Essence

♦ Qu’est-ce que le moi ? Laf. 688, Sel. 567. Qu’est-ce que le moi ? Un homme qui se met à la fenêtre pour voir les passants ; si je passe par là, puis-je dire qu’il s’est mis là pour me voir ? Non ; car il ne pense pas à moi en particulier ; mais celui qui aime quelqu’un à cause de sa beauté, l’aime-t-il ? Non : car la petite vérole, qui tuera la beauté sans tuer la personne, fera qu’il ne l’aimera plus. Et si on m’aime pour mon jugement, pour ma mémoire, m’aime-t-on, moi ? Non, car je puis

Question à développement: Pourquoi la géométrie permet-elle de s'élever au delà de ce qui est visible et d'accéder à l'intelligible? La géométrie permet de s'élever au delà de ce qui est visible et d'accéder à l'intelligible, car elle est basée sur des hypothèses. On émet des hypothèses pour résoudre à des problèmes géométriques. Les hypothèses d'après Platon font partie du monde intelligible et non du monde sensible. L'hypothèse, c'est un fondement qu'il faut admettre ou supposer et que

INTRO 1 L'interrogation " faut-il " renvoie à l'idée d'une exigence incontournable. Le sujet ne suggère pas seulement qu'il est possible de se méfier, mais que nous devrions le faire. Mais pourquoi une telle exigence ? Est-elle d'ordre éthique (devoir moral dans le contexte de l'action et des relations à autrui) ou d'ordre épistémologique (nécessité dans le contexte de la connaissance et de la recherche de la vérité) ou encore d'ordre ontologique (dans le contexte d'une réflexion sur l'être et

Par définition, l'autobiographie est un récit rétrospectif qu'une personne réelle fait de sa propre existence, lorsqu'elle met l'accent sur sa vie individuelle, en particulier sur l'histoire de sa personnalité. Quant à la véracité des propos, ils sont pour la plupart invérifiables. C'est pour cela que cette question ce pose. Si un auteur veut écrire sa biographie, c'est qu'il en ressent le besoin. Il définit lui même le but de son oeuvre. Par exemple Georges Sand dans sa biographie, exprime

Page d'accueil » Sciences & Technologies » Sciences Cognitives Commentaire d'un texte de sartre par buzinga, déc. 2010 | 12 Pages (2930 Mots) | 2 Vus | 4.5 12345 | Signaler | Dissertation Premium pour les membres qui ont l'adhésion Premium Adhérez au Premium Commentaire d'un texte de Sartre, issue de L'être et le néant. « L'homme est condamné à être libre. » Cette citation de Jean-Paul Sartre, au premier abord, semble évoquer un paradoxe. Commentimaginer la liberté comme une sentence

Aristote et le bloc de marbre Avec le sculpteur faisant émerger une statue du marbre, Aristote explique l’une des distinctions les plus célèbres de l’histoire de la philosophie : celles des quatre « causes ». À coups de ciseaux répétés, progressivement, un buste, puis une tête, un éphèbe enfin, aux muscles ciselés sinon saillants, se dégage d’un bloc de marbre initialement informe. Le sculpteur s’active. Apollon se dessine, prend corps. Simple résultat d’une pratique artisanale, production

 1. À quoi Camus fait-il référence lorsqu’il parle d’un « sentiment d’absurdité » ? Autrement dit, en quoi consiste ce sentiment? Le sentiment de l’absurde se caractérise par l’entretien d’un mode de pensé selon lequel la vie n’a aucun sens puisque l’homme se défini par son existence et que ce sont ses actes qui déterminent ce qu’il est. Or, si ces actes en questions sont dépourvus de sens, il en va de même pour l’existence des hommes. Ainsi, le sentiment de l’absurde se manifeste uniquement lorsque

Le mercredi c’est Philosophie ! 1. Après plus de 2000 ans d’oubli, Heidegger reprend la question fondamentale de la métaphysique. Quelle est-elle ? a. D’où vient l’homme ? b. Qu’est-ce que l’être ? c. Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? 2. A partir de la publication en 1927 de la première partie d’Etre et temps, Heidegger ne cessera d’interroger l’être à partir du seul « étant » pouvant en avoir l’expérience, l’homme. Reliez à leur définition, les concepts suivants : être étant

Il y a encore des observateurs assez naïfs pour croire qu’il existe des « certitudes immédiates », par exemple « je pense », ou, comme ce fut la superstition de Schopenhauer, « je veux ». Comme si la connaissance parvenait à saisir son objet purement et simplement, sous forme de « chose en soi », comme s’il n’y avait altération ni du côté du sujet, ni du côté de l’objet. Mais je répéterai cent fois que la « certitude immédiate », de même que la « connaissance absolue », la « chose en soi » renferment

Qui Parle Quand Je Dis 'je' . Aperçu du corrigé : Qui parle quand je dis je ? Comment cette question peut-elle bien poser problème? Ne contient-elle pas elle-même sa réponse? Quand je dis « Je », c'est tout simplement « je »qui parle. Ou, pour formuler une phrase un peu plus correctes dans le devenir, tout ce qui est autour de nous s'écoule de la même façon que notre existence : « Nous ne pouvons descendre deux fois dans le même fleuve. » Nous ne sommes donc jamais les mêmes : « je » n'étais