Equivocité Langage Imparfait

Le Langage Peut-on reprocher au langage d’être équivoque ? Le langage est un instrument symbolique d’expression et de communication, du moins c’est ce qu’il est, de nos jours, pour l’opinion commune. Mais parvient-il toujours à remplir ce rôle premier ? En effet, le risque majeur dont souffre la communication, c’est d’être victime de l’équivocité du langage. Ainsi personne ne peut nier, avoir au moins une fois dans sa vie du faire face à cette barrière, que peut être l’ambiguïté de notre

Peut on dire que les mots nous apprennent notre propre pensée ? L’apprentissage du langage est une faculté bien spécifique de l’homme. Il lui permet de se comprendre, de se parler à lui-même, mais également d’échanger ses idées avec autrui, et de saisir, comprendre et méditer la pensée d’autrui. Ce pouvoir de communication sans fin se fait au moyen d’un outil, la langue, spécifique à chaque culture, et qui est grossièrement un ensemble complexe de mots, qui suivant l’ordre qu’on leur donne, déterminent

forme, les caractères de son espèce (son essence). Finitude Notre finitude renvoie à deux types de limitation. Premièrement, le fait que nous sommes mortels et non éternels (limitation dans le temps). Mais cela renvoie aussi au fait que nous sommes imparfaits, que notre condition est limitée par nos capacités (limitation ontologique). Infini/indéfini L’indéfini, c’est ce qui ne se termine jamais, qui peut toujours être poursuivi (ex. : les nombres). L’infini ne possède pas de fin, mais en un sens plus

c’est ce qui dépend d’autre chose et n’existe que lorsque certaines conditions sont réalisées ; c’est aussi ce qui est limité, soumis à la finitude, imparfait. Les créatures sont ainsi relatives (à Dieu) ; les effets sont relatifs (à leurs causes) ; les accidents sont relatifs (à une substance) ; la connaissance humaine est relative (car imparfaite). Développement d’un exemple Einstein : « le mouvement, du point de vue de l’expérience possible, apparaît toujours comme le mouvement relatif d’un

se parer, s’épiler, tout pour se faire voir de loin , il en fait beaucoup trop , ce qu’a fait Esope lors des spectacles à Rome. La brachylogie : discours bref, celui qui parle peu est à priori celui qui parle bien, il ne joue pas trop des équivocités du langage. Cela n’empêche pas de Cicéron de faire des discours pendant une heure. Ce qui a dérangé Cicéron c’est qu’Esope s’est mis à la bassesse de la foule, il a trahi le texte. Pourquoi est il préférable de vivre une vie contemplative qu’une vie

Question possible car pensée réflexive. La philosophie est née de ce que l’ê humain peut avoir une pensée réflexive, une capacité spéculative, càd une distance par rapport au sens de sa propre existence, ce qu’il fait ou dit. ➢ L’humain = langage mais langage n’existe pas (multiplicité formes langagières : professionnelle, religieuse, etc.) : s’interroger sur ce qui est promis à l’homme en tant qu’être humain, qu’est-ce qui lui est imparti dans les différentes activités langagières qui apprennent

présocratiques : les initiateurs ................ Chapitre 2 : Socrate contre les sophistes .......................... Chapitre 3 : Platon et la théorie des idées ........................ Chapitre 4 : Aristote, science et réalisme dans un monde imparfait .................................................. Chapitre 5 : Diogène le cynique......................................... Chapitre 6 : Épicure et les épicuriens ............................... Chapitre 7 : Les stoïciens et l’art de vivre .....

besoin de performateur, les mots deviennent des acteurs dont le pouvoir d’ensorcellement sur l'objet (le récitant) est très puissant. Ce n'est plus le sujet qui se sert du langage à des fins précises, c'est plutôt celui-ci qui semble asservir le récitant par lequel il advient. Car la liberté dont bénéficie le langage doit passer par l'homme de façon consciente ou inconsciente. Ici, il est vrai que c'est "l'inconscient" du récitant qui préside à la formation de l'"implacable" phrase. Cette

littéraire et culturelle, réflexion sur la production et la singularité des textes ; – Objectif : on souligne les enjeux des relations entre formes et significations, de façon à amener les élèves à saisir la spécificité du travail poétique sur le langage. En situant une œuvre dans un mouvement littéraire, on leur fait discerner les continuités et les évolutions dans les conceptions de la poésie, autour notamment des idées de la modernité ». Pour tenir compte de ce programme, de ces objectifs et de

contradiction selon lequel il est impossible d’énoncer deux propositions contraires dans le même temps et dans le même rapport > Il y a de multiples interprétations pour chaque aphorisme : équivocité > L’aphorisme est plus proche du poème que du romanNietzsche > porte une philosophie anti-systématique , qui ne veut pas se définir comme une philosophie, qui est mille philosophies