Esope Roseau

Fontaine s’est essayé dans tous les genres mais ses fables, au nombre de 243 restent son chef-d’œuvre. Certains considèrent La Fontaine comme un copieur qui n’a rien inventé. La Fontaine s’est peut-être inspiré de ces fables anciennes écrites par Esope, Horace, Abstémius, Phèdre pour la culture grecque ou encore Panchatantra et Pilpay dans la culture indienne, mais il les a considérablement améliorées et écrites dans une langue belle et simple. La fable n’est plus la sèche démonstration d’une morale

Fontaine s’est essayé dans tous les genres mais ses fables, au nombre de 243 restent son chef-d’œuvre. Certains considèrent La Fontaine comme un copieur qui n’a rien inventé. La Fontaine s’est peut-être inspiré de ces fables anciennes écrites par Esope, Horace, Abstémius, Phèdre pour la culture grecque ou encore Panchatantra et Pilpay dans la culture indienne, mais il les a considérablement améliorées et écrites dans une langue belle et simple. La fable n’est plus la sèche démonstration d’une morale

  A Monseigneur le Dauphin,     Je chante les Héros dont Esope est le Père, Troupe de qui l'Histoire, encor que mensongère, Contient des vérités qui servent de leçons. Tout parle en mon Ouvrage, et même les Poissons: Ce qu'ils disent s'adresse à tous tant que nous sommes. Je me sers d'Animaux pour instruire les Hommes. Illustre rejeton d'un Prince aimé des cieux, Sur qui le monde entier a maintenant les yeux, Et qui, faisant fléchir les plus superbes Têtes, Comptera désormais ses jours

« Le chêne et le roseau », I « Le chêne et le roseau » est une fable originale s'inscrivant dans le domaine de la nature. La Fontaine a été maître des Eaux et Forêts, ce qui lui permet de personnifier des végétaux avec une facilité déconcertante. Cette fable nous rapporte le dialogue entre un chêne et un roseau, le fort et le faible. En quoi cette fable permet de porter un regard critique sur la société du 17ème siècle ? On remarque d'emblée que le chêne engage le dialogue : cela induit un

Biographie de Jean de la Fontaine  1ere partie : Le chêne et le roseau * La fable * Présentation de la fable * Le chêne * Le roseau * L’analyse * Morale * Conclusion 2ere partie : Le Génisse, la Chèvre et la Brebis en société avec le Lion * La fable * Biographie de Jean de la Fontaine La chêne et le roseau * La fable Le Chêne un jour dit au Roseau : “Vous avez bien sujet d’accuser la Nature ; Un Roitelet1 pour vous

tourne autour du thème de l’ injustice (voir Taine, « La Fontaine et ses fables », Hachette, 1903, p. 265-272). Chamfort appréciait particulièrement ce poème pour « son unité, sa simplicité et l’évidence de son résultat » (« Les Trois Fabulistes, Esope, Phèdre et La Fontaine, Delance, 1796, t. 4, p. 326, cité in « La Fontaine - Œuvres complètes, tome I ; Fables, contes et nouvelles » édition établie, présentée et annotée par Jean-Pierre Collinet ; NRF Gallimard ; Bibliothèque de La Pléiade ; 1991

Le Lion et le Moucheron a été écrit par le célèbre fabuliste Jean De La Fontaine sous le règne du roi Soleil, Louis XIV. Cette fable est dans le livre II, fable 9. La Fontaine a utilisé deux animaux - le lion et le moucheron en occurrence- en tant que personnages principaux, ce qui peut nous paraître plutôt inhabituel. Inhabituel, certes. Mais tellement plus agréable à raconter ou à écouter ! Car il ne faut pas oublier que le but premier de la fable est de plaire. Et instruire aussi avec l'intermédiaire

INTRODUCTION L'apologue est une forme d'argumentation particulière, car elle illustre un message morale par le biais de l'imagination, qui est pratiqué par de nombreux auteurs tel que La Fontaine ( avec ses fables) , Voltaire (contes philosophiques «Candide») , Charles Perrault , Etc... Cette morale est souvent brève et simple et a pour but de toucher toute catégorie de personnes. La morale est cachée sous le récit. L'auteur par le biais de son apologue peut influencer l'opinion ou l'image qu'une

crée la rapidité de la narration. On peut donc en déduire que Marot mêle rhétorique et versification au service de l’argumentation. C onclusion : Retour à Marot pour la conclusion, qui est démarquée du reste de la fable, il fait référence à Esope dont il est inspiré. La demande directe est exprimée à la fin : « Viens me voir pour faire le lion ». Il établie clairement l’analogie entre personnage animal et destinataire. C’est un appel à l’aide.

lecteur, de la traduction libre de la "Vie d'Esope", et se termine par un compliment en vers reprenant et résumant l'essentiel de la dédicace en prose. "Ainsi ces fables sont un tableau où chacun de nous se trouve dépeint" "Je chante les héros dont Esope est le père"....sont des extraits célèbres de cette dédicace LA CIGALE ET LA FOURMI (*) La Cigale, ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau