Esprit critique

l'Encyclopédie: A- Contexte politique de l'époque B- Le désir de progrès social C- Les principaux acteurs de cette oeuvre II- Les conséquences de cette révolution intellectuelle: A- Un danger pour le pouvoir , politique et religieux ? B- Une libération des esprits lundi 24 janvier 2011 •Introduction L'Encyclopédie est monument historique entrepris au XVIIIème siècle, dit "Siècle des Lumières", métaphore désignant la victoire de la Raison par les philosophes sur les ténèbres que représente l'ignorance

assujetti. "Un livre qui me tient lieu d'entendement" serait un livre dans lequel on rentre avec un rapport de croyance non rationnelle (raisonnement "c'est vrai puisque c'est écrit). L'auteur condamne ici la lecture sans recul critique. L'exercice de l'esprit critique oppose la possibilité d'une comparaison: il faut envisager que le monde soit autre que ce que dit le livre. De même, il faut se demander pourquoi l'Autre ne pense pas comme moi, rechercher des explications, rechercher ce qui lui

(don d’or et de vivres / préviennent les Espagnols de la nécessite de leur départ) III. La critique de Montaigne a) Les modalités de la critique : - Implicite et indirecte (fausse naïveté des Indiens / développement esprit critique) - Une critique plus directe du narrateur (modalisation du propos : balbutiements, prétendus / Montaigne s’inclut : « notre religion ») b) L’objet de la critique : - Opérer un renversement (primitif, barbare, cannibale = idées des Espagnols vis-à-vis des

apportant différents argument qui precissent les différents caractères dont ils parlent. Nous allons maintenant nous demander en quoi la philosophie est elle un enseignement rationnel en analysant la thèse des auteurs ainsi qu'en y apportant un esprit critique issu de notre propre réflexion. Dans le premier paragraphe, ils veulent dire que l'enseignement philosophique ne peut être philosophie, c'est pour cela qu'il se définit a elle par rapport a ses œuvres. La philosophie est une réflexion sur la

sur le défaut dont on les veut guérir ou préserver, ils penchent à aimer le vice avec lequel on tire parti des défauts des autres. Dans la fable précédente, les enfants se moquent du corbeau, mais ils s'affectionnent tous au renard ; - Mais la critique des penseurs du XVIIIe contre les fables et l'apologue à visée didactique semble tenir à une différence d'acception du terme « morale » : Au XVIIème siècle, la morale n'était pas normative, elle était, conformément â l'étymologie, la « science des

L’Encyclopédie. « Cet ouvrage produira sûrement avec le temps une révolution dans les esprits, et j’espère que les tyrans, les oppresseurs, les fanatiques et les intolérants n’y gagneront pas. Nous aurons servi l’humanité. » Lettre de Diderot à Sophie Volland, le 26 septembre 1762. En 1751 parurent les deux premiers tomes de l'Encyclopédie dont Diderot a défini l'enjeu en des lignes à juste titre mémorables : "Le but d'une encyclopédie est de rassembler

arriver des bricoles. Pangloss--) curiosité mal saine L’Autre--) doit se tenir à distance, laisser aux autres, mal saint, des gens de vengent. Guerres cruelles. B) Paradoxe central : 37-40 : noyau du texte, moral d’une fable, 27 mots, esprit de Candide, s’appuie sur des mots. Sur la question du mal, l’important n’est pas de savoir pourquoi, mais comment on s’en débarrasse. Dans l’esprit de Candide... C) Solution : Candide commence à comprendre comment on peut faire pour trouver

Spinoza un texte qui cherche la vérité. On y trouve rien de philosophique mais seulement des injonctions, des ordres dont le seul but est de faire obéir les masses. La liberté (et en particulier la liberté de penser) suppose donc nécessairement la critique de toute religion. On voit donc apparaître chez Spinoza l'idée d'une différence entre la politique et la religion déjà très moderne. Spinoza conceptualise l'avantage politique à faire de la religion une affaire strictement privée et même une affaire

l’universalité humaine provoque l’intérêt pour des sociétés lointaines. Des explorateurs parcourent le monde pour mieux le connaître, rapportant le récit de mœurs indigènes. Les voyages et le tragique destin du capitaine Cook marquent fortement les esprits. Explications : C’est des faits et non des idées donc on peut juste interpréter. Après cette déclaration, des explorateurs sont devenus curieux et ont parcouru le monde en rapportant le récit de mœurs indigènes (habitudes sociales ou individuelles)

conduira à faire évoluer le monde autour de lui ? I) L’homme est un explorateur de la vie A) certes rempli de prévention qu’il doit apprendre à abandonner Þ 1 ère loi de la méthode de Descartes « ne recevoir aucune chose pour vraie tant que son esprit ne l’auras pas clairement et distinctement assimilé préalablement ». a) A cause de son milieu social Þ « orgueil et préjugés » : le mariage entre Mr Bingles, homme riche et Jane Benneth, une campagnarde, considéré comme une mésalliance à cause