Eschine

comme à Sparte ou à Rome ). Là encore, en raison de l'importance d'Athènes sur les cités qui sont membres « forcés >> de sa confédération, on soulignera 1' attitude tyrannique voire psychotique de 1'assemblée sur son cotps de magistrats ( En ce sens Eschine, Contre Ctésiphon, 17 • 21 ; Xenophon, Les Mémorables, 22, 1, 9 : « Les cités en usent ( du pouvoir de vérification et de contrôle ) comme moi avec mes domestiques... Les cités entendent que les magistrats leur procurent le plus d'avantages possibles

pourquoi Platon ne s'inscrirait-il pas dans une tradition littéraire bien représentée parmi les socratiques : Xénophon, dans les Mémorables (II, 6, 36) et même dans l'Économique (III, 14), met dans la bouche de Socrate une allusion à Aspasie ; Eschine de Sphettos aurait composé une Aspasie4 ; Antisthène aurait, lui aussi, écrit un dialogue socratique intitulé Aspasie5. Que Diotime ait été un personnage historique ou non, on peut se demander pourquoi Platon la met en scène dans le Banquet.

la ligue de Corinthe. De là il n’a de cesse pendant une vingtaine d’années de rallier le plus de cités grecques possibles. A Athènes, il y a un débat entre pro et anti macédoniens. Démosthène était défavorable aux Macédoniens et son adversaire est Eschine. En 338 Athènes est battue par les macédoniens dans la bataille de Chéronée : de là Athènes capitule et doit accepter de rentrer dan la ligue de Corinthe. Mais Philippe va être assassiné par l’instigation de sa femme en 336. 3ème observation :

nouvelle. Cette victoire est celle d’Athènes seule et la dernière bataille où les hoplites, armée de la classe supérieure eut le premier rôle, commandée par l’archonte polémarque. Mais elle reste celle du peuple athénien. Dans le Contre Ctésiphon (186), Eschine rapporte que l’assemblée refusa à Miltiade de voir figurer son nom à côté de la figure le représentant sur la fresque commémorant la bataille de Marathon en déclarant que le premier rang dans l’image suffit. Il faut éviter trop de gloire sur un seul

d’émotions ; et moi, je n’étais guère moins troublé, ainsi que les autres. ÉCHÉCRATE. Quels étaient ceux qui se trouvaient là, Phédon ? [ 188 ] De compatriotes, il y avait cet Apollodore, Critobule et son père Criton, Hermogène[4], Épigène[5], Eschine[6], et Antisthène[7]. Il y avait aussi Ctésippe[8] du bourg de Péanée, Ménexène[9], et encore quelques autres du pays. Platon, je crois, était malade. ÉCHÉCRATE. Y avait-il des étrangers ? [59c] PHÉDON. Oui ; Simmias de Thèbes, Cébès et Phédondes[10] ;

bronze et enfouis en terre là où doit s'élever une future Messéné (IV, 26, 8). Une inscription, pour la même Messéné, parle de coffre et de li- vres ^, et Pausanias parle aussi de livres écrits par les prêtres (IV, 27, 5). Suivant Démosthène, Eschine, parvenu à l'âge d'homme, lisait pour sa mère, qui ne savait pas lire, les écrits des Mystères aux- quels elle s'était fait admettre. Hérodote a parlé à plusieurs reprises d'un hiéros logos expli- quant le symboHsme des Mystères (II, 48, 62

refuza mormîntul era o crimă pedepsită de Erinii, aşa cum declară Tiresias lui Creon, în Antigona. Caracterul simbolic al mormîntului apare în Antigona în momentul în care eroina se mulţumeşte să acopere cu praf trupul neînsufleţit al fratelui ei ; Eschine şi Plutarh ne sînt martori că acest gest simbolic ajungea pentru a mulţumi cerinţele religioase. Totuşi, în general, morţilor li se făceau funeralii mai puţin sumare în care lamentaţiile aveau un rol important. Lamentaţiile se desfăşurau în jurul

constituait en réalité une figure essentielle de la démocratie athénienne 14. Il pouvait en effet être n'importe qui, du moins en principe, mais c'était là précisément ce dont les démocrates se faisaient gloire. «Tu me reproches, répondait ainsi Eschine à un adversaire, de ne pas paraître continuellement à la tribune de l'Assemblée ; crois-tu qu'on ne voie pas que ton reproche est inspiré par des principes totalement étrangers à la démocratie? Dans les oligarchies, la parole n'est pas à n'importe

(Paolo, en français Paul ÉMILE). ENCISO (Martin Fernandez de). Enluminure. Entrée de Henri II. Encyclopédie. Epinal. Épinal (images d'). Episcopius (Eusebius). Epistola de miseria curialium. ÉRASME. Erfurt. ESCALANTE (Bernardino de). ESCHINE. ESCOBAR (Andreas). ÉSOPE. Espagne. ESPINOSA (Antonio de). Essonnes. Estampe. Voir : Xylographie et Gravure sur cuivre. ESTIARD (Pierre). ESTIENNE (famille). ESTIENNE (Charles). ESTIENNE (François) ESTIENNE (Henri Ier). ESTIENNE (Henri

n'aura trouvé un sot Amphitrion, un niais Argus avecques ses cent bezicles: un couart Acrisius, un lanternier Lycus de Thebes, un resveur Agenor, un Asope phlegmaticq, un Lychaon patepelue, un modourre Corytus de la Toscane, un Atlas à la grande eschine. Il pourroit cent & cent foys se transformer en Cycne, en Taureau, en Satyre, en Or, en Coqu, comme feist quand il depucella Iuno sa soeur: en AIgle, en Belier, en Pigeon, comme feist estant amoureux de la pucelle Phtie, laquelle demouroit en aegie: