Esthétique Hugolienne

La chirurgie Esthetique INTRO : Depuis quelques années déjà, la génération du « baby-boom » se voit vieillir de plus en plus : seins qui tombent, rides aux coins des yeux, poignées d’amour, et elle se refuse sans cesse à l’accepter. Sans sombrer pour autant dans le narcissisme, il est utile de connaître les désirs des gens d’aujourd’hui, envers leur corps. La population actuelle, toujours insatisfaite de son image, ne cesse de rechercher la perfection. Puisque de nos jours, la médecine

ou non en compte les problèmes de son temps, ceci pouvant être aussi bien volontaire qu’involontaire. La littérature doit tout d’abord avoir un but esthétique, ne pas forcément asservir une cause et faire passer un message n’est pas primordial. Cependant, le faire n’est pas contraire à la littérature car un texte engagé peut aussi bien être esthétique et, de plus, il aura pour objectif de dénoncer un fait tenant à cœur à l’auteur. Par ailleurs, un auteur qui refuse de dénoncer les faits de son temps

pratiquons souvent inconsciemment des discriminations envers les personnes stigmatisées réduisant ainsi leurs chances. Face à sa situation la personne stigmatisée peut réagir différemment : correction directe de la cause de sa déficience (chirurgie esthétique, etc.. .), améliorer indirectement sa condition (maitriser certaines activités « estimées » fermés aux personnes déficientes), coupure de la réalité. L’objet spécifique de ce livre est le problème des « contacts mixtes » autrement dit lorsque les

partir de règles bien définies et d’une compétence particulière. Mais l’art, aujourd’hui, n’a plus la même signification, il représente les productions de choses dîtes « belles », qui touchent notre sensibilité. La finalité est donc le jugement esthétique. La beauté relève donc du domaine artistique. Hegel compare la beauté artistique et la beauté naturelle. Selon lui, la beauté artistique est supérieure à la beauté naturelle car l’art relève de l’esprit, c’est une création spirituelle alors que

est dans la volonté de rompre dans une esthétique classique. On va s’intéresser à ce que comment la laideur peut être source de plaisir. Histoire du bon goût : La notion de goût au 17è-18ème Le goût est la capacité de juger de la beauté d’une œuvre d’art. Avoir du goût c’est avoir la qualité de juger l’esthétique. Avant cette capacité tenait à des canons (des modèles). Ce qui était représenté comme le bon goût était ce qui obéissait à un idéal esthétique. Les Académies vont contrôler les règles

L'art entoure l'homme en permanence, sans qu'il en prenne réellement conscience. Dans notre société l'art est inévitable. On le trouve un peu partout, dans la rue, à la télévision, à la radio?On peut en déduire donc que les artistes, partisans de l'art, tiennent une grande place dans notre société. On pourrait alors se poser la question : Pourquoi les artistes ? Que nous apportent-ils ? Quelle place tiennent-ils dans la société de tous les jours ? Quel bonheur et quel but peut-on trouver en devenant

parle d’œuvre harmonieuse ou encore parfaite mais aussi d'état d'âme et de disposition psychique. Vient alors de manière obscène la relation d'une proximité déconcertante entre l'écrivain ou l'artiste en général et le lecteur ou le spectateur. Entre esthétique et éthique, la littérature ou l'art en général rentre-t-il dans la dénonciation des abominations de notre temps ? Nous porterons un regard sur l'esthétique collant aux œuvres puis sur leurs fonctions d'éthique. Parler d'art, sous-entend l'expression

instrumentales (moyens/ actions à réaliser), affectives, symboliques, sociales, etc… Typologie des valeurs de consommation de Holbrook | Extrinsèque | Intrinsèque | Orientation vers soi | Active | Efficience | Jeu | | Réactive | Excellence | Esthétique | Orientation vers autrui | Active | Statut | Ethique | | Réactive | Estime | Spiritualité | Dimension active suppose action mentale ou physique sur objet, réactive observation et admiration. Schéma : Les dimensions du consommateur : cognitive

peut assurément, pour lui qui croit avoir vu la même chose autrement, constituer une preuve suffisante pour construire un jugement théorique et par conséquent logique; mais jamais ce qui a plu à d’autres ne saurait servir de fondement à un jugement esthétique. Le jugement des autres, quand il ne va pas dans le sens du nôtre, peut sans doute à bon droit nous faire douter de celui que nous portons, mais jamais il ne saurait nous convaincre de son illégitimité. Ainsi n’y a-t-il aucune preuve empirique permettant

manière d’apparaître et de se livrer ainsi d’abord et avant tout à nos sens. On peut donc se demander si le caractère spécifique des beaux-arts ne consiste pas en la production d’objets qui ne s’adressent qu’à nos sens, et au plaisir proprement esthétique qu’ils suscitent en nous dès que nous les voyons, les entendons ou les touchons. Cependant, dire des beaux-arts qu’ils produisent ou visent à produire des oeuvres qui s’adressent de manière essentielle à nos sens suffit-il pour affirmer que l’art