Esope

Grèce Antique: Le plus grand fabuliste de toute l'antiquité est sûrement Ésope, poète grec du IXème siècle . C'est d'ailleurs de lui que s'est inspiré Phèdre. Ses œuvres ont été traduites en 1615 par Epernius. Ses fables sont fondamentales dans l'histoire de la littérature: "le Corbeau et le Renard", "Le lièvre et la Tortue", "le Bûcheron et la Mort", "Le vent et le Soleil" ne consitituent qu'une infime partie de son œuvre. Ésope est l'une des pierres fondamentales de la littérature mondiale. La première

Introduction : Auteur/siècle : XVIIème siècle– La fontaine – fabuliste Texte : La mort et le bucheron-16ème fable de la première partie (1668). Particularité de l’auteur et de son siècle : défenseur des anciens-il puise son inspi dans l’Antiquité (ici Esope) Il rentre dans l’idéal classique du XVIIème siècle (but = plaire + instruire) LF surprend ici en ne mettant pas en scène des animaux mais directement 1 Hô qui fait face à la mort. Pb : (COMMENT PLAIRE ET INSTRUIRE AVEC LE SUJET DE LA MORT ?) Lecture

orienté selon l'axe à démontrer. L'apologue est un discours narratif démonstratif et allégorique, à viséeargumentative et didactique, rédigé en versou en prose ; c'est un récit dont on tire une leçon. Histoire de l'apologueModifier C'est le grec Ésope qui est considéré comme le fondateur du genre. Cet ancien esclave, qui aurait vécu au vie siècle av. J.-C., a laissé quelques centaines de fables mettant en scène des animaux et développant une morale facile à comprendre. L'apprentissage des fables

Hareng saur , Charles Cros -Châtiments(Livre2, Souvenir de la nuit du 4) , Victor Hugo -La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Bœuf , Jean de La Fontaine -Le Lièvre et la tortue , Jean de La Fontaine -De l’âne qui change de maitre , Esope -La môme néant , Jean Tardieu -Réponse à Marbeuf, Charles Frion -Pique au Lyrique, Charles Frion & Jordan Le Roux Monsieur Prudhomme, Paul Verlaine Il est grave : il est maire et père de famille. Son faux col engloutit son oreille. Ses

CRISTANTE LouisDissertation :Pouvoir de la Parole Quand le maitre d’Esope, un esclave phrygien, lui demande la meilleure des nourritures, ce dernier ne lui apporte que des langues. Le lendemain, quand il lui demande la pire des choses, Esope lui apporte à nouveau des plats de langues. Il évoque ainsi une contradiction entre les différents aspects du pouvoir de la parole. La parole est la mise en pratique du langage, c’est-à-dire la faculté d’exprimer et de communiquer la pensée de manière aussi

Introduction : Comme l’a bien montré Esope, le père des fables, 10 siècles avant, cette image du miel et de l’absinthe s’applique exactement aux fables qui se servent d’un apologue défini comme une jolie histoire qui doit plaire, charmer et la morale comme une jolie formule qui doit inspirer les lecteurs. La Fontaine a utilisé les mêmes principes qu’Esope par rapport au côté mielleux de la fable en réécrivant le texte qui nous intéresse, ici : Le Loup et l’Agneau, mais y a mis sa marque en transformant

Texte 1 : Les Deux Coqs, Jean de La Fontaine, Fables Intro générale : Argumentation date de 600 av JC avec les rhéteurs qui défendaient paysans non cultivés. Fable (latin fabula = récit, histoire invraisemblable) date aussi 600 av JC (Phèdre, Esope). Très longtemps critiquée car réservé aux enfants et facile à écrire. Ici, texte du 17e s. De Jean de La Fontaine qui redonne noblesse au genre : étoffe et versifies fables Intro extrait : appartient 2e recueil -> public + adulte. Conflit entre

raconte des histoires) et factum (en rapport avec le destin, qui donne fée, féérique, ... ) Le mot fable vient du 16ème siècle. C’est une histoire courte, écrite en prose (Esope) ou en vers (La Fontaine). La fable est présente depuis l’antiquité. Les fables d’Esope datent du 7ème siècle avant JC. La Fontaine a été inspiré par Esope et Phèdre, tout comme l’italien Pilpay. II. Caractéristiques particulières des fables Les fables sont composées de deux grandes parties assez inégales. Une partie est composée

livres VII et VIII Textes expliqués en classe : 1. « La Cour du lion », VII 7 2. « Les deux coqs », VII 13 3. « Le Pouvoir des fables », VIII 4, du vers 34 à la fin Etudes d’ensemble : 1. La Fontaine, entre tradition et modernité 2. De Esope à La Fontaine : le travail de la réécriture, à partir de la comparaison de la fable d’Esope « Les deux coqs et l’aigle » et de sa réécriture par La Fontaine. Lectures cursives, documents et textes complémentaires : Voltaire : Candide

de Psyché et de Cupidon en 1669 » * « Ouvrages de prose et de poésie en 1685 » * « Astrée en 1691 » L’art de la fable : La fable est l’une des variantes de l’apologue : c’est un récit court à visée didactique. Son fondateur est le grec Esope, ancien esclave ayant vécu au Vième siècle avant Jésus-Christ. Jean de La Fontaine reprendra le modèle « ésopique » et se le réappropriera : * Au contraire d’Esope qui écrit ses fables plus pour la morale que pour l’histoire, la morale des fables