Esthétique La Bruyère

l’irrégularité, l’excès, la somptuosité, la violence. - Comme tout mouvement littéraire, le classicisme correspond à un goût, une philosophie, une esthétique. - C’est une période de grande fécondité littéraire marquée par deux générations d’auteurs . La Fontaine, Pascal, Mme de Sévigné, Bossuet, Molière . Mme de Lafayette, Boileau, Racine, Fénelon, La Bruyère - Les principes et règles essentiels en sont : . le respect et l’imitation des Anciens (maîtres à suivre tout en les renouvelant)

"classique", emprunté au latin classicus, "de première classe" ; par métaphore, le terme a été employé dès le deuxième siècle pour désigner un auteur ou une œuvre d'excellence, digne de devenir un modèle. Courant esthétique regroupant l’ensemble des ouvrages qui prennent comme référence esthétique les chefs-d’œuvre de l’Antiquité gréco-latine, le classicisme littéraire est un ensemble de caractères propres aux grandes œuvres littéraires de l'Antiquité et au XVII siècle Julie Axelle Méchin 2nde 6

exprime dans le Malaise dans la civilisation.) Ce processus repose sur la curialisation, c'est-à-dire l'extension des pratiques de la cour à l'ensemble de la société. [pic] [Les termes de votre recherche sous Google sont surlignés en jaune]. La Bruyère - Notes sur la Société de cour de N.Elias [pic]Retour Par rondou micheline Mis en ligne le 12-11-2004. Poly distribué aux élèves à lire attentivement , avant la projection de la dernière demi-heure du film de Rossellini Prise du Pouvoir par

s'expriment dans des œuvres littéraires et artistiques considérées comme des modèles. En littérature, le classicisme est incarné par la génération des écrivains de 1660 à 1680 avec Molière, La Fontaine, Mme de Lafayette, Racine, Boileau, Bossuet, La Bruyère... Ces écrivains sont regroupés sous le noms d'auteurs classiques car ils sont liés par une communauté de goûts cités par Boileau dans L'art poétique : imitations des auteurs de l'antiquité ( les Anciens ), recherche du naturel, du vraisemblable

mot de "classicisme" pour désigner l'idéal esthétique commun aux écrivains les plus inventifs des années 1660-1680. Si divers que soir Molière et Racine, La Fontaine et Bossuet, La Rochefoucaud et La Bruyère, ils partagent une meme vision de l'art et de l'homme. Artistes éxigeants, inquiets toujours inspirés, ils ont créé en quelques années des oeuvres qui se sont rapidement imposées comme exemplaires. Au-delà de ces définitions historique et esthétique, le sens du terme « classique » a été étendu

compréhensibles : c’est le rôle des hommes politiques, des sociologues, des philosophes… c. Argument esthétique : le but de la littérature est de faire quelque chose de beau, d’esthétique, pas quelque chose qui serve concrètement : Cf. La Bruyère : les Caractères : travail sur le langage. Les textes de La Bruyère n’ont pas fait changer les choses ; si on lit aujourd’hui encore La Bruyère, c’est en raison de la beauté de ses textes, pas de la portée satirique. Cf. aussi, dans une certaine

Définition bien trop générale pour circonscrire un groupe que pourtant les dictionnaires, les manuels, les anthologies s'entendent, depuis en gros la seconde moitié du XVIIIe siècle, à limiter à quelques grands noms : Pascal, La Rochefoucauld, La Bruyère... On l'élargit parfois, en amont dans le temps, à Montaigne ; souvent, en aval, à Vauvenargues et Chamfort, voire à Joubert ; aux marges, à toutes sortes d'auteurs qui ne sont pas tous mineurs, et que réunit surtout une appréciation de leur style

ou de courants de pensée. C'est ce que nous appelons la littérature engagée. Ainsi, quel que soit le but qu'elle poursuit, la littérature peut contribuer à l'amélioration de la société et des individus qui la composent, en développant le sens esthétique, l'esprit critique ou tout simplement la connaissance de soi. La question est de savoir si les textes littéraires peuvent réellement et directement influencer le corps social, changer les hommes et la société toute entière ? Que l'œuvre

représentation Racine (1639-1699) Corneille, Horace (1640), de l'être humain ; Molière (1622-1673) Racine, Phèdre (1677) ; il se préoccupe de définir La Fontaine (1621-1695) - théâtre comique : son idéal esthétique à travers La Bruyère (1645-1696) Molière, Tartuffe (1669) des règles d'écriture, appliquées Boileau (1636-1711) - poésie : notamment dans le genre Pascal (1623-1662) La Fontaine, Fables (1668- de la tragédie : voir la règle

premier ordre , mais ce sont les Romantiques qui en définissant leur esthétique, imposeront a posteriori le sens que nous donnons aujourd'hui au mot «classicisme» : nous englobons par cette notion l'ensemble de la production littéraire et artistique qui coïncide avec le XVIIème siècle - et surtout avec le règne de Louis XIV -, dans laquelle nous reconnaissons des caractères d'ordre et d'équilibre alliés au goût des codifications esthétiques et morales.   On a pu voir dans ces caractères l'expression privilégiée