Espace Et Temps Dans Phedre

jouée par des acteurs sur scène, dans un temps limité. De ces contraintes se dégage une écriture proprement théâtrale. À quelles règles un texte de théâtre obéit-il ? Peut-on distinguer différents genres théâtraux ? Quel est le rôle du metteur en scène dans la représentation d'une pièce ? I. Le texte théâtral 1. Une action dans un temps et un espace limités • L'écriture théâtrale est d'abord soumise à une contrainte temporelle : la pièce se joue dans un temps très court, au maximum quatre heures

français du XVII° siècle. Ses Fables, réparties sur douze livres, constituent l’un des plus grands chefs d’œuvre de la littérature française. Ses principales sources d’inspiration provenaient de l’Antiquité, et notamment des apologues d’Esope et de Phèdre. Ici, la fable Le Loup et le Chien issue du premier livre était initialement dédiée au jeune Dauphin, tout comme les cinq autres premiers livres. Cette fable « animale » présente un Chien qui se vante auprès d’un Loup affamé de la nourriture qu’il

contact à distance est l’image, et la fascination est la passion de l’image"1 : l’image ouvre à une dimension de passivité, nous soustrait tout pouvoir de donner un sens ; elle se donne dans une non-présence, "dans une présence étrangère au présent du temps et à la présence dans l’espace". Le regard qui nous lie à l’image ne relève plus d’une activité, mais de la passivité qui s’exprime à travers le mot de fascination : l’image nous regarde, la vision n’est plus "possibilité de voir, mais impossibilité

seulement appréciaient sa manière nouvelle, mais comprenaient également qu’à l’édification des esprits et aux intentions satiriques, inhérentes au genre de la fable, s’ajoutait une critique plus ciblée des rapports de force et de pouvoir de son temps. Il n’était d’ailleurs, en ce point, pas toujours aussi explicite que dans La cour du lion ou dans cette fable : LE RENARD ET LE BUSTE Les grands, pour la plupart, sont masques de théâtre ; Leur apparence impose au vulgaire idolâtre. L’âne

siècle, alors qu’avant les gens faisaient leurs besoins de partout. La volonté de séparer le sale du peuple devient de plus en plus présente. Biographie cf. feuille b. Le genre de la fable La Fontaine n’est pas le premier à en écrire : Ésope (-6ème), Phèdre (écrivain du 1er), et Pilpay (sage indien légendaire) ont été ses principales sources d’inspiration. Avant La Fontaine, les fables étaient des faits de savants et/ou pédagogues. Elles mettent en avant un apprentissage de la rhétorique, tout un enseignement

universels qui ne disparaissent pas. Le classique nait au 17e si鐵le mais traite surtout des 騅駭ements de l'antiquitce qui cr馥 un bond culturel dans le temps avec des h駻os de la mythologie comme dans Phedre amoureuse d辿ippolyte son beau fils et qui permet au spectateur d'imaginer la sc鈩e, aidpar les costumes et le d馗or qui le fait voyager dans le temps et l'espace et qui lui permet d'imaginer les actions. Ainsi le theatre classique fait imaginer le lecteur et l'emm鈩e dans une dimension mythologique

réalité placée hors de moi, si elle m'a aidé à vivre, à sentir que je suis et ce que je suis? Introduction Une fenêtre est à la fois une ouverture, un passage comme une porte entre l’extérieur et l’intérieur. Une fenêtre ouvre sur l’extérieur en même temps que fermée, elle clôt l’espace d’un pièce à ce qui vient de l’extérieur. Mais une fenêtre a aussi une fonction plus équivoque, fermée elle permet de voir dehors en étant protégé. Le regard traverse la vitre de la fenêtre depuis l’espace intime d’une

consistance à l’idée, dont l’esprit a même besoin pour son activité. Ce texte, extrait de La conscience et la vie, nous expose donc un paradoxe : l’esprit resterait dans une abstraction inutile et confuse sans la matière qui lui fait obstacle mais en même temps l’aide à produire ses idées. Nous verrons que cette thèse s’oppose à une définition de la pensée pure et autonome, et qu’ainsi Bergson réhabilite la matière, souvent dépréciée par la philosophie traditionnelle ; peut-être est-ce une manière de rappeler

personnages, ils réfléchissent peu, ils agissent. Il veut faire un meilleur succès que Corneille, pas arrivé mais écrit +. (Andromaque 1667, Bérénice, Britanicus, Phèdre. Inspiration Antiquité grecque ou romaine. A la fin, les gentils sont récompensés et les méchants punis. Règles de classicisme : Celle des 3 unités = Lieu – temps – action. Doit se raconter ds un même tps (24h max), même lieu et même intrigue. Lieu : svt anti-chbre d’un palais. Tps : 1 seule journée d’une vie d’un pers. Action :

opposition. On progresse de cette façon. « Mais crains que, l’ avenir détruisant le passé,  Il ne finisse ainsi qu’ Auguste a commencé. » Enjambement interne. La césure après « avenir » met en valeur le temps avec « passé » en fin de vers. C’ est une réflexion sur le temps. Agrippine ne croit que les personnes soient uniformes : le personnage évolue et pas forcément en bien : prolepse. Il faut peut-être lire les vers 33 et 34 en lecture linéaire : mise en valeur des termes « finisse »