Équations de Friedmann

d’encaisses monétaires * M= 1/5.Y M= (1/5).P.¥ Généralisation : M= k.P.¥ avec : k= la part du revenu que les individus souhaitent conserver sous forme d’encaisses monétaires Pour des raisons psychologiques : k= supposée stable Equation de Fischer : M.V=P.¥ Donc : 1/k=V = vitesse de circulation  « revenu » de la monnaie Avantage de l’équation de Cambridge : introduction d’un marché monétaire (lieu où se confronte l’offre et la demande de monnaie) * Demande globale de monnaie

- Les agents économiques sont rationnels - Les marchés s'équilibrent toujours: les prix s'ajustent en permanence pour équilibrer l'offre et la demande sur tous les marchés. La NEC trouve ses origines dans les travaux de 3 auteurs: - Friedman: remise en cause de la validité de la courbe de Phillips à long terme - Phelps: imperfection de l'information - Muth: anticipation rationnelles I. Rappel sur la courbe de Phillips et typologie des anticipations a. La

aujourd’hui comme une contrainte nécessaire à la croissance et au plein emploi ? I/ Diverses sources de l’inflation 1/Inflation et quantité monétaire en circulation * Théorie quantitative de la monnaie (Friedman) * Inspiration monétaire (Planche à billet) * Relation économique ou équation de Fisher : M*V=P*Y * Inflation importée, relations économique avec le reste du monde 2/Inflation par la demande * Demande> Offre * Selon Keynes, les prix vont augmenter. Donc l’inflation

Tinbergen publie le premier modèle macro-économique global d’une économie nationale puis se consacre à la vérification empirique des théories des cycles à la demande de la SDN, donnant lieu à la publication de deux ouvrages auxquels Keynes et Friedman vont s’opposer. Aux Etats-Unis, c’est la commission Cowles de recherche en économie, fondée en 1932, qui sera le principal vecteur de recherche économétrique. En 1942, Marschak en prend la direction et Haavelmo prônent une approche probabiliste à

l’intervention de M. Friedman. III. Critiques adressées au monétarisme ; Conclusion. * Introduction Courant de pensée théorique, le monétarisme accorde à la monnaie un rôle important dans les mouvements économiques. Tombé pratiquement dans l’oubli devant la poussée keynésienne, le courant monétariste a connu depuis les années 1960 un renouveau certain, dû au développement des tendances inflationnistes, avec des auteurs anglo-saxons et surtout américains (Milton Friedman). Ce courant a redonné

est généralement pas approfondi. Il existe certes de nombreux articles abordant cette problématique, avec cette théorie, mais la plupart concluent que la monnaie n’a pas, ou très peu, de rôle dans les dynamiques économiques. Slide 4 : Monétarisme (Friedman, Brunner, Meltzer...) Pourtant, lorsque les ménages réallouent leur portefeuille d'actifs, le comportement de la demande d'encaisse réelle induit des ajustements des prix relatifs des actifs réels et financiers, ce qui entraine un changement de la

Sa vie Né en 1912 à Brooklyn, Milton Friedman est le grand pape de l’ultralibéralisme. Après son doctorat, il enseigne à l’université de Chicago de 1946 à 1977. Chef de file d’une véritable contre-révolution keynésienne dès les années 50, il a vu ses idées triompher dans les années 70, et reçu le prix Nobel en 1976. Il a été le conseiller de nombreux candidats à la présidence des Etats-Unis, résolument ancrés à droite (Richard Nixon et Ronald Reagan notamment). Alors qu’il est professeur à l’université

thésaurisation, pas de report de consommation dans le futur et pas de détention de monnaie à des fins spéculatives) 1. L’équation des échanges A travers son équation, I. Fisher montre que la monnaie intervient dans les échanges, puisqu’elle exprime la valeur des marchandises. Dans ce sens la monnaie a un seul rôle, celui d’intermédiaire des échanges. Equation : M V = P Q Cette relation se transforme en théorie quantitative de monnaie lorsqu’elle privilégie ses composantes monétaires en stipulant que les prix

idées de Keynes et de Friedman se centre autour des préoccupations suivantes : Quel doit-être le rôle de l’Etat en matière de politique économique ? - Doit-il, ainsi que le préconise Keynes, intervenir pour éviter la dépression et le chômage ou, au contraire, comme l’affirme Friedman, s’abstenir et laisser jouer le marché ? è Les auteurs : John Maynard Keynes et Milton Friedman A) J. M. KEYNES – 1883-1946 (voir sa biographie dans un précédent dossier). B) MILTON FRIEDMAN (né en 1912). Né en

au taux de chômage : [pic]=[pic]+ f(u) (7) C’est ainsi, selon Friedman et Phelps, que les anticipations permettent d’interpréter la courbe de Phillips tout en considérant une augmentation des salaires nominaux relatifs, une diminution du chômage qui revient à son niveau « naturel » et une inflation due à l’augmentation du niveau des prix par rapport aux salaires nominaux. Friedman permet de concilier l’idée classique d’une neutralité à long terme de la monnaie et l’existence