Éros

ouvertement à sa confidente de sa flamme coupable : « J’adorais Hippolyte » (v.285). La divinisation d’Hippolyte révèle ainsi non seulement l’intensité de cet amour interdit mais également la substitution d’Hippolyte au dieu même de l’amour, à savoir Eros. De plus, toujours dans la même scène, Phèdre se révèle odieuse puisqu’elle avoue sans détours avoir substitué à l’image du père celle du fils : « mes yeux le retrouvaient dans les traits de son père ». La reine place donc le roi dans l’ombre de son

beauté c'est n'est pas plus masculine que féminine. Aimer qqn c'est toujours pour la beauté. Pour les grecs, être attiré par des personnes du même sexe ou non c'est le même amour, Eros. L'homosexualité et l'hétérosexualité ne sont pas deux tendances différentes pour un grec, elles sont une seule et même forme de désir, Eros. «  La pratique des garçons et celles des femmes ne constituaient pas des catégories classificatoires entre lesquelles les individus pouvaient être réparties » M.Foucault. Être attiré

Au début, les astronomes soupçonnaient des objets compacts sombres d'être à l'origine de la masse manquante de notre Univers. C'est ainsi que, dans les années 1990, deux programmes, EROS ( Expérience de Recherche d'Objets Sombres ) et MACHO ( Massive Compact Halo Objet ), on eut pour objectif de détecter des naines brunes dans les halos galactiques. Pour cela, les astronomes ont dû surveiller plusieurs millions d'étoiles dans les Nuages de Magellan ( galaxie satellite de la nôtre ), tout en espérant

sacrifice pulsionnel contrevient davantage au bonheur des individus qu’il ne le rend possible, n’y a-t-il pas quelque absurdité à accepter la loi de la société ? C’est ce qui conduit Herbert Marcuse à rejeter la société capitaliste :   [Marcuse, Éros et civilisation, manuel, p. 419-420]   La société, en effet, n’exige plus de l’individu qu’il sacrifie ses désirs pour en tirer un profit commun avec autrui : ce sacrifice est désormais commandé par la logique aveugle de la performance. Si

s'agissait d'un filet magique dans lequel il enferma Aphrodite et son amant. Tous les dieux de l'Olympe furent invités à venir constater le méfait. Poséidon demanda au dieu forgeron de les libérer, et Aphrodite s'enfuit en Chypre. Elle eut de son amant Eros, Antéros, Déimos et Phobos, Harmonie. Elle aima le mortel Anchise, berger au sommet du Mont Ida, de qui elle eut Enée. Elle était connue pour ses colères : elle infligea à Eos un amour insurmontable pour Orion, pour la punir d'avoir couché avec Arès

s'unir à des Terriennes et tout spécialement dans le coeur deZeus. Zeus lui fait connaître un prince Troyen, Anchise, avec lequel elle aura une aventure qui donnera naissance à Énée, ancêtre des Romains. Elle épouse Héphaïstos et donnera naissance à Éros leDieu du désir amoureux. Puis avec Hermès elle concevra Hermaphrodite qui possède à la fois les deux sexes. Ses amours avec les Dieux furent très nombreuses, personne ne pouvait lui résister. Elleest la mère d'Énée donc, elle protège les Troyens

ministère de Jésus. L’analyse de l’amour et du Dieu amour qui y est présentée nous renvoie ainsi aux visages de l’amour que l’on trouve dans l’Évangile : i. L’amour en tant que service social de la charité. Cet amour va au-delà du simple désir (eros); il est axé sur l’autre, comme l’amitié (philia) et comme l’amour agapè, qui amène au don de soi et à la communion. ii. La justice exigée par l’amour. Selon la justice (distributive, sociale), chacun reçoit son dû. L’encyclique fait allusion à

est inconsciente. If. Ambivalence / ambivalenz L’ambivalence des sentiments indique le fait que dans tout investissement d’objet (personne ou chose), il y a à la fois une dimension d’amour et une dimension de haine (selon le jeu des deux pulsions, Éros et Thanatos). Ces deux dimensions ne sont pas le plus souvent conscientes, l’une d’elles étant refoulée. Ce qui, dans la relation à l’objet, produit deux tendances de sens contraires qui peuvent s’exprimer simultanément (l’exemple le plus courant est

d'inspiration savante et populaire. Tout en prenant en compte un certain nombre de scènes clichées, de stéréotypes concernant les personnages et les situations, Zola procède à une puissante et originale synthèse. Éros et Thanatos Il associe par exemple régulièrement la sexualité à la violence, Éros à Thanatos, en imposant progressivement l'évidence extra-textuelle de leur conjonction. Le romancier préfigure ainsi les propositions de Freud et de la psychanalyse. Baudelaire remarquait déjà dans ses Journaux

l'intelligence, de la sagesse, de la force raisonnable. Cronos (nom grec) dit Saturne (nom romain) : dieu des semailles, de la vigne et du temps. Dionysos (nom grec) dit Bacchus (nom romain) : dieu de la vigne, du vin et de l'inspiration poétique. Éros (nom grec) dit Cupidon (nom romain) : dieu de l’amour. Helios (nom grec) ou Sol (nom romain) : dieu du soleil. Avec son chariot doré attelé avec 4 chevaux, il amène le soleil aux Dieux et aux mortels. Hadès (nom grec) dit Pluton( nom romain)