Erasme La Civilite Humaine

type d’idée ou cet autre, chacun acquière une culture politique. Les 2 premiers penseurs du politique qui ont exprimé des idées politiques, se rapportant à la gouvernance, ordonnancement de la cité. (polis : la ville et l’Etat, civis : la cité > la civilité : politesse, manière de vivre en société ; citoyen…). La culture politique n’est pas seulement formée d’écrits politiques mais peut être formé de fables, de contes, d’épopées. L’Iliade et L’Odyssée d’Homère qui ne sont pas des ouvrages politiques

alors la question de l’utilité de la philosophie politique dans les sociétés d’aujourd’hui. C’est un défi face à deux systèmes de pensée : l’économisme et la théorie de la fin de l’Histoire. L’économisme érigé en dogme n’intègre aucune considération humaine, sociale ou spirituelle dans ses réflexions, c’est une rouleau compresseur mathématique (confer la théorie de la « main invisible » de Smith)…Mais trouve-t-on notre bonheur avec ces lois de l’économie ? De toute évidence, non. Les réponses apportées

contingente. Il n’est point de sanctions, pour les lois de la nature considérées comme simples expressions de rapports constants. Il est des sanctions pour les lois humaines… »  [2] Dans l’ordre de la nature, qui est un ordre de la nécessité, il n’y a pas de sanction parce que les lois sont inviolables. Il n’existe de sanctions que pour les lois humaines, celles qui précisément enferment la possibilité d’être transgressées. Sanctionner, c’est rendre sacré, donner autorité à une loi qui peut toujours être bafouée

lʹexpansion indéfinie, le roman qui a aboli une fois pour toutes les anciennes formes classiques (...) sʹapproprie toutes les formes dʹexpression, exploite à son profit tous les procédés. Il sʹempare de secteurs de plus en plus vastes de lʹexpérience humaine dont il donne une reproduction en lʹinterprétant à la façon du moraliste, de lʹhistorien, du théologien, du philosophe ». (Roman des origines et origine du roman). Cependant, durant les XVII ème et XVIII ème siècles, le roman était tenu en piètre

geste, la Chanson de Roland comporte une forte charge idéologique, mais c'est également une peinture assez fine des tensions internes de la société féodale (entres vassaux et suzerain, entre l'ambition personnelle et le dévouement), ainsi qu'un drame humain : en dépit du caractère un peu stylisé des personnages, la subtilité des caractères explique et implique le déroulement inéluctable des événements. |   | Suivant |    Extrait de la chanson de Roland (vv. 2259-2396) : Précèdent |   |  

dans une logique de la conversation. Ne pas ennuyer son interlocuteur, toujours laisser prise à sa répartie, en bref s’interdire d’accaparer la parole, étaient les règles qu’il convenait de suivre auprès des gens du monde, afin de faire preuve de civilité et de subtilité, comme le résume le Père Bouhours : « L’un des plus sûrs 13 B. Beugnot, « Florilèges et polyantheae : diffusion et statut du lieu commun », La Mémoire du texte. Essais de poétique classique, H. Champion, Paris, 1994, p.261 14

successivement deux destinataires : 1) les « frères humains » apostrophés au début de la ballade et auxquels s’adresse la phrase : « Ne soyez donc pas de notre confrérie, mais priez Dieu qu’il veuille nous absoudre » puis 2) Jésus-Christ, lorsque, laissant de côté l’évocation macabre, le texte se change dans la première strophe en prière. 2. L’expression de la souffrance et de la mort : entre poésie et réalisme Ces trois poèmes peignent la condition humaine dans ce qu’elle a de plus terrible. Outre qu’il

qu’il y a une île peuplée de gens très féroces qui mangent la chair humaine ». Ainsi, des récits du XVIe siècle nous rapportent le culte sanguinaire des Aztèques, la cruauté de certains Indiens Caraïbes (d’où vient le terme cannibale) qui apparaissent comme une résurgence des récits antérieurs comme ceux de Marco Polo décrivant les cynocéphales, ces hommes à tête de chien qui aboient au lieu de parler et se nourrissent de chair humaine. Si le portrait des Indiens tracé par Colomb est positif, il est

Symbole Télégramme, voir Petite capitale (vol. II, p. 176) Terre 228 228 229 229 230 230 230 231 231 233 233 235 235 236 236 237 239 244 245 245 247 266 267 268 268 269 271 21 sommaire du volume ii Théâtre Tierce Tiers Tiret Titre de civilité, voir Madame, mademoiselle, monsieur (vol. II, p. 107), Titre honorifique (vol. II, p. 297) et Titre religieux (vol. II, p. 299) Titre de départ Titre d’œuvre Titre honorifique Titre intérieur Titre religieux Tome Tour, voir Manifestation sportive

CHRISTINE DE PISAN. Chroniques (en général). Chronique de Cologne. Chronique de Hollande. Chronique de Koelhoff. Chronique de Nuremberg. Chroniques gargantuines. CHUQUET (Nicolas). Chypre. CICÉRON. Circenster. CIREY (Jean de). Cîteaux. Civilité (caractères de). CLAJUS (Johann). CLARET (Jean). CLAVEL (Robert). CLÉMENT VII. CLÉNARD (Nicolas). Clermont. Clèves. Cluny. COBLENCE (Jean de). Cochin. COCHLAEUS. COCK (Jérôme). COCT (Anémond de). COIGNARD (Jean-Baptiste). COLBERT.