous forme des équations est un modèle économique, son élaboration repose sur un ensemble d'hypothèse. La consommation dépend aussi du patrimoine. 1- La démarche scientifique en économie. L'élaboration des modèles analyse sa cohérence et son fonctionnement résulte

I = Y - C I = S  Thèse de l'économie Keynésienne. Ex : pour investir 100, il faut avoir épargner 100 : si y = 100 ; c = 80 ; i = 20 ; s = 20 S = y – c =100 – 80 = 20 y = c + i = 80 + 20 = 100 i = y – c = 100 – 80 = 20 => les équation sont bien en équilibre Exercices (pour mieux comprendre...) : y = 600 ; c = 480 ; i = 120 ; S = 120 ; augmentation de i à 150 ; Propension marginale à consommer = 6/9. K = ?? Nv équilibre ?? Propension marginale à consommer = 2/3 => propension

pour des motifs opposés : d'une part, par une partie plus traditionnelle des milieux d'affaires hostiles à la RSE ou par certains économistes estimant que la seule fonction d'une entreprise est d'accroître ses profits sans considérations sociétales (Friedman, 1962 et 1970), d'autre part, par certaines ONG, plus radicales qui, rejettent les motivations de la RSE résumées ci-dessus, et les limites qui en découleraient. - Quant à la justification microéconomique, elle part d'un constat assez partagé

la monnaie est abondante, plus sa «valeur» est faible, donc plus le montant nécessaire à l’achat d’un bien, c’est-à-dire le prix du bien, est élevé. (Voir plus loin en 2.1.3) Les monétaristes reprendront cette approche dichotomique. Ainsi M. Friedman (1912- 2006), qui est le chef de file de cette école de pensée, considère que la monnaie est neutre à terme puisqu’elle ne parvient pas à modifier les comportements des agents économiques, mais concède cependant qu’une émission monétaire peut avoir

centrale, Barro et Gordon (1983) démontrent que si la banque centrale n’est pas contrainte ex-post, alors la politique non inflationniste n’est pas crédible. La période de grande inflation et de chômage à travers le concept de stagflation soulevé par Friedman au lendemain des cures des politiques keynésiennes, avait fait basculé le paradigme dominant de la politique monétaire vers la priorité accordée à la lutte contre l’inflation par toutes les banques centrales depuis ces trente dernières années dans

rationaliser tout au long des 50-60’s. Mais à partir des années 70, la crise et la période de stagflation qui s'en suit remettent en cause la vision Keynésienne du budget. La contestation vient des monétaristes (dont le chef de file s'appelait Milton Friedman) et d'un retour à la théorie néoclassique. Cette première vague de contestation libérale sera suivie d'une seconde vague liée au courant de la NEC. Aujourd’hui en France la politique budgétaire est contrainte par le pacte de stabilité et de croissance

principe de rationalité, c’est-à-dire utilise au mieux les ressources dont il dispose en tenant compte des contraintes qui s’imposent à lui. Il cherche à optimiser ses comportements. Les comportements de l’individu rationnel peuvent être traduits en équations mathématiques. Le marché est le meilleur moyen de coordination des comportements économiques des individus. Le marché de concurrence pure et parfaite est le modèle de référence du système des marchés : l’État a pour seule fonction économique de garantir