Équilibre de sous-emploi

occidentales, avec pour objectif de photographier et de représenter les pays de façon microéconomique. C’est une photographie non neutre et chiffrée. I. L’équilibre comptable « ressources/emplois » L’aspect particulier d’un équilibre comptable L’équilibre comptable n’est pas un équilibre économique. L’équilibre économique renvoie à la différence entre l’offre et la demande de biens ou de services. Ces déséquilibres sont créés car : – La demande l’emporte sur l’offre, autrement

Idée de classer les créances et dettes par liquidité / exigibilité. Sous classement à partir de l échéance contractuelle. Logique de liquidité : la convergence vers la liquidité est déterminante confrontation en encaisse : comparaison de l exigibilité immédiate / et de la liquidité immédiate. Au-delà de l immédiat l idée est venue de « remonter » en amont dans le temps avec la même stratification que l horizon des comptes annuels. Sous classement : Court terme (< 1 an) / Long terme (> 1 an) Introduction

rémunération variable dans le système de rémunération semblent résumer les pratiques qui ont tendance à se généraliser. En parallèle de l individualisation accrue, l équité autant interne qu externe devient cruciale pour les entreprises. Il s agit d un équilibre complexe puisqu il intègre des notions aussi disparates que la réalité du marché, les pratiques en matière de rémunération et le sentiment équité qu éprouve le salarié au sein de son entreprise mais en comparaison avec les autres entreprises. est

La macro-économique ne se coupe pas, mais elle privilégie les équilibres des agrégats macro-économiques. L’approche Néo-Classique étudie la formation des équilibres marché par marché, il y a autant de marché que de biens et marchés, donc il y a dans l’économie une multitude de marché. Sur chaque marché l’équilibre se définie entre l’égalité de l’offre (quantité offerte) et la demande (quantité demandée). Il existe un « équilibre général » qui est la situation qui se caractérisera par le fait

CHAPITRE III LA POLITIQUE MONETAIRE La politique monétaire regroupe l’ensemble des actions visant à influencer les variables économiques (prix, niveau d’activité, emploi, équilibre externe) par le truchement du volume et du coût de la monnaie. On distingue ainsi les objectifs opératoires, les objectifs intermédiaires et les objectifs finals de la politique monétaire. Les objectifs intermédiaires constituent l’objet de la politique monétaire. Il s’agit des taux d’intérêt, des agrégats monétaires

Equilibre Walrasien Y Yd Y* Ys Cs W/P Investissement autonome Nd N* Ns N E B A Fonction de production Cd Id CLOWER: LE PRINCIPE DE DECISIONS DUALES 1. La loi de Walras ne s ’applique pas parce les fonctions d ’offre et de demande reposent non sur le niveau désiré des transactions mais sur leur niveau réalisé. 2. Une offre excédentaire de travail n ’est plus liée à une demande excédentaire de biens P1 Les ménages décident de leurs dépenses une fois connu le niveau de l ’emploi P2

l’équilibre économique. Keynes a mis en évidence les insuffisances du marché et a présenté comme principal remède, l’intervention de l’Etat. Une situation où la production est supérieure à la demande, est considérée par Keynes comme une situation de sous-consommation et suggère une intervention de l’Etat par plusieurs moyens pour augmenter la demande. I – La fonction de consommation : La consommation est une fonction croissante de revenu. Elle est présentée par une fonction simple : C = f(R)  aR+b

systématiquement le plein-emploi des facteurs de production. Il s’oppose aux partisans du laissez-faire, à Pigou et à « l’orthodoxie » de son temps. La théorie classique n’est qu’un cas particulier, le cas général est l’équilibre de sous-emploi car du côté de l’offre on a un problème d’incertitude et un problème de débouchés du côté de la demande (pas de « loi de Say »). Plus on a une société qui s’enrichit plus on a un problème de débouchés à l’origine du non-emploi des facteurs de production

ex-post (après réalisation de l’ensemble des opérations économiques) mais l’équilibre comptable n’implique en rien l’équilibre économique ; les équilibres comptables peuvent aller de pair avec les déséquilibres économiques (chômage, inflation). I. La représentation de l’activité économique L’activité économique peut être représentée sous forme graphique ou sous forme de tableau synthétique (TEE). 1. La représentation en termes de circuit * Présentation du circuit Il met en présence

pour les marchandises reproductibles, la valeur est donnée par la quantité de travail. - Prix marché est différent du prix naturel(=valeur L d’une chose). Phénomène de gravitation→prix du marché gravite autour prix naturel. Ex : Ricardo Soie Laine→Equilibre naturel vers lequel l’éco tend d’elle même, s’il n’y a pas entrave aux libertés éco. NEO CLASSIQUE 1870 L. WALRAS S. JEVONS MARSHALL K. MENGER -La théorie de la valeur utilité remplace la valeur L. Il faut formaliser le raisonnement éco et