Est Il Nécéssaire De Penser Pour Avoir Des Opinions

assidue est dès le plus jeune âge de la philosophie. Car le philosophe sait qu’il n’a rien à craindre de ce qui arrivera, il vit donc heureux. 2) Selon lui les Dieux ne s’occupent pas des affaires humaines. Par conséquent il ne faudrait donc rien avoir à craindre, ni a espéré de leur part. Il dénonce les idées reçues que ceux qui ne philosophe pas propage. Ainsi l’on croît à tord que les Dieux sont responsable de tout les malheurs et de tous les bienfaits. Car personne ne connaît réellement les Dieux

de l’univers, un dernier, fonctionnaire très rationnel dans son travail, se dit la science ne parvient pas à tout expliquer, et qu’il faut laisser une place à la croyance et au mythe. L’homme peut-il seulement vivre sans croyance ? Peut-il y avoir une vérité sans croyance ? Dans ces conditions,quelle place peut-on raisonnablement reconnaître à la croyance dans le champ de la vérité ? * * * A. Crédulité, superstition : du sceptique au fanatique La croyance est donnée dans un vécu particulier

Intro Le fait de penser est ce qui sépare l'homme de l'animal, une chose qui nous fait être ce que nous sommes aujourd'hui. La pensée peut etre représenter de différentes façons. Il y a tout d'abord la prise de conscience. Dans ce cas, je m'imagine la chose comme par exemple une pomme, soit en image, soit en idée. Il y a le fait de consceptualiser, lorsque nous raisonnons de façon rationnelle. Enfin et surtout, la pensée est le fait de juger, prendre position, faire des choix sur ce que l'on n'est

notre monde. Imaginez-vous au musée, tombant face à une peinture du XIXème siècle, qui vous paraît splendide; vous en faite l'éloge, vous vous exaltez devant cette œuvre. Or, la personne qui vous accompagne, elle, n'est pas forcée de penser comme vous et peut avoir un avis différent du votre. Comme on dit, « les goûts et les couleurs ne se discutent pas ». Une scène comme celle ci est tout à fait représentative de l'attitude quotidienne de l'homme, de manière générale. A partir de cela, nous

« Des manières d’agir, de penser et de sentir à l’extérieur de l’individu et qui sont doués d’un pouvoir de coercition (contraintes) en vertu duquel ils s’imposent à lui » Durkheim. -Manières d’agir, les actions (parler la langue, la manière forte) -Manières d’agir, politiquement (votes, manifestations) -Règles de politesses : l’éducation -Mourir : naturelle, suicide, maladies -Mariage : évolue selon les sociétés -Manière de penser : croyances religieuses, opinions politique, les jugements

toutes origines, peuvent se rencontrer et avoir une formation identique sans que les convictions personnelles soient un obstacle. L’école a pour mission l’instruction et la formation des élèves, ce qui suppose la reconnaissance de tous les autres. Les programmes peuvent alors proposer aux élèves la connaissance des religions comme faits sociaux, historiques et culturels, selon les diverses disciplines. L’école permet aux enfants de se former une libre opinion à travers l’exercice de l’autonomie de réflexion

avons tout, et que, quand il nous manque, nous faisons tout pour l'avoir. Attache-toi donc aux enseignements que je n'ai cessé de te donner et que je vais te répéter ; mets-les en pratique et médite-les, convaincu que ce sont là les principes nécessaires pour bien vivre. Commence par te persuader qu'un dieu est un vivant immortel et bienheureux, te conformant en cela à la notion commune qui en est tracée en nous. N'attribue jamais à un dieu rien qui soit en opposition avec l'immortalité ni en

et que, quand il nous manque, nous faisons tout pour l’avoir. Attache-toi donc aux enseignements que je n’ai cessé de te donner et que je vais te répéter ; mets-les en pratique et médite-les, convaincu que ce sont là les principes nécessaires pour bien vivre. Commence par te persuader qu’un dieu est un vivant immortel et bienheureux, te conformant en cela à la notion commune qui en est tracée en nous. N’attribue jamais à un dieu rien qui soit en opposition avec I’immortalité ni en désaccord

l’invulnérabilité semblable à celle du sage que rien ne perturbe, l'ataraxie. Néanmoins le doute sceptique peut apparaître comme étant un dogme. Peut-on penser que tout est incertain ?Toute certitude n'est-elle pas, par avance, douteuse ? Or, Descartes en faisant l’expérience du doute, et en cherchant à l'élargir à tout ce qui ce présente à lui,se heurte à une vérité première : celle de l'existence de l'esprit

pas à tout les dogmes de la religion qu'ils représentent? En effet ce serait rejeter un homme qui pourtant croit en un Dieu, en un Absolu. Si cet homme est rejeté par ceux qu'il croyait être comme lui, va-t-il alors se détourner de Dieu? On peut le penser, il risque d'abandonner ses croyances pour ne se tourner que vers la raison pure en éliminant la recherche d'un Absolu qui lui semblera trop fermer a lui. Mais ce serait une faute de sa part car la religion ,si elle est comprise comme une recherche